D’Ispahan à Sidi Bouzid, en passant par Jérusalem, Cordoue, Dubaï… le film invite à un voyage en Islam. Islam avec un I majuscule, comme celui qu’Abdelwahab Meddeb a eu à cœur de faire connaître. La réalisatrice prolonge la voie tracée par le poète et intellectuel franco-tunisien aujourd’hui disparu pour qui "une des façons de lutter contre l’intégrisme est de reconnaître à l’Islam sa complexité et ses apports à l’universalité". Une navigation entre passé et présent, histoire et politique, musique et poésie...
La richesse d’une culture face à la pauvreté des slogans islamistes : le film restitue toute l’ampleur et la beauté de l’Islam, le vrai. Bénédicte Pagnot livre ici, amoureusement, sa vision d’une religion pacifiée. Mais est-il encore temps de renverser la perception d’une large partie du public ? C’est toute la question. Le Nouvel Observateur
Le voyage documentaire de Bénédicte Pagnot suggère, à sa façon, douce et bienveillante, des passerelles entre les civilisations. Il apporte sa pierre à la lutte contre l’obscurantisme et la méconnaissance, sources de tant de conflits. C’est un voyage salutaire, d’actualité. Ouest-France
Abdelwahab Medded s’est éteint en novembre 2014. Bénédicte Pagnot a composé ses accords au montage. Il n’y a pas de dernier mot. Des nuages que survole une aile d’argent. Un chant. L'Humanité
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