À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique.
Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s'organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs...
Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close...
Interdit aux -16 ans (Film contenant des scènes pouvant heurter la sensibilité du public)
2012 :
César : Prix des Meilleurs costumes
2011 :
Festival international de Cannes : Sélection officielle
"Bertrand Bonello n'a jamais été aussi libre, aussi concentré, sa virtuosité discrète explose. Chef-d'oeuvre." Libération
"Réflexif et sensuel, suave et toxique : immense." Les Inrockuptibles
"Une oeuvre d'une radicale splendeur, aussi généreuse que cruelle, qui, tout en sécrétant un indéniable plaisir des costumes et du décor, ne le cède en rien sur le terrain de la surprise et de l'acuité." Critikat.com
"La poésie, son intemporelle fulgurance, est bel et bien le maître mot de cette oeuvre. Cette hétérogénéité, qui tient du manifeste artistique et politique, produit une dissonance qui confine au sublime." Le Monde
"Actrices à tomber de son fauteuil, il conviendrait de les citer toutes. Les souvenirs d'une autre époque n'en finissent pas de dessiner un tableau du monde d'aujourd'hui, femmes entre elles et hommes qui les regardent." Le Nouvel Observateur
"Passionnant, l'Apollonide dérangera certains (une pute défigurée y pleure des larmes de sperme) mais laissera les cinéphiles bouleversés." Le Parisien
" L'Apollonide, cinquième long métrage de Bertrand Bonello, est un choc esthétique. L'un des plus beaux films sur la chair féminine." Télérama
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