Antoine entame sa première année de médecine pour la troisième fois. Benjamin arrive directement du lycée, mais il réalise rapidement que cette année ne sera pas une promenade de santé. Dans un environnement compétitif violent, avec des journées de cours ardues et des nuits dédiées aux révisions plutôt qu'à la fête, les deux étudiants devront s’acharner et trouver un juste équilibre entre les épreuves d’aujourd’hui et les espérances de demain.
2019
César : Nommé pour le César du meilleur jeune espoir masculin (William Lebghil)
Par bonheur, Thomas Lilti soigne sa saine colère en faisant le portrait d’une très belle amitié, qu’il élève ici au rang de panacée, et dont l’épilogue a valeur de morale. Le Nouvel Observateur
Mais en plus d’exposer très clairement en quoi la première année de médecine est calamiteuse, le film touche une fibre sensible : l’impossible solidarité lorsque les places manquent, et c’est lors du dénouement que la fiction fait mouche. Libération
"Première Année", aimable préquel à "Hippocrate", renoue avec ce ton humoristique impertinent, façon film de potes, entre le fort-en-thème sans réelle vocation (Lebghil) et le triplant idéaliste (Lacoste, toujours impeccable). Positif
Dans un registre plus grave qu’à l’accoutumée, Vincent Lacoste se révèle drôle et émouvant face à un William Lebghil déconcertant de naturel. Le film, moins frivole qu’il n’en a l’air, repose sur leur nonchalance, qui fait presque oublier le dénouement un rien artificiel. Télérama
x Cacher la playlist
Commandes | > | x |
---|---|---|