Sarajevo, novembre 92, sept mois après le début du siège. Le reporter de guerre Paul Marchand nous plonge dans les entrailles d'un conflit fratricide, sous le regard impassible de la communauté internationale. Entre son objectivité journalistique, le sentiment d'impuissance et un certain sens du devoir face à l'horreur, il devra prendre parti.
2019
Festival International des Jeunes Réalisateurs de Saint-Jean-de-Luz : Grand Prix - meilleur film (Guillaume de Fontenay)
Chistera de la meilleure interprétation masculine (Niels Schneider)
Chistera du public (Guillaume de Fontenay)
Chistera du jury des jeunes (Guillaume de Fontenay)
Sympathie pour le diable retrace avec force le parcours de Paul Marchand, une figure du journalisme, couvrant le siège de Sarajevo en 1992. Le Figaro
Niels Schneider [...] trouve la juste mesure. A l'image du film, impressionnant d'authenticité, dont on sort secoué. L'Express
Un récit bouleversant. Télérama
Ce portrait d’un homme complexe fascine en faisant découvrir un métier passionnant. 20 Minutes
À la fois sobre et percutant, ce premier long métrage est un bon film de guerre qui présente une approche semi-documentaire du siège de Sarajevo et offre son meilleur rôle à Niels Schneider. aVoir-aLire.com
Sympathie pour le diable nous a totalement pris à revers, nous a bouleversés bien plus que nous ne le pensions. Plusieurs heures après sa projection, il nous hante et nous émeut encore. C'est bel et bien la marque des très grands films. Ecran Large
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