Dominick Brassan a le pouvoir de se rendre invisible. Il ne s'en sert pas beaucoup. À quoi bon, d'ailleurs ? Il a fait de son pouvoir un secret vaguement honteux, qu'il dissimule même à sa fiancée, Viveka. Et puis vient un jour où le pouvoir se détraque et échappe à son contrôle en bouleversant sa vie, ses amitiés et ses amours.
2019
Festival de Cannes : nommé ACID Cannes longs-métrages
Avec sa mélancolie poignante et décalée, L’Angle mort évoquerait plutôt certains films d’Alain Resnais, un mélange de funeste et de drôlerie cruelle sur un fond d’inquiétante étrangeté et d’implacable précision psychique. Cahiers du Cinéma
Pierre Trividic et Patrick-Mario Bernard font un cinéma des profondeurs, à l’endroit où le réel se frotte au fantastique. Le Monde
Une fable en trompe-l’œil qui montre le pouvoir qu’a le cinéma de plonger le spectateur dans une fantasmagorie sensuelle. Une pépite. Le Nouvel Observateur
Jouant aussi bien sur le corps [...], que sur l'esprit, en n'hésitant pas à fouiller au fond de psychés, les cinéastes nous gratifient d'une oeuvre complexe, profondément contemporaine [...] L'Ecran Fantastique
Patrick-Mario Bernard et Pierre Trividic signent un conte fantastico-social où l’insolite fait bon ménage avec une vision aiguë de la marginalité urbaine. L'Humanité
La manière ludique et anxieuse qu’a le film d’agiter questions et problèmes en les rendant très concrets et néanmoins fantastiques est le privilège de ce duo de cinéastes dont on ne peut que dire ici à quel point il est regrettable qu’ils mettent tant de temps avant de réapparaître entre chaque projet. Libération
Si "L’Angle mort" respecte à la lettre la logique générique du fantastique [...], l’oeuvre, [...] s’approprie ces codes pour les faire résonner avec les enjeux sociaux et politiques de la contemporanéité. Positif
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