Au début du troisième millénaire se produit à Paris un phénomène inattendu. Des gens disparaissent de manière inexpliquée et demeurent introuvables.
(...) on n'avait pas rencontré depuis très longtemps un cinéaste filmant avec autant de grâce et d'intensité les étreintes charnelles, les formes pleines et le grain de la peau des jeunes filles (...). Les Inrocks
La conscience malheureuse est, en ce bas monde, promise à ceux qui ne peuvent renoncer à leur idéal : voilà la leçon, douloureuse et hautaine, rarement portée à ce degré de clairvoyance au cinéma, à laquelle nous invite Fantômes. Le Monde
Fantômes est sans doute son film le plus symphonique, chorégraphié, même si c'est aussi un film qui stigmatise un petit côté vieux garçon/Nouvelle Vague, par sa vision des amours et de la bande (...). Libération
Autour d'une figure récurrente, le corps à corps, le film devient alors pur jeu, chorégraphie, peinture, et laisse voir son vrai territoire, confidentiel mais habité. Télérama
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