Alex, jeune skateur, tue accidentellement un agent de sécurité tout près du skatepark le plus malfamé de Portland, le Paranoïd Park. Il décide de ne rien dire.
2007
Festival de Cannes : Prix du 60ème anniversaire (Gus Van Sant)
Nommé pour La Palme d'Or (Gus Van Sant)
Nommé pour le Grand Prix (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix du Jury (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix de la mise en scène (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix du Jury Oecuménique (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix de la Jeunesse (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix François Chalais (Gus Van Sant)
Nommé pour le Prix de l'Education nationale (Gus Van Sant)
"Paranoïd Park" ne serait ni un film de transition, ni un supplément gratuit à la trilogie, mais le dernier moment, l'apothéose d'une tétralogie. (...) La ruse géniale de Van Sant est d'avoir choisi pour franchir le dernier pas le terrain le plus éthique qui soit, celui du crime, de la culpabilité, de la responsabilité individuelle. Les Cahiers du Cinéma
(...) cette adaptation du roman de Blake Nelson est nimbée de paysages sonores magnifiques (...) Porté par la caméra lyrique de Christopher Doyle, le talentueux chef opérateur de Wong Kar-waï, le film glisse. Le Monde
A chaque temps décisif du film (...) la bande sonore commente et courbe l'image. (...) Van Sant filme un étau déserré, où la culpabilité sa fait plus lâche, parce que toute forme d'ordre défaille et tous les liens sont détissés. Les Inrockuptibles
Le sujet du film n'est pas la culpabilité du héros, mais sa distance au monde réel. Ce déplacement fait de "Paranoid Park" un film vertigineux, sous ses dehors cool et planants. Télérama
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