Un jeune homosexuel tombe fou amoureux de Johnny, un immigré mexicain clandestin qui ne parle pas un mot d'anglais et qui n'a même pas 18 ans...
2006
Festival de Cannes - Quinzaine des Réalisateurs : Nommé dans la catégorie Séances Spéciales
Mala Noche laisse (...) une impression unique, sensuelle (...) Le corps du film fait de rayons de lumières et d'échos égarés abandonne la poésie crue de la rue pour la sensation de rêve éveillé. Les Cahiers du Cinéma
(...) Un film éblouissant de liberté (...). Elle
La réussite spécifique de ce premier long métrage tient, d'ailleurs, à la cohérence de ton que le metteur en scène arrive à insufler à ce melting-pot étrange de réalisme et d'expressionisme, de cinéma direct et de théatralité baroque. Les Inrockuptibles
Le noir et blanc, la précarité des moyens, loin d'être un handicap, sont les atouts de ce film, tourné dans la hâte comme s'il fallait fixer cette beauté et cette misère avant qu'elle disparaisse. L'Humanité
(...) Ce Bukowski d'Oregon a réussi avec Mala Noche un chef-d'oeuvre. Pour William S. Burroughs (qui ne s'est jamais trompé), pour Allen Ginsberg, et accessoirement pour nous aussi. Libération
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