Au milieu des années 1970, alors que ses parents se séparent et que sa sœur aînée est en pleine adolescence, la jeune Jorgelina doit apprendre à grandir et à accepter les changements. Elle part avec son père dans sa maison de campagne, où elle retrouve le jeune Mario, qui fait lui aussi face à de nouvelles étapes majeures de sa vie.
La cinéaste se révèle douée pour donner vie à des personnages hors du commun suffisamment bien dessinés pour éviter la caricature. Il y a à la fois de la tendresse et du cinéma. C'est ce qui rend ce petit bijou largement recommandable. 20 Minutes
Le Dernier Été de la Boyita adopte un point de vue original et plutôt audacieux sur la question des identités sexuelles, à propos de laquelle Julia Solomonoff pose un regard d'une évidente sincérité. Critikat.com
(...) diantrement personnel et inventif. L'Humanité
Le naturalisme va souvent de pair avec l'outrance. Julia Solomonoff préfère la minutie, le respect des êtres et de tout ce qui les entoure. C'est ce qui fait du Dernier Eté de la boyita un moment rare. Le Monde
Le Dernier été de la Boyita est à la fois une vision idyllique de l'enfance dans un univers immuable et primitif, et un film décalé sur la différence [...] Les Inrockuptibles
Cette oeuvre délicate et dépaysante, magnifiquement filmée et interprétée, tourne autour d'un étonnant mystère intime. Etrange et crue, cette histoire (...) vous laissera, sur le coeur, le dernier coup de soleil de l'été. Paris Match
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