A Paris, Naoufel tombe amoureux de Gabrielle. Un peu plus loin dans la ville, une main coupée s’échappe d’un labo, bien décidée à retrouver son corps. S’engage alors une cavale vertigineuse à travers la ville, semée d’embûches et des souvenirs de sa vie jusqu’au terrible accident. Naoufel, la main, Gabrielle, tous trois retrouveront, d’une façon poétique et inattendue, le fil de leur histoire...
2020
César : César du Meilleur film d'animation
César de la Meilleure musique
Nommé pour le César de la Meilleure adaptation
Festival du Film d'Animation d'Annecy : Grand Prix (Cristal) du long métrage
Prix du Public du long métrage
Oscars : Nommé pour l'Oscar du Meilleur film d'animation
Lumière de la presse étrangère : Prix du Meilleur film
Nommé pour le Prix de la Meilleure mise en scène
Nommé pour le Prix de la Meilleure musique
2019
Festival du Film d'Animation d'Annecy : Prix du Cristal du long métrage
Prix du public
Festival du Film de Cabourg - Journées romantiques : Nommé pour le Prix du public
Festival de Cannes : Nommé pour Prix de la Caméra d'Or
Travaillé à l'os, ce premier film frôle la perfection. L'Ecran Fantastique
Bref, c'est inclassable. Et inoubliable. L'Express
Jérémy Clapin signe un superbe long-métrage, qui fait se rencontrer, avec une remarquable fluidité, le fantastique et la chronique réaliste. Le Figaro
Cadrages savants et poursuites frénétiques au ras du sol dans les rues de Paris alternent avec des moments de pur onirisme ou d’une grande douceur, sur la solitude et le passage à la maturité. Une fois de plus, on oublie la technique pour saluer la naissance d’un cinéaste de talent. Positif
C’est bien simple : on n’a pas vu une mise en scène aussi racée dans le cinéma français depuis Jacques Audiard. À l’instar des films d’animation japonais pour adultes, J’ai perdu mon corps place la barre très haut à tous les niveaux. Première
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