Gabrielle a grandi dans la petite bourgeoisie agricole où son rêve d’une passion absolue fait scandale. A une époque où l’on destine d’abord les femmes au mariage, elle dérange, on la croit folle. Ses parents la donnent à José, un ouvrier saisonnier, chargé de faire d’elle une femme respectable. Gabrielle dit ne pas l’aimer, se voit enterrée vivante. Lorsqu’on l’envoie en cure thermale pour soigner ses calculs rénaux, son mal de pierres, un lieutenant blessé dans la guerre d’Indochine, André Sauvage, fait renaître en elle cette urgence d’aimer. Ils fuiront ensemble, elle se le jure, et il semble répondre à son désir. Cette fois on ne lui prendra pas ce qu’elle nomme « la chose principale ». Gabrielle veut aller au bout de son rêve.
Marion Cotillard est vibrante dans la peau de cette féministe avant l’heure qui tente d’exister dans un carcan qu’un amour impossible ne parvient pas à briser. L’actrice a rarement été aussi touchante que dans ce "Mal de pierres". 20 Minutes
On se laisse emporter par le "Mal de pierres" de Nicole Garcia car il est un hymne évidemment au sentiment amoureux, mais aussi à la rébellion et à la folie. Elle
Marion Cotillard est lumineuse dans ce rôle bovarien d'une femme libre et insatisfaite en quête de passion. Une fresque romanesque et vibrante d'une grande beauté. Femme Actuelle
Nicole Garcia signe un film exceptionnel avec une Marion Cotillard époustouflante. Le Parisien
Marion Cotillard y est magnifique, la fin pousse les larmes au bout des yeux et sur la terre aride du Sud éclot une fleur dont les couleurs vont bientôt éclater. L'Express
Dans ce mélo réussi, Nicole Garcia montre une Marion Cotillard incandescente, dévorée par le désir. Le Figaro
Il fallait bien que tout rentre enfin dans l'ordre. C'est une loi propre aux belles histoires, et alors l'émotion se recentre et augmente, concluant de belle manière ce film que l'on pourrait dire à l'ancienne, sans qu'il y ait là rien de disqualifiant, au contraire. Le Nouvel Observateur
Tel qu'il est, encore un peu trop ordonné, ce "Mal de pierres" est pourtant rempli d'éclats de beauté, d'émotion pure, qui le rendent précieux. Positif
L'émotion qu'elle dégage est toujours nette, précise, affinée. Et c'est évidemment ce cache-cache constant entre épure et intensité qui rend le film de Nicole Garcia réussi et troublant. Télérama
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