Dans la famille de Justine tout le monde est vétérinaire et végétarien. À 16 ans, elle est une adolescente surdouée sur le point d’intégrer l’école véto où sa sœur ainée est également élève. Mais, à peine installés, le bizutage commence pour les premières années.
On force Justine à manger de la viande crue. C’est la première fois de sa vie. Les conséquences ne se font pas attendre. Justine découvre sa vraie nature.
Attention, ce film est interdit aux moins de 16 ans.
2018
César : Nommé pour la Meilleure musique originale (Jim Williams)
Nommé pour le César de la Meilleure réalisation (Julia Ducournau)
Nommé pour le César du Meilleur jeune espoir féminin (Garance Marillier)
Nommé pour le César de la Meilleure première oeuvre (Julia Ducournau)
Nommé pour le César du Meilleur son (Stéphane Thiébaut, Séverin Favriau, Mathieu Descamps)
Nommé pour le César du Meilleur scénario original (Julia Ducournau)
2017
Festival International du film fantastique de Gerardmer : Grand prix (Julia Ducournau)
Prix de la critique (Julia Ducournau)
Prix Louis Delluc : Prix Louis Delluc du premier film (Julia Ducournau)
2016
Festival International du Film de Toronto : Prix du public - 3e place (Julia Ducournau)
Festival de Cannes (Semaine Internationale de la Critique : Prix FIPRESCI (Julia Ducournau)
Nommé pour le Prix Fondation Louis Roederer de la Révélation (Julia Ducournau)
Nommé pour le Grand Prix Nespresso (Julia Ducournau)
Nommé pour le Prix SACD (Julia Ducournau)
Nommé pour le Prix Fondation Gan à la Diffusion (Julia Ducournau)
Festival du film de Londres : Sutherland Trophy du meilleur premier film
Paris International Fantastic Film Festival : Œil d'or du meilleur film de la compétition internationale
Prix Ciné Frisson du meilleur film
Organique, viscéral, gore aussi, "Grave" comporte des éléments fondateurs de Crononberg. L'Express
Ce récit d’émancipation agit comme une déflagration : on est sonné par la puissance de la mise en scène et du scénario. Julia Ducournau orchestre avec intelligence, audace et humour cet apprentissage de l’identité, de la maturité et de la sexualité, en abordant le thème du cannibalisme. Le Journal du Dimanche
Si "Grave" entousiasme ou scandalise, c'est parce que Ducournau réussit le pari difficile, inespéré en France où le cinéma de genre est moribond, d'un cross-over entre la comédie initiatique et gore, le film d'horreur et le teen-movie dramatique et sexuel. Transfuge
(...) ce premier long-métrage sait trouver un ton entre sensualité macabre et désirs charnels qui n’appartient qu’à lui. 20 Minutes
Le territoire inconnu et excitant que Julia Ducournau ouvre avec Grave, fait beaucoup espérer de la suite de sa carrière. Cahiers du Cinéma
Le vampirisme consommé du film, à l’opposé de celui d’un "Twilight" puritain, exalte en tout point un plaisir de la chair non dissimulé et contagieux. Critikat.com
Un film d’horreur insolite qui, à partir d’un sujet devenu d’actualité (la viande : faut-il en manger ou pas ?), plonge dans les abîmes sanglants du cannibalisme : à ne pas mettre sous toutes les dents ! Le Dauphiné Libéré
Rares sont les premières œuvres aussi fiévreuses, aussi électrisantes, d’un romantisme aussi échevelé et d’une si complète désinhibition. "Grave", premier long-métrage de la jeune scénariste et réalisatrice Julia Ducournau (...) accomplit un coup d’éclat, en important la dialectique horrifique dans le cadre ordinaire de la fiction française. Le Monde
Qu’elle joue avec les identités sexuelles ou les tabous de l’amour fraternel, la cinéaste de 33 ans bouscule nos repères moraux avec une rafraîchissante modernité, de concours de bizuts en initiation ratée à l’épilation intime. Le Nouvel Observateur
La renaissance de ce cinéma girly et anthropophage est effectivement à bien des égards une aubaine : gonflé, poétique, féroce, il incarne la prise de pouvoir d’une nouvelle génération fracassante de réalisatrices. Les Inrockuptibles
De quoi ouvrir l'appétit pour les prochains films de la Ducournau. Mad Movies
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