Alors qu'il n'arrive toujours pas à se remettre d'un drame personnel, Yusuke Kafuku, acteur et metteur en scène de théâtre, accepte de monter Oncle Vania dans un Festival, à Hiroshima.
Il y fait la connaissance de Misaki, une jeune femme réservée qu'on lui a assignée comme chauffeure.
Au fil des trajets, la sincérité croissante de leurs échanges les oblige à faire face à leur passé.
2022
Oscars : Oscar du Meilleur film international
nommé pour l'Oscar du Meilleur film
nommé pour l'Oscar de la Meilleure réalisation (Ryūsuke Hamaguchi)
nommé pour l'Oscar du Meilleur scénario adapté (Ryūsuke Hamaguchi, Takamasa Oe)
BAFTA Awards : Meilleur film non anglophone
nommé pour le Bafta du Meilleur réalisateur (Ryūsuke Hamaguchi)
nommé pour le Bafta du Meilleur scénario adapté (Ryūsuke Hamaguchi, Takamasa Oe)
Golden Golbes : Golden du Meilleur film en langue étrangère
Césars : nommé pour le César du Meilleur film étranger
2021
Festival de Cannes : Prix du scénario
Prix Oecuménique
Prix Fipresci
nommé pour la Palme d'Or
nommé pour le Grand prix
nommé pour le Grand prix
nommé pour le Prix du Jury
nommé pour le Prix de la mise en scène
Le Japonais Ryusuke Hamaguchi embarque un metteur en scène et sa chauffeuse dans une Saab rouge et signe un film éblouissant sur le deuil et le pouvoir des mots. La Croix
La beauté de Drive My Car réside dans sa manière de donner chair à une série d'abstractions et de dispositifs purement théoriques, d'employer toutes sortes d'éléments du médium cinéma pour leur faire dégorger leur sensualité autonome et en faire les instruments d'une vérité singulière. Le Monde
L’œuvre, limpide et cristalline, dit toute la douleur d’une vie brisée. Le Nouvel Observateur
Scrutant comme personne les relations humaines et les rapports amoureux, Hamaguchi nous fait chavirer avec son sens de la mise en scène, chaque plan s’avérant ciselé, émouvant et éblouissant, et servi à merveille par de magnifiques comédiens - mention spéciale à la jeune Toko Miura, qui campe avec une étonnante justesse l’intrigante Misaki. Le Parisien
Un film qui résonne indirectement avec le vécu intime de chacun·e et qui risque de briller longtemps dans la nuit noire de notre inconscient chaviré. Les Inrockuptibles
Il y a l’ampleur, la profusion, la profondeur de champ d’un grand roman dans le film d’Hamaguchi, épopée en voiture individuelle où s’engouffre bien plus encore, au gré des nombreuses bifurcations dont son récit a le goût, entre lesquelles il fraie peu à peu un dédale de chemins imprévisibles et néanmoins limpides. Libération
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