Dans les faubourgs de N’djaména au Tchad, Amina vit seule avec Maria, sa fille unique de quinze ans. Son monde déjà fragile s’écroule le jour où elle découvre que sa fille est enceinte.
Cette grossesse, l'adolescente n’en veut pas. Dans un pays où l'avortement est non seulement condamné par la religion, mais aussi par la loi, Amina se retrouve face à un combat qui semble perdu d’avance…
2021
Festival de Cannes : Nommé pour le Prix du Scénario (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour la Palme d'Or (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix Oecuménique (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix Fipresci (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Grand Prix (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix de la mise en scène (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix du Jury (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix François Chalais (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix de la Citoyenneté (Mahamat-Saleh Haroun)
Nommé pour le Prix du Cinéma Positif (Mahamat-Saleh Haroun)
Mahamat Saleh Haroun filme avec finesse le tabou de l'avortement. Le Monde
Cette manière de montrer même la tendresse d’un chaton et d’un jeune chien dans un foyer féminin qui n’a rien, sauf son courage indomptable et ses « Liens sacrés », remue et éblouit. Le Parisien
Si la composition des cadres (toujours aussi remarquables) permet d’instaurer une proximité pudique avec les personnages, elle favorise surtout l’exaltation des corps féminin, leur beauté, leur dignité, leur harmonie, leur force. Positif
Tout le cinéma de Mahamat Saleh-Haroun repose sur cette balance entre dureté et suavité, à l’image de son pays, le Tchad, dont il filme la beauté languide, la lumière ocre, les couchers de soleil somptueux et le boucan infernal de la ville, le pont où grouillent les motos comme autant d’insectes à la recherche d’un butin, les tôles ondulées et les chiens errants... Sud Ouest
Un film aussi juste esthétiquement que politiquement. Transfuge
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