Luc est un chanteur lyrique renommé. En pleine crise personnelle, il accepte d’animer un atelier de chant dans un centre de détention pour femmes.
Il se trouve vite confronté aux tempéraments difficiles des détenues. Entre bonne conscience et quête personnelle, Luc va alors tenter d’offrir à ces femmes un semblant de liberté.
Avec réalisme et psychologie, et des personnages bien dessinés, A l’ombre des filles évite la naïveté, en prônant l’art et sa pratique comme acte de liberté et libérateur. Franceinfo Culture
Étienne Comar signe avec ce deuxième long métrage une belle introspection sur la nature et la force de l’art et sa puissance émancipatrice. L’air de rien, il s’offre une belle réflexion sur une sororité soumise à l’adversité d’un cloisonnement collectif. L'Humanité
La grâce du film tient dans l’énigme de l’enfermement des protagonistes : seul compte ce qui se passe autour du chant, sans que l’on juge ni connaisse le passé de l’une ou l’autre. Certaines scènes bouleversent, quand ce qui semblait mort à jamais s’ouvre soudain à la vie. Le Parisien
Avec une mise en scène dépouillée, Étienne Comar orchestre son film comme une symphonie rugueuse, sans affèterie, a capella. À l’ombre des filles est un film touchant, sensible, affûté, qui se confine dans le quotidien carcéral pour mieux illustrer cette métaphore de la grande évasion par le chant. Le Figaro
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