Une mère passive, dévouée corps et âme à son mari et ses enfants.
Un simple tour de magie tourne mal pendant l’anniversaire de son fils de quatre ans, et c’est une avalanche de catastrophes absurdes et improbables qui s’abat sur la famille. Le magicien transforme son mari, un père autoritaire, en poule.
La mère n’a d’autre choix que de sortir de sa réserve et assumer le rôle de cheffe de famille.
2022
Festival de Cannes - Semaine de la Critique : Grand Prix Nespresso
L’idée géniale de ce premier film est d’embrasser le réalisme magique et la poésie burlesque pour dépeindre le quotidien. Le misérabilisme est évacué, et la complaisance inexistante. Tout n’est que finesse de construction, de l’écriture à la mise en scène, des décors au montage. Bande à part
C’est le beau paradoxe de ce film extrêmement original : le monde y est impitoyablement montré dans son agonie, mais la vie suinte de toutes parts. Cahiers du Cinéma
Entre hyperréalisme et théâtre de l’absurde, la fable de l’Egyptien Omar El Zohairy conte la lente et belle émancipation d’une chef de famille soumise à la précarité et au harcèlement. Brechtien, brillant, gonflé. Ici, nul spectateur ne se fera plumer. L'Obs
Noir et radical, ce premier film est un cri fort et magistral pour l’émancipation d’une mère lasse d’être servile. Les Fiches du Cinéma
(…) l’égyptien Omar El Zohairy manie brillamment le burlesque pour raconter les dérives du patriarcat dans son pays. Une pépite. Ouest France
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