Pour financer leur Spring Break, quatre filles aussi fauchées que sexy décident de braquer un fast-food. Et ce n’est que le début… Lors d’une fête dans une chambre de motel, la soirée dérape et les filles sont embarquées par la police. En bikini et avec une gueule de bois d’enfer, elles se retrouvent devant le juge, mais contre toute attente leur caution est payée par Alien, un malfrat local qui les prend sous son aile…
2012
Mostra de Venise : nommé pour le Lion d'Or
De cet objet idiot s'écoule une sorte de poésie repoussante et naïve, burlesque et synthétique, vulgaire et bête, une sorte de poésie perdue, à ramasser, à rincer, impropre à la consommation, innommable en somme, mais qui exprime aussi la part poétique et misérable de notre époque. Cahiers du Cinéma
Avec "Springbreakers", Korine se branche à merveille, et avec intelligence, sur l'humeur et la folie absurde de notre société de consommation (...). Charlie Hebdo
La caméra trépidante [d'harmony Korine] plonge dans l'un des rites de passage de la culture américaine (...). [Un] film étrange qui passe constamment de l'anecdotique au sublime. Elle
On sent bien que la réalité intéresse moins Harmony Korine que sa représentation fantasmatique, son reflet forgé par la publicité et les clichés sans esprit des industries culturelles. Le Monde
Korine filme cette débauche de formes et de couleurs avec une énergie folle, variant ses cadrages, balançant des décharges de montage en cut-up, bombardant les mots Spring Break comme un mantra. C'est du Godard boosté au Red Bull. Les Inrockuptibles
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