Rosalie est une jeune femme dans la France de 1870 mais ce n'est pas une jeune femme comme les autres, elle cache un secret : depuis sa naissance, son visage et son corps sont recouverts de poils.
De peur d'être rejetée, elle a toujours été obligée de se raser.
Jusqu'au jour où Abel, un tenancier de café acculé par les dettes, l'épouse pour sa dot sans savoir son secret. Mais Rosalie veut être regardée comme une femme, malgré sa différence qu'elle ne veut plus cacher.
En laissant pousser sa barbe, elle va enfin se libérer. Elle veut qu'Abel l'aime comme elle est, alors que les autres vont vouloir la réduire à un monstre. Abel sera-t-il capable de l'aimer ? Survivra-t-elle à la cruauté des autres ?
Outre d’excellentes partitions dans les seconds rôles – Benjamin Biolay, Guillaume Gouix, Gustave Kervern… - Le film bénéficie de l’interprétation de très haut niveau de ses deux têtes d’affiche : Benoît Magimel, remarquable de blessures intériorisées, et Nadia Tereszkiewicz, qui gagne le pari de nous faire oublier la barbe de l’héroïne pour nous séduire avec ses désirs, de liberté notamment. Le Parisien
Un portrait bouleversant et passionnant. Elle
Cette réflexion sur l’apparence et le regard des autres est portée par ces deux acteurs remarquables. 20 Minutes
Stéphanie Di Giusto s’appuie sur la vie réelle de Clémentine Delait, atteinte d’hirsutisme, pour réaliser un film à la gloire de l’amour et de la tolérance. Nadia Tereszkiewicz prête sa fraîcheur au personnage. L'Humanité
Dans ce film d’une grande beauté formelle, une femme atteinte d’hirsutisme, interprétée avec sensibilité par Nadia Tereszkiewicz, tente de se faire accepter, malgré la cruauté du regard porté sur elle. La Croix
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