Guru a une vingtaine d’années, il travaille dans un centre d’appels à Agra, il est fou amoureux de l’une des collègues, Mala.
Guru habite toujours chez ses parents. Leur maison est divisée en deux parties.
Guru vit au rez-de-chaussée avec sa mère, son père, à l’étage, avec sa maîtresse. Quand Guru annonce qu’il veut se marier avec Mala, et faire de la terrasse sa future chambre, promise par sa mère à leur cousine pour en faire une clinique dentaire, tout bascule.
Les frustrations, les fêlures et les haines familiales éclatent au grand jour, symptômes d’une société indienne patriarcale marquée par de multiples tabous.
2023
Quinzaine des Cinéastes : Nommé pour pour le prix SACD
Le talentueux réalisateur Kanu Behl dépeint tout un monde de frustrations, dans un film qui désarçonne... Télérama
Patriarcal, assourdissant, ultraviolent, le réel tel que le dépeint furieusement ce jeune cinéaste indien est un enfer, bel et bien, dont on ne s’échappe pas. Libération
Maniant le mélodrame et la fresque sociale, travaillant les heurts et les tensions exacerbées entre les personnages, Kanu Behl revendique l’influence de Ritwik Ghatak (1925-1976) et filme une maison de fous, métaphore d’une société indienne asphyxiée par le manque d’espace. Le Monde
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