Alors qu’un projet de construction menace leur terrain de baseball adoré, deux équipes amatrices d’une petite ville de la Nouvelle-Angleterre s’affrontent pour la dernière fois.
Face à cet avenir incertain les tensions et les rires s’exacerbent, annonçant la fin d’une ère de camaraderie.
2024
Festival de Cannes - Quinzaine des cinéastes : en sélection officielle
Matinée, après-midi et soir sont autant de chapitres narratifs mais aussi formels, Lund en faisant un champ d’exploration esthétique, à la façon d’un peintre qui déclinerait ses portraits selon des lumières différentes. Cahiers du Cinéma
Une ode superbe à la nostalgie et au temps qui passe. Télérama
Sous ses airs de ne pas y toucher et son humour pince-sans-rire, Eephus raconte brillamment comment certains morceaux d’histoire collective disparaissent, sans tambour ni trompette. Première
Eephus déverse ainsi une profonde langueur, où l’on pleure non seulement la fin d’une ville mais surtout celle d’une époque. Les inrocks
La sensibilité de chef opérateur de Carson Lund s’exprime pleinement dans cette façon fine d’accompagner les heures et les luminosités déclinantes, jusqu’à trouver sa métaphore la plus frappante parmi ces joueurs rattrapés par l’obscurité, et cette partie beckettienne qui finit par se jouer à l’aveugle. Le Monde
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