Le Festin

N°Dans nos îles, paru le 05/06/2025

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Résumé

Trimestriel
LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.

Sommaire

• Cour de ferme à l’île d’Oléron de François Desnoyer Peintre originaire de Montauban, établi à Sète, arpenteur des contrées catalanes ou plus lointaines, François Desnoyer s’initie à l’art sur l’île d’Oléron et la côte Atlantique où il passe enfant ses vacances. La découverte de la lumière insulaire associée à la liberté dans laquelle il réalise ses premières esquisses marquent l’artiste durablement.
• L’île Nouvelle Un Eden reconquis
• Mimizan Le temps des pyramides
• Maria Casarès en son domaine d’Alloue Pour la comédienne espagnole devenue française, le domaine de la Vergne, en Charente, fut un lieu de repos et d’introspection, dans lequel elle pansa ses bleus à l’âme. Au terme d’importants travaux, la maison léguée par Maria Casarès à la commune est devenue un havre pour les jeunes artistes et tous les amoureux de l’art.
• Les îles paysages mouvants Es bandes de terre paraissent, sous nos yeux, éternelles. Balayées par le courant, les îles bougent, ou « marchent » disent certains. Pas toutes à la même vitesse, ni avec les mêmes processus. Elles peuvent aussi apparaître, ou subitement, disparaître. Et nous n’y sommes pas étrangers, aux quatre coins de la Nouvelle-Aquitaine.
• La cité ouvrière de Lège-Cap-Ferret Un îlot de modernité
• Au fil du Clain Explorer, nager, contempler
• Une cité “utopique ” à Aiguillon Exilé sur ses terres à l’avènement de Louis XVI, le duc d’Aiguillon, épris d’urbanisme, décida de faire de l’ancienne bastide une cité idéale.
• D’Aix à Oléron les tours de l’Empereur Pour mieux verrouiller l’accès à la rade de l’île d’Aix et à l’arsenal de Rochefort, Napoléon Bonaparte fit édifier, un siècle après les citadelles Vauban, des tours défensives concentrant en un seul édifice un corps de garde, une batterie et des magasins à poudre et à vivres. Le littoral saintongeais en compte trois : à Châtelaillon et sur la côte est de l’île d’Oléron, à la pointe des Saumonards et à Boyardville.
• Le Poïpoïdrome flottant dans la vallée du Lot À rebours des usages de l’eau comme ressource et source de profit, le Poïpoïdrome flottant est une « création tout à fait inutile, mais complètement nécessaire ». Cette flottille itinérante à géométrie variable, associant pénichette, ponton, bateau, barque ou pédalo, est pensée pour accueillir des résidences d’artistes, des équipes scientifiques, des expositions, des rencontres et ateliers pédagogiques, des lectures, des concerts, des balades… Toute initiative permettant par le biais de l’imaginaire, du savoir, et de l’échange de « cultiver des relations d’amitié » avec la rivière.
• La majestueuse oasis de l’abbaye d’Aubazine Fondée au XIIe siècle, l’abbaye cistercienne d’Aubazine recèle de nombreux trésors, tels son réseau hydraulique appelé « canal des moines », son ensemble de vitraux cisterciens d’origine et un clocher unique. Au-delà de son influence spirituelle, elle rayonna économiquement sur le Massif central et le Sud-Ouest de la France.
• La vie volée de Blanche Monnier En 1901, une affaire sordide secoue la Belle Époque : Blanche Monnier, issue de la bourgeoisie poitevine, est retrouvée enfermée depuis 25 ans, abandonnée à la faim et à la souffrance. Récit d’un fait divers où l’honneur familial a condamné une femme à l’oubli.

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Titre original / Sous-titre
N°Dans nos îles, paru le 05/06/2025
Genre
Label
Le Festin
Pays
  • France
Date de sortie
05/06/2025
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Le Festin N°Bordeaux métropole en 101 merveilles, paru le 23/07/2025

  • Arts
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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Rive droite
• Bordeaux
• Graves
• Jalles
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Le Festin N°Bordeaux in 101Sites and Buildings, paru le 01/04/2016

  • Arts
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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Bordeaux, Stepping through History
• The Bordeaux Coat of Arms
• The Amazing Grace of the Tramway
• The Ring of Boulevards
• Vieux Bordeaux The quayside façade is the emblematic face of Bordeaux, a sight to soothe the eyes of any visitor. Above this infinite sweep of blonde stone enfolding the gentle curve of the Garonne, rise the rooftops, dreaming spires and towers of the city’s Medieval past, as the eye embraces the cultural heritage of centuries in one glance.
• Pey-Berland It was around Saint André Cathedral that the major Republican and non-religious civic institutions of the city were established during the 19th century. These include the town hall, courts of justice, hospital, museum and city archives, set around the periphery of the Place Pey Berland which serves as an interface with the city’s commercial centre.
• Chartrons - Bordeaux Nord The city stretches northwards from the well-ordered facades of the Chartrons, a prosperous neighbourhood of overseas traders and wine merchants established in the 18th century, to the Cité du Grand Parc and Lac districts, quintessential achievements of the Chaban era, and from there on to Bacalan, an area currently undergoing far-reaching transformation. The former is the embodiment of Bordeaux’s past glories, while the latter is the living symbol of a city in the process of becoming.
• Victoire The Place de la Victoire is a lively hub of activity, providing access to the town centre from Saint Jean railway station, the southern Boulevards and university campus. Designed by Tourny in the 18th century, it is renown for its friendly, relaxed atmosphere, and the social exchange and cultural fusion embodied in the historical legacy of its architecture is as varied as it is unexpected.
• Saint-Croix - Belcier Often regarded as Bordeaux’s equivalent of Saint Germain-des-Près, the Sainte Croix district, with its fine Romanesque church completed in the 19th century, is a leading cultural centre for the plastic arts, theatre, music and gastronomy. To the rear of the railway station, the Belcier neighbourhood has begun its metamorphosis, heralded by the Euratlantique project.
• La Bastide It was not until 1822 that Bordeaux’s first bridge spanning the Garonne was erected. Its construction brought a boom in development to the working-class district of La Bastide, situated between the riverbanks, Avenue Thiers and La Benauge. This area of Bordeaux has lain abandoned for years, but is now poised to return with a vengeance. Its riverbanks have been redeveloped and serve as a vital oxygen tank for the city. Two new bridges across the Garonne are in the offing.
• Mériadeck The Mériadeck district was redeveloped to provide improved living conditions for the inhabitants of this rundown area of the city. As an urban utopia it is framed on either side by key public amenities, the swimming pool in Rue Judaïque and the Lescure sports stadium –modern temples to the living body, defying the valley of death which lies ensconced within the walls of La Chartreuse cemetery set at the district’s heart
• Caudéran - Saint-Augustin Caudéran has lost nothing of its Belle Epoque elegance. The houses around the Parc Bordelais still shine forth with Art Nouveau and Art Deco style and sophistication. Beyond the Boulevards, Charles Perrens hospital is an archetype of 19th century architecture.
• Out and About on the Right Bank From the Ambès peninsula to Bouliac, the right bank of the Garonne surprises the visitor with its uncommon landscapes, architectural gems and panoramic vistas over the city.
• Out and About along the Garonne To the city’s south, in Bègles, the riverbanks are part tree-studded savanna, part steamy tropical jungle. In the soft light of the waning day, water, sky and riverbank merge into one, evoking images of far-flung shores...
• Out and About to the North of Bordeaux He whole Bordeaux conurbation entertains a close relationship with water, be it through the presence of the River Garonne or the marshlands on which the city was built, fed by a network of watercourses. Some of these have been channelled underground, while others, known as “jalles” (little rivers) flow from their source north of the Landes down to Saint Médard and Blanquefort where they pour into the Garonne.
• Out and About in the Landes The area to the southwest is renown for the immortal wines of the Pessac-Léognan appellation, stretching out towards the Landes, but also for another vision of Bordeaux, encapsulated in neighbourhoods which sprang up during the 20th century and expanded the city centre, notably including Le Corbusier’s Cité Frugès.
• Out and About in the Bassin d’Arcachon The Bassin d’Arcachon is a source of perpetual wonderment, where lavish villas shelter in the pleasant shade of maritime pines, declared by medical science to be “the tree of life and good health”. Each year the Bassin attracts new visitors from near and far, joining the seaside town’s permanent residents and habitual patrons in the ever-changing spectacle of its ineffably charming faces.
• Out and About in the Médoc The popularity and renown of the wines of the Médoc is unfaltering, but the road through the region’s vineyards is one as rich in architectural splendours, be they Neoclassical, Eclectic or Renaissance in inspiration, as it is in noble vintages.
• Out and About in the Sauternes Region Around the embattled ramparts of Château d’Yquem, lie the wine-producing estates of the Sauternes region, nestling within the gentle fold of the valley whose privileged climate and geography provide such a rich diversity of distinguished dessert wines.
• Out and About along the Estuary The Gironde is Europe’s longest estuary and a vision of serene majesty. In Blaye, on its northern shores, its placid waters flow beneath edifices of blonde stone. The road north out of Bordeaux embraces vine-clad hillsides, reminding us that water too plays an essential part in the production of the region’s wines.
• Out and About in Saint-Émilion The ancient jurisdiction of Saint Émilion was constituted in the 12th century by an English King and Duke of Aquitaine, King John, dubbed with the seemingly ironical epithet of “John the Lackland”, and stretches over eight villages. The area today figures on Unesco’s World Heritage List.
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Le Festin N°Le temps des métamorphoses, paru le 13/03/2025

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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Léda et le cygne Antoine Calbet, peintre originaire du Lot- et-Garonne, représente avec sensualité les amours de l’épouse du roi de Sparte et de Zeus incarné en cygne. Son académisme s’y marie à l’avant-garde de son temps en matière de couleur et à l’estampe japonaise pour représenter la nature.
• Joseph Kabris l’homme qui avait eu mille vies Né en 1780, le Bordelais Joseph Kabris embarque très jeune sur un baleinier, s’installe en Polynésie française, y devient chef de tribu et s’y marie. Il pose ensuite son bagage en Russie et en France où il vit de la mise en scène de ses récits extraordinaires et de l’exhibition de ses tatouages spectaculaires. Un destin kaléidoscopique.
• Maison Sentex l’Empire romain Den mille morceaux Demeure classique du centre-ville de Saint-Sever, la Maison Sentex se distingue par les remarquables mosaïques romaines qui ornent son rez-de- chaussée. Découvertes en 1870 sur le site archéologique du Gleyzia, à deux kilomètres de là, elles furent transportées et reconstituées par l’ancien propriétaire du lieu, Léopold Capdeville.
• La renaissance de la Privière Brézentine Pollué pendant 30 ans par les rejets d’une usine d’équarrissage, cette petite rivière creusoise revit. On y retrouve désormais, grâce à des initiatives collectives et citoyennes, truites fario, salamandres et libellules. Histoire d’une renaissance encore fragile.
• La plaine niortaise berceau des mutuelles Si Niort était encore, au début du XXe siècle, renommée pour ses industries de traitement des peaux, la ville a su s’imposer comme la capitale des mutuelles et des assurances en moins d’un siècle
• Les jeux d’optique des beaux-arts de La Rochelle Durant des décennies, la lanterne magique, héritière de la camera obscura, a bercé le public ou l'a effrayé. Mais à grand renfort de plaques pédagogiques, elle fut aussi un outil d'éducation populaire.
• Transfigurer l’horreur - Jane Poupelet au service des “gueules cassées ” Jane Poupelet, originaire de Dordogne, est surtout renommée pour sa sculpture animalière et ses nus féminins. Mais un autre pan de sa production est moins connu : animée par un idéal d’humanisme et le désir de se rendre utile, elle fabriqua bénévolement, durant la Première Guerre mondiale, des masques réalistes pour les « gueules cassées ».
• Les moissons du ciel - S’enraciner à Notre-Dame-du-Refuge À la fin du xix siècle, l’abbé Cestac, désolé du nombre d’orphelines à la rue à Bayonne, fonda une œuvre pour les recueillir. Bientôt, des jeunes femmes le sollicitèrent pour sortir de la prostitution. Toutes furent formées aux travaux de la maison. Mais les Pénitentes, les Bernardines et les Servantes de Marie furent aussi, à la suite du prêtre, force d’innovation en matière d’agriculture et d’éducation.
• À Ligugé filent les Usines Vouée à la démolition, l’ancienne filature s’est muée en tiers-lieu innovant, dynamique et collaboratif grâce à la volonté de ses quatre co-fondateurs. Et les projets ne manquent pas dans ce site qui va doubler ses espaces de travail et d’ateliers, mais aussi se doter d’une salle dédiée à l’événementiel.
• La Nouvelle-Aquitaine 64 derrière l’objectif Ils sont les mieux placés pour scruter une région qui attire et un décor qui mute. Depuis dix ans, des artistes-photographes captent avec finesse les métamorphoses du paysage, du littoral aux vignes, de la pinède en flammes aux quartiers réhabilités. Leur regard nous ouvre les yeux et leurs travaux actuels – livres, expositions – construisent notre mémoire pour demain.
• Le Lébérou Le Lébérou est une créature légendaire du bestiaire périgourdin. Humain frappé de malédiction, il sort la nuit recouvert d’une fourrure de loup. Au fil du temps, il se transforme en lycanthrope. Le cas de Jean Grenier, au début du xviie siècle, dans la région de Coutras, est célèbre. Jusqu’à sa mort, il assura être un loup-garou.
• Les pans de Travassac L’installation des carrières d’ardoise à Donzenac au xviie siècle a durablement façonné un paysage à la fois naturel et industriel. Couvrant les toits des villages du Limousin et d’Auvergne, le précieux matériau s’est forgé une réputation de qualité, rayonnant jusqu’au Mont-Saint-Michel.
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Le Festin N°Réparer les vivants, paru le 01/03/2024

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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Dans l’intimité de Raoul Carré à Montmorillon Reconnu pour ses toiles de paysages, Raoul Carré (1868-1933) se distingue par son talent de peintre de l’intimité, avec des œuvres mettant en scène famille et amis dans son apparte- ment parisien. À l’aube du xxe siècle, alors que l’engouement pour l’art japonais imprègne les milieux artistiques, le peintre originaire de Montmorillon crée plusieurs tableaux japoni- sants, parmi lesquels une lumineuse gouache de sa chambre.
• Arcachon destination santé À la fin du XIXe siècle, la tuberculose est désignée par les courants hygiénistes comme un mal urbain. Les frères Pereire imaginent une villégiature hivernale pour accueillir la bonne société française et étrangère, déjà nombreuse à fréquenter Arcachon en été. Les médecins se chargeront d’apporter leur crédit à cette ville en forme de parc à l’anglaise.
• Comète Une ligne d'évasion
• À la Réserve de biodiversité des gravières d’Argentat Au cœur de la vallée de la Dordogne, une ancienne gravière est devenue une Réserve départementale de biodiversité. Réhabilité après avoir été exploité pendant près d’un siècle, cet ancien lit de la rivière Dordogne abrite une flore et une faune qu’il est primordial de préserver.
• Le mal des ardents Histoire
• L’hôpital-école d’Anna Hamilton à Bagatelle Florence Nightingale en héritage
• Léon Pales Formé aux sciences préhistoriques et à la médecine militaire, Léon Pales occupe une place de choix dans le paysage des préhistoriens du xxe siècle. Le Musée national des Eyzies conserve une partie du fonds lié aux travaux de ce précurseur dans l’étude de l’empreinte du pied humain.
• À Biarritz, les Ours Blancs ont 95 ans Depuis bientôt 100 ans, les Ours Blancs forment une communauté d’irréductibles baigneurs à Biarritz. Si la pratique de s’immerger en eaux froides paraît contre intuitive, elle se révèle, à tout âge, bénéfique pour la santé. Été comme hiver, les Ours vont à la rencontre des vagues.
• Le pin des landes de Gascogne « Arbre de la vie et de la santé »
• Heinz Stahlschmidt Le soldat allemand qui a protégé Bordeaux
• À l’hôpital des Pèlerins de Pons Un jardin médicinal au xxie siècle
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Le Festin N°Cafés, cercles et bistrots, paru le 01/09/2024

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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Henri Doucet Aux portes de l’avant-garde
• Barnabé sur un air de fête populaire Près de Périgueux, rive gauche de l’Isle, —, la guinguette de Barnabé, protégée depuis 2007 au titre du « Patrimoine du XXe siècle », est devenue à partir des années 1930 un emblématique îlot de loisirs pour les familles périgourdines. Aujourd’hui, elle perpétue la vocation épicurienne de ses racines.
• Yves Désautard L’empereur du pays des Banturles
• Dans le décor du Chapon Fin Deux cents ans de gastronomie bordelaise
• Tissage Moutet 150 ans d’art de vivre et de savoir-faire
• Bayonne, exhausteur de saveurs basques À chaque coin de trottoir, flâner dans les rues de Bayonne mobilise l’odorat et titille le goût. Artisans-charcutiers dont les jambons s’exposent comme des trophées, cafés et restaurants aux cartes garnies de spécialités basques, maisons de chocolat sonnant l’heure du goûter... Dans ces rues étroites et derrière les portes des peñas, s’écrivent des histoires de plats ou de produits emblématiques, portées par l’esprit festif de la ville. Visite guidée...
• Les Dames Des Roches Faire « salon » dans le Poitiers de la Renaissance
• L’affaire “Bigarreau ” Qui a bien pu assassiner Louise Paillet, la jolie tenancière du café du Gravier, à Agen ? Monnayant régulièrement ses charmes membre de l’association des Raconteurs de pays (Lot-et- Garonne) et auteur régionaliste outre les verres servis, « Bigarreau » disposait d’un beau pécule en louis d’or. En mars 1918, elle est retrouvée inerte au pied de son lit, une large plaie à la gorge
• Le Café de la Paix à La Rochelle Le Café de la Paix n’aurait pas existé sans la création, au xviiie siècle, d’un hôpital destiné aux femmes pauvres. Le bâtiment fut transformé ensuite en Café militaire. Au milieu du XIXe siècle, deux Suisses reconstruisirent l’immeuble, aménageant des salles aux boiseries d’érable, comptoirs de marbre et banquettes de velours. Haut lieu des festivités rochelaises avec ses habitués ou ses personnalités comme l’écrivain Georges Simenon, le Café de la Paix est vite devenu une institution.
• Cognac Yacht Rowing Club
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Le Festin N°Bassin d’Arcachon, paru le 01/06/2024

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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Fernand Forgues Capitaine de l’Aviron Bayonnais par Eugène Pascau
• Ventadour le souffle de l’histoire Bâti sur un éperon rocheux au xiie siècle, reconstruit, abandonné, classé aux Monuments historiques en 1840, le château de Ventadour, tout proche d’Égletons, occupe une place essentielle dans l’héritage du Limousin. Ses liens avec le pouvoir royal, la postérité littéraire de ses troubadours Èbles puis Bernart de Ventadour, comme le rayonnement de sa lignée de vicomtes, participèrent à inscrire ce nom dans l’histoire.
• Les piscines de Soulac Un rempart D contre l’érosion
• La pelote basque de Buenos Aires à Conakry On estime qu’à travers le monde, environ 4,5 millions de personnes seraient d’ascendance euskarienne. Aventuriers, explorateurs, colons... Les Basques ont parcouru le monde et y ont parfois pris pied loin de la mère patrie. Dans leur sillage, la pratique de la pelote basque s’est exportée. Indépendamment de la diaspora, ce sport séduit encore de nouveaux pays.
• Les sœurs Bouillé À la fin du xix siècle, emmenées par leur père, le comte Roger de Bouillé, les trois sœurs Marie, Yseult et Jehanne furent les premières femmes à grimper le pic de Ger, le pic de Gabizos et le Balaïtous par la crête ouest.
• Vassivière L’art et le paysage
• La Belle Époque des kiosques à musique Souvent silencieux, les kiosques à musique font pourtant partie intégrante de notre paysage. Ils sont les témoins d’une histoire sociale et populaire, et marquent toute une époque du divertissement de proximité.
• Les étés creusois de Georges Rendu Pendant 30 ans, Georges Rendu, allié à une famille propriétaire de nombreux domaines en Creuse, se balada tous les étés équipé de son appareil photographique. Il produisit ainsi des centaines de plaques de verre, aujourd’hui conservées par les Archives départementales. On y voit ses fils, les domestiques, les villageois, les métayers et les travaux agricoles traités de façon originale, à la manière d’un reportage.
• Le Bordeaux Étudiants Club et le bouclier de la Côte d’Argent Réé en 1897, le Bordeaux Étudiants Club peut s’enorgueillir de nombreux titres nationaux et même olympiques dans des disciplines aussi variées que l’athlétisme, l’escrime ou le rugby. Génération après génération, ses rugbymen se sont distingués non seulement par leur passion et leur engagement sportifs mais aussi par leurs joyeuses provocations.
• Les fouilles dans le lac de Cazaux-Sanguinet 3 000 ans d’Histoire sous les eaux
• Petite histoire du nudisme au Cap Ferret Ah le temps des vacances, le soleil, la mer ! C’est le moment de sortir nos maillots de bain des placards. Caleçon, short, deux-pièces, bikini... ou alors rien du tout, pas même une feuille de vigne ! Cet été, certains choisiront de partir à la plage dans le plus simple appareil. Sur la Presqu’île, le fait ne date pas d’hier : les « nudistes » faisaient déjà parler à la fin du xixe siècle !
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Le Festin N°Histoires de familles, paru le 21/01/2025

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A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Noce poitevine ou Le retour des épousés au logis En 1891, Jean Brunet, formé aux Beaux-Arts de Poitiers, peint un couple de mariés suivi d’un cortège et attendu par la famille à l’intérieur d’une maison baignée de lumière. Conservée au musée Bernard d’Agesci (Niort), cette scène à la fois familiale et sociale se décrypte à la faveur des costumes et particulièrement des bijoux portés par les protagonistes.
• François Mauriac et sa mère À la lumière de Claire
• Les Ainciart Bergara Une histoire basque et de makhila
• La dynastie de Lazare Weiller Industriel éclairé et mécène généreux
• Des cadets aux mousquetaires L’excellence militaire gasconne
• Henri et Marinette Cueco Destins croisés, enracinés en Corrèze
• Rites et coutumes du mariage en Creuse Épingles, bravade et poule blanche
• Levol rocambolesque du reliquaire d’Ambazac Main basse sur la châsse
• Chaigneau et Bichon Le mariage au service D de l’industrie navale
• Les cagots Histoire d’une discrimination
• Marianoko Etchea Il était une maison
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Le Festin N°L’âme des villes, paru le 01/09/2023

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LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Bayonne à l’école de Bonnat Commande officielle de l’État au peintre Henri- Achille Zo, le triptyque du musée Bonnat-Helleu, consacré à Léon Bonnat et à ses élèves basques et béarnais, rend aussi hommage à la ville natale de l’artiste. Soustraits au regard du public pendant presque 90 ans, ces grands panneaux décoratifs traduisent la vitalité artistique de Bayonne, à la veille de la Première Guerre mondiale.
• Fouilles à La Peyrouse Près de Périgueux, le site archéologique de La Peyrouse a été découvert il y a bientôt 10 ans. Toujours en cours de fouilles, cette agglomération gauloise occupée durant plus de cinq siècles est un témoin exceptionnel de l’histoire des Celtes en Nouvelle-Aquitaine, et de la transition vers la Gaule romaine. C’est aussi une aventure humaine et scientifique qui associe archéologues, scientifiques et bénévoles autour d’un projet d’envergure.
• Quand Hélène Plessis-Vieillard photographiait Poitiers Artiste oubliée du début du xxe siècle, Hélène Plessis-Vieillard a passé sa vie à parcourir les rues de Poitiers et à en photographier les moindres détails, par goût personnel puis en réponse à des commandes du musée et des Monuments historiques : c’est l’histoire de la ville qui se révèle dans ses images.
• Bayonne, les clefs d’une reconquête Façades à colombages, rues piétonnes et enchevêtrement d’escaliers confèrent à Bayonne charme et caractère. Pourtant, dans les années 1960-1980, le centre-ville s’était vidé de ses résidents tentés par les pavillons de la périphérie. La municipalité a alors réhabilité de nombreux logements insalubres. Attirant habitants et commerçants, elle a été pionnière dans la revitalisation des centres historiques.
• Quelques figures de la scène street art bordelaise Pratique marginale, clandestine et éphémère, le graffiti s’infiltre à Bordeaux à l’aube des années 1980. À l’époque, les messages politiques, poétiques, absurdes, provocateurs, les peintures, les détournements et les signatures couvrent les murs. Un style bordelais émerge même. Insaisissable, multiple et controversé, l’art urbain gagne aujourd’hui en légitimité. Pour les graffeurs de la première heure ou la nouvelle génération, Bordeaux reste une scène active.
• Les réinventions du quartier des Halles de Pau Cœur battant de la ville de Pau, les quartiers des Halles et du Foirail, élevés au xixe siècle, ont connu une véritable renaissance ces dix dernières années. Implantation de services culturels, rénovation du bâti ancien et aménagement d’espaces dédiés aux piétons ont donné un nouveau souffle à cette zone emblématique et populaire du centre.
• L’Observatoire de Limoges pour mémoire Joyau patrimonial, témoignage d’une aventure scientifique hors pair, l’Observatoire de Limoges, conçu à la fin du xixe siècle par Paul Garrigou-Lagrange, disparut sous les pelleteuses en 1979. Au mépris du droit et du devoir de mémoire.
• La vie des arènes de Mont-de-Marsan Chaque année, pour les fêtes de la Madeleine en juillet, les arènes de Mont-de-Marsan, le Plumaçon pour les intimes, deviennent l’épicentre de la ville. Un cœur qui n’a cessé de battre au fil d’une histoire faite de clameurs, celle des jeux de l’arène et du stade.
• Les bains-douches Au xixe siècle, les bains-douches limousins ne furent pas l’œuvre de philanthropes, mais des communes, mutuelles ou Habitations à bon marché, bénéficiant du financement des Caisses d’Épargne. Fermés dans les années 1970 avec la généralisation des salles de bain à domicile, ces lieux témoignent d’importants progrès en matière d’hygiène et de politiques publiques sanitaires et sociales.
• L’aventure des Castors de Pessac À Pessac, 150 jeunes hommes emmenés par le prêtre-ouvrier Étienne Damoran ont construit, entre 1949 et 1951, la cité des Castors. Aventure populaire inédite, ce chantier fut porté par un engagement total dans le travail, des solidarités concrètes et une profonde confiance en l’avenir. Leur initiative inspira les cités de Mérignac, de Villenave-d’Ornon et de nombreuses villes en France.
• Musée du Nouveau Monde de La Rochelle Quand le passé convoque le présent
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Le Festin N°Destins extraordinaires, paru le 01/12/2023

  • Arts
Trimestriel
LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Découverte d’un portrait d’Isaac Louverture Qui se cache derrière cette énigmatique huile sur papier ? Loin de la figure d’esclave ou du modèle d’atelier, ce portrait de notable serait celui du fils de Toussaint Louverture, qui s’installa à Bordeaux en 1816 et y vécut près de quarante ans.
• Aliénor la reine aux deux visages Duchesse, deux fois reine, Aliénor d’Aquitaine a nourri bien des fantasmes. Bonne cavalière, protectrice des arts, dotée d’une grande influence politique, rebelle... ou machiavélique, drapée dans sa beauté froide, avide de pouvoir. Qui était-elle derrière ces représentations ?
• Le sprinter chantant Paul Bourrillon Champion de cyclisme sur piste, puis chanteur lyrique à la carrière internationale, Paul Bourrillon sut suivre ses passions. Au tournant du XXe siècle, ce Marmandais exerça ses talents dans toute l’Europe et outre-Atlantique, avant de revenir couler des jours paisibles dans son Lot-et-Garonne natal.
• Le château de Woolsack à Mimizan D’abord pavillon de chasse, puis refuge du gotha européen, le château de Woolsack a vu défiler les plus grandes vedettes de l’entre-deux-guerres sur les rives du lac d’Aureilhan, dans le sillage de son sulfureux propriétaire, le duc de Westminster.
• Maryse Bastié « Je veux, je peux », proclamait Maryse Bastié. La grande aviatrice a largement démontré sa devise. Détentrice de tous les records, engagée dans la Résistance et pour l’égalité hommes-femmes, cette femme audacieuse et singulière fut sans aucun doute une pionnière.
• La maison de Pierre Loti à Rochefort La maison d’enfance de Pierre Loti, à Rochefort, fut son refuge et son œuvre. Cet homme à l’imagination inépuisable en a fait son terrain de jeu. Classée Monument historique, la demeure, avec ses salons exotiques et ses fantaisies néo-Renaissance, est fermée au public pendant le colossal chantier de restauration.
• L’Arche d’Osiris De 1913 à 1942, à l’initiative du riche mécène Daniel Iffla-Osiris, les indigents de Bordeaux ont pu bénéficier de repas chauds servis à bord du bateau-soupe. Une institution qui dura près de trente ans, dont il ne reste aujourd’hui que des souvenirs et une plaque commémorative sur l’actuel Centre d’accueil d’urgence Leydet.
• La flèche Saint-Michel Lieu saint, attraction touristique, symbole politique, mais surtout élément emblématique du paysage bordelais, la flèche Saint-Michel domine ce quartier depuis le XVe siècle. Jadis le monument de pierre le plus haut de France, « la Flèche » plusieurs fois reconstruite, possède sa propre mythologie.
• La fabuleuse histoire de la girafe de La Rochelle Cadeau diplomatique du pacha égyptien Méhémet Ali à Charles X, la « girafe du roi », aujourd’hui conservée au muséum d’histoire naturelle de La Rochelle, parcourut 4 000 km en felouque, en brigantin et à pied jusqu’au jardin des plantes de Paris, suscitant toutes les curiosités et inspirant même de nouvelles modes.
• Plessis-Cherchemont ou le château disparu Quelques pierres de deux anciennes tourelles au pied d’un étang : c’est tout ce qu’il reste du château féodal du Plessis-Cherchemont de Vausseroux, transformé en une demeure d’agrément aux XVIIe et XVIIIe siècles. Quant aux témoignages de la vie de ce lieu de rassemblement familial jusqu’au début du XXe siècle, leur rareté les rend aujourd’hui d’autant plus précieux.
• Charles Martel à Poitiers Que s’est-il passé à Poitiers en 732 ? Un événement sans doute bien plus complexe qu’il n’y paraît. Non seulement la religion n’est pas la motivation principale de cette bataille, mais le vainqueur fut considéré pendant des siècles comme un usurpateur ou un obscurantiste avant de faire l’objet de nombreuses récupérations.
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Le Festin N°Les Landes en 101 sites et monuments, paru le 05/07/2023

  • Arts
Trimestriel
LE FESTIN défend, depuis 30 ans, une vision dynamique et originale du patrimoine : du local à l’universel, des monuments historiques à la création la plus contem­poraine.
A chaque numéro, LE FESTIN propose de faire découvrir toute la Nouvelle-Aquitaine en revue, à partir de textes et de documents mettant en valeur la richesse et la grande diversité de ses patrimoines artistiques, de ses paysages et de ses expressions les plus contemporaines. Unique publication culturelle de ce genre au niveau régional, elle poursuit ainsi, numéro après numéro, son travail de (re) découvertes au service d’un public de plus en plus large et curieux.Sommaire• Le littoral landais Attractif par nature
• L’Adour
• La forêt La forêt landaise est multifonctionnelle : elle produit, protège et accueille. Sur un vaste triangle s’étendant de la Gironde à la partie ouest du Lot-et-Garonne, elle couvre plus d’un million d’hectares.
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