Kat Connors a 17 ans lorsque sa mère disparaît sans laisser de trace. Alors qu’elle découvre au même moment sa sexualité, Kat semble à peine troublée par cette absence et ne paraît pas en vouloir à son père, un homme effacé. Mais peu à peu, ses nuits peuplées de rêves vont l’affecter profondément et l’amener à s’interroger sur elle-même et sur les raisons véritables de la disparition de sa mère…
2014
Festival du Film Américain de Deauville : Nommé pour le Prix Kiehl's de la Révélation
Nommé pour le Grand Prix
Nommé pour le Prix du Jury
Nommé pour le Prix de la Critique
Nommé pour le Prix du Public de la Ville de Deauville
Nommé pour le Prix du 40ème Anniversaire
“White Bird” offre une peinture impitoyable de la cellule familiale américaine dans les années 1980. Araki excelle dans le dévoilement du grotesque de la vie. Les Fiches du Cinéma
Sans égaler la puissance des fictions de son contemporain Todd Solondz, "White Bird" s'impose comme le film le plus abouti et intéressant de son auteur. Positif
Certes "White Bird" n'a pas la puissance nihiliste des premiers films du réalisateur (...) mais l'apocalyspe est bien là, intime. Le Monde
White Bird s’inscrit dans la veine arakienne moins tonitruante de "Mysterious Skin" et se présente comme son (deuxième) meilleur film. Les Inrockuptibles
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