La première semaine de Benoit dans son nouveau collège ne se passe pas comme il l'aurait espéré. Il est malmené par la bande de Charles, des garçons populaires, et les seuls élèves à l'accueillir avec bienveillance sont des " ringards ".
Heureusement, il y a Johanna, jolie suédoise avec qui Benoit se lie d'amitié et tombe sous le charme. Hélas, celle-ci s'éloigne peu à peu pour intégrer la bande de Charles.
Sur les conseils de son oncle, Benoit organise une soirée et invite toute sa classe. L'occasion de devenir populaire et de retrouver Johanna.
Interprétée par des non-professionnels, tous très justes, cette sorte de prequel des Beaux Gosses est une belle surprise. Cahiers du Cinéma
Rudi Rosenberg filme des situations justes, et souvent amusantes, sur cet âge où être accepté, intégré, est une question de vie ou de mort. Télérama
Rien de nouveau dans cette épiphanie programmée du film, en somme, mais les chemins qu’il ouvre, par l’humour, la douceur, la gentillesse réhabilitée en tentation concurrente de la méchanceté et l’affirmation constante du droit de grandir sans renoncer à l’enfance, réécrivent avec vivacité et pertinence cette leçon aussi ancienne que difficile à acquérir, lorsqu’on a douze ans et le vertige d’une vie devant soi. Le Monde
Rudi Rosenberg, dans ce premier long-métrage, évite bien des écueils et nous épargne en particulier la fin édifiante et attendue qui verrait le boloss se transformer en BG. Une jolie réussite. Positif
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