1975. Le Dr Robert Laing, en quête d’anonymat, emménage près de Londres dans un nouvel appartement d’une tour à peine achevée; mais il va vite découvrir que ses voisins, obsédés par une étrange rivalité, n’ont pas l’intention de le laisser en paix… Bientôt, il se prend à leur jeu. Et alors qu’il se démène pour faire respecter sa position sociale; ses bonnes manières et sa santé mentale commencent à se détériorer en même temps que l’immeuble : les éclairages et l’ascenseur ne fonctionnent plus mais la fête continue! L’alcool est devenu la première monnaie d’échange et le sexe la panacée. Ce n’est que bien plus tard que le Dr Laing, assis sur son balcon en train de faire rôtir le chien de l’architecte du 40ème étage, se sent enfin chez lui.
Cette adaptation de l'un des chefs-d'œuvre de J.G. Ballard prend la forme, sous la houlette de l'imprévisible Ben Wheatley, d'un cauchemar éveillé, aussi inconfortable que percutant. Les Fiches du Cinéma
Sur une bande sonore qui mêle une belle et inquiétante partition symphonique de Clint Mansell et quelques moments de rock allemand d'époque (...), Ben Wheatley orchestre le ballet de la désintégration. Le Monde
La mise en scène est parfois un peu tape-à-l'oeil, mais le film, par ailleurs habillé par une bande-son exceptionnelle, hante longtemps après la projection. L'Express
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