Paris, Le Trocadéro. Math, Marie, Pacman, JP, Guillaume et Toff se retrouvent tous les jours au Dôme, derrière le Palais de Tokyo. C’est là où ils font du skate, s’amusent et se défoncent, à deux pas du monde confiné des arts qu’ils côtoient sans connaître. Certains sont inséparables, liés par des vies de famille compliquées. Ils vivent l'instant, c’est l’attrait de l’argent facile, la drague anonyme sur Internet, les soirées trash "youth, sex, drugs & rock’n’roll". Toff, filme tout et tout le temps…
Testament nu et fragile d’un cinéaste qui ravive les premières flammes de son œuvre punk tout en s’abandonnant à un horizon plus autobiographique et introspectif. Les Inrockuptibles
La grande plasticité de "The Smell of Us" frappe. (...) Avec acuité, il (Larry Clark) capte la dépendance aux réseaux sociaux et les dangers du vortex numérique. Le Monde
Depuis combien de temps un film n’a-t-il pas scellé aussi exactement une vérité de l’émotion ? "The Smell of Us" appartient à ces films rares qui reconfigurent tout lorsqu’on les voit : on en sort en se disant que c’est pour cela qu’on va voir des films. Cahiers du Cinéma
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