Fausta, très belle jeune femme péruvienne, est atteinte du syndrome de "La teta asustada", transmis par sa mère qui vient de mourir. L'oncle qui les héberge exige de Fausta qu'elle parte enterrer sa mère au village natal et finance les funérailles. La jeune femme, introvertie et sauvage, devient employée de maison chez une célèbre concertiste, à qui elle va redonner l'inspiration en lui chantant des poèmes en quechua. Cette rencontre est pour Fausta un premier pas vers sa libération…
2010
Oscars : Nommé pour l'Oscar du Meilleur Film Etranger
2009
Festival International du Film de Berlin (Berlinale) : Ours d'Or / Prix de la critique internationale
Nommé pour l'Ours d'Argent du Meilleur acteur
Nommé pour l'Ours d'Argent du Meilleur réalisateur
Nommé pour le Grand Prix du jury (Ours d'Argent)
Nommé pour l'Ours d'Argent de la Meilleure contribution artistique
Nommé pour le Prix Alfred-Bauer
Nommé pour l'Ours d'argent du Meilleur scénario
Un film à la fois modeste et ambitieux sur la mémoire et, à travers celle-ci, l'acceptation du passé. Libération
Le sensationnel que recèle potentiellement ce récit s'efface sous la retenue de Claudia Llosa, sa distance d'observatrice et la soigneuse composition des cadres qui laissent la part belle au hors-champ, des gros plans qui scrutent les visages aux plans larges qui montrent les paysages villageois, les vies qui les peuplent. L'Humanité
La comédienne Magaly Solier est belle et grave. Ses complaintes en langue quechua sont à pleurer […] Le premier long-métrage péruvien présenté au festival de Berlin méritait la récompense suprême. Les Echos
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