Christian est un père divorcé qui aime consacrer du temps à ses deux enfants. Conservateur apprécié d’un musée d’art contemporain, il fait aussi partie de ces gens qui roulent en voiture électrique et soutiennent les grandes causes humanitaires. Il prépare sa prochaine exposition, intitulée « The Square », autour d’une installation incitant les visiteurs à l’altruisme et leur rappelant leur devoir à l’égard de leurs prochains. Mais il est parfois difficile de vivre en accord avec ses valeurs : quand Christian se fait voler son téléphone portable, sa réaction ne l’honore guère… Au même moment, l’agence de communication du musée lance une campagne surprenante pour The Square : l’accueil est totalement inattendu et plonge Christian dans une crise existentielle.
2018
Golden Globes : Nommé pour le Meilleur Film en Langue Etrangère
2017
Festival de Cannes : Palme d'or
Nommé pour le Prix du scénario
Nommé pour le Cannes Soundtrack
Nommé pour le Prix Fipresci - Compétition officielle
Nommé pour le Grand Prix
Nommé pour le Prix du Jury
Nommé pour le Prix de la mise en scène
Cette nouvelle fable réjouissante vise ainsi la cible favorite de cet auteur scandinave émule de Buñuel : la bourgeoisie (dont il est issu) et à travers elle, bien sûr, les ambiguïtés du fameux "modèle suédois". Sauf qu'elle le fait d'une manière plus ample qu'auparavant. Ici, Ruben Östlund repousse en effet les limites de la performance artistique... comme celles de la morale. C'est dire si "The Square" est percutant (...). Positif
The Square, qui fait semblant de régler son compte à l'art contemporain, est un jeu de massacre tout-terrain. L'homme moderne, avec sa bonne conscience, en sort crucifié, éviscéré. Le spectacle est réjouissant. Le Figaro
Cynique, drôle, assez mtello tout en sachant aborder des thèmes de société comme les migrants, « The Square » repose entièrement sur les épaules de Claes Bang, qui est de tous les plans. Le Parisien
Quoi qu'il en soit, même si "The Square" est un peu long, il y a des grands moments de rire, voire des scènes d'anthologie, une critique salutaire de la bien-pensance et un film qui dérange à souhait. C'est ça aussi le cinéma. Ouest France
Autour du comédien danois Claes Bang, Elisabeth Moss, Dominic West, ainsi que le jeune et stupéfiant Elijandro Edouard, composent une affiche impressionnante, tous faisant la démonstration d’un jeu singulièrement affûté – une des grandes réussites du film. La Croix
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