Tato vit entouré de sa mère, sa grand-mère, ses oncles et Dieu. À vingt ans, il découvre la vie et commence à travailler à l’abattoir avec les hommes de la famille. Sans patron et géré par les ouvriers, l’abattoir résonne des cris des bêtes et des discussions enflammées des hommes, pas forcément d’accord sur la conduite du lieu ou la répartition des bénéfices. On bosse, on mange, on s’engueule, on chante, on s’aime. Les enfants grandissent et deviennent peu à peu des hommes. Histoire de famille, de travail, de luttes, histoire de la vie drôle et touchante, bruyante et tonitruante.
Un film plein d'humanité, qui évoque le meilleur Ken Loach. Positif
La dignité, le courage, l’amour sont les valeurs de cette famille de la classe ouvrière où s’immerge le documentaire, loin de tout misérabilisme. Libération
L’alternance entre moments de calme au domicile de Tato, visites pieuses à l’église et journées ubuesques à l’usine livre alors un résultat étonnamment harmonieux, où l’appartenance du personnage à différents groupes sociaux finit par constituer un sujet à part entière et par offrir à cette réalité quotidienne des airs de douce fiction. Première
x Cacher la playlist
Commandes | > | x |
---|---|---|