L'itinéraire d'un jeune délinquant qui, après avoir volé une voiture et tué un policier, est traqué par la police...
1962
BAFTA : Nommé pour la Meilleure Actrice Etrangère (Jean Seberg)
1960
Festival International du Film de Berlin (Berlinale) : Ours d'Argent du Meilleur réalisateur
Nommé pour l'Ours d'Argent du Meilleur acteur
Nommé pour l'Ours d'Argent de la Meilleure actrice
Nommé pour l'Ours d'Or
Nommé pour le Grand Prix du jury (Ours d'Argent)
"A bout de souffle revient comme s'il ne nous avait jamais quitté. Paris a vieilli. Lui n'a pas changé." (Critikat.com, Mathieu Macheret),
"Enfant terrible de la Nouvelle Vague, faussement potache et amateur, Godard invente un cinéma de liberté, brodant à partir d'un scénario tenant en dix lignes, fuyant le tournage en studio, et filmant les rues de la capitale et les routes de province comme on ne les avait jamais filmées... (...) Prises de vue superbes, dans un montage heurté mêlant travellings rapides et faux raccords. (...) "A bout de souffle" n'a pas pris une ride et n'a pas démérité son statut de film culte, inaugurant la première période (la plus créative) de Godard (...). Jean-Paul Belmondo, dont c'était le premier grand rôle, irradie l'écran par son charisme et son humour, créant un personnage et un jeu d'acteur inédits dans le cinéma, quelque part entre James Dean et Michel Simon..." (aVoir-aLire.com),
"Un auteur était né, qui nous offrait une époustouflante démonstration de toutes les possibilités du cinéma ; un film innovant, culotté, irrévérencieux et au final délicieux et grisant, qui n'a pas pris une ride grâce à cette liberté de ton et de style dans les dialogues comme dans le scénario ou dans la mise en scène." (dvdclassik.com).
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