Gilles Picarel

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Affiche du document Les frontières de l'extériorité — Les frontières de l'extériorité
Gilles Picarel
1h22min30
Cinéma
Youscribe plus
110 pages. Temps de lecture estimé 1h22min.
Cette création est le résultat d'un projet photographique, Refuge, mené à Montpellier auprès de jeunes homosexuels victimes de l'exclusion. La photographie y est interrogée dans sa dimension à la fois sociale et artistique. Mon ambition était de travailler à partir d'une idée de l'identité individuelle comme une construction en mouvement permanent. Cette proposition artistique est également le point de départ d'une réflexion plus large sur la différence, l'altérité et l'extériorité. (Photographies en couleur).

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Affiche du document Évidence — Évidence
Gilles Picarel
1h41min15
Cinéma
Youscribe plus
135 pages. Temps de lecture estimé 1h41min.
Qu’est-ce que l’évidence ? Existe-t-elle ?L’évidence objective s’imposerait par elle-même et serait reconnue universellement par tout le monde, sinon, elle ne serait pas évidence ; mais y a-t-il une seule chose universellement reconnue par tout le monde ? L’évidence subjective renverrait à une impression d’évidence, à un sentiment d’évidence, à une certitude subjective et se formulerait ainsi : « Pour moi, il est évident que… » ; mais puisqu’elle ne serait que l’évidence d’un sujet ou d’un ensemble de sujets et non de tout le monde, il serait illégitime de parler d’évidence. Dans les deux cas, il y a problème. Nous devons donc penser le problème de l’évidence.Pour cela, ce livre s’appuie sur la philosophie, mais aussi sur les images : non seulement parce qu’évidence vient de videre, voir, mais surtout parce que des artistes ont interrogé l’évidence avecdes photographies et avec des images produites par l’intelligence artificielle (IA).Les enjeux de l’évidence sont fondamentaux et très actuels.

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Affiche du document Affleurement — Affleurement
Gilles Picarel
1h16min30
Cinéma
Youscribe plus
102 pages. Temps de lecture estimé 1h16min.
L'auteur questionne ici la relation entre image, intériorité et extériorité. Un autoportrait réalisé à Valparaiso en 2015 est à la source de ce travail. Il en constitue le point fixe à partir duquel l'auteur va revenir sur des photographies déjà réalisées et créer un nouveau réseau de sens entre elles. L'ouvrage questionne la notion de passage et de bifurcation. Il envisage la photographie comme un processus d'affleurement et d'actualisation entre le familier et l'étranger, le visible et l'invisible, la surface et la profondeur. (De nombreuses illustrations en couleur et en noir et blanc).

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Affiche du document La photographie au risque de l'extériorité — La photographie au risque de l'extériorité
Gilles Picarel
3h30min45
Cinéma
Youscribe plus
281 pages. Temps de lecture estimé 3h31min.
La spécificité de la photographie trouve sa source dans l'extériorité. Elle se révèle maladroite, voire impuissante, à exprimer la singularité d'une personne, à révéler l'atmosphère d'une ville ou à dépasser les apparences d'un objet. Cet échec corrélatif du médium pourrait être sa chance, car que deviendrait l'objet si la photographie était un moyen de s'en saisir et de s'emparer de lui ? Comment penser ce qui est photographié si la photographie le ramenait au même, c'est-à-dire à soi et à l'identique ? Qu'adviendrait-il enfin de l'extérieur si ce n'était qu'un prétexte à la réalisation d'une photographie de soi-même ? Si la photographie peut combler un désir de connaissance, ou s'affranchir de la distance qui sépare le photographe du monde, l'extériorité fait surgir l'infranchissable et l'insaisissable au coeur de la photographie. Elle introduit un paradoxe dans la relation du médium au dehors, mêlant l'impossible au possible. À partir d'artistes contemporains (d'Agata, Engström, Pataut, Bazin, Guibert) et de ses propres travaux, l'auteur part à la recherche d'une possible extériorité et d'une nouvelle esthétique de la photographie.

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Affiche du document Résidant — Résidant
Gilles Picarel
1h18min45
Cinéma
Youscribe plus
105 pages. Temps de lecture estimé 1h19min.
Du 12 décembre 2014 au 28 février 2017, quinze séjours ont eu lieu au Centre Thérapeutique Résidentiel Cèdre Bleu de l'association CedrAgir. Séjours durant lesquels des photographies ont été faites avec les résidents acceptant de participer au projet. Faire une image photographique met souvent en jeu un "faire ensemble" au coeur d'une situation où chacun est étranger vis-à-vis de l'autre. Cela implique de sortir de soi afin de dépasser les différences et d'accueillir autrui.

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Affiche du document L'extériorité à l'épreuve de l'autre — L'extériorité à l'épreuve de l'autre
Gilles Picarel
1h02min15
Philosophie
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83 pages. Temps de lecture estimé 1h02min.
Pour un artiste ou un chercheur, s'emparer du problème de l'extériorité revient à se confronter à une relation aporétique au monde, aux choses, aux êtres et à son oeuvre. Poser la question de l'extériorité est irréductible à toute tentative de définition et contradictoire avec le désir d'en délimiter les contours, car ces tentatives dévitaliseraient l'idée même d'extériorité. Entrer dans le sillage de l'extériorité ou se lancer sur sa piste c'est alors accepter l'épreuve de l'autre. Cette expérience réintroduit à l'égard du monde et des hommes une possibilité d'ouverture à l'imprévisible, à l'innommable et à l'inconnaissable. Elle expose la temporalité à l'accueil de l'inattendu et de la surprise. Cette épreuve de l'autre ne réduit pas l'autre moi-même à l'anonymat, elle lie le chercheur, l'artiste et tout homme à un autre dont il est impossible d'être quitte.

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Affiche du document L'extériorité à l'épreuve de l'autre — L'extériorité à l'épreuve de l'autre
Gilles Picarel
2h03min45
Philosophie
Youscribe plus
165 pages. Temps de lecture estimé 2h4min.
Pour un artiste ou un chercheur, s'emparer du problème de l'extériorité revient à se confronter à une relation aporétique au monde, aux choses, aux êtres et à son oeuvre. Poser la question de l'extériorité est irréductible à toute tentative de définition et contradictoire avec le désir d'en délimiter les contours, car ces tentatives dévitaliseraient l'idée même d'extériorité. Entrer dans le sillage de l'extériorité ou se lancer sur sa piste c'est alors accepter l'épreuve de l'autre. Cette expérience réintroduit à l'égard du monde et des hommes une possibilité d'ouverture à l'imprévisible, à l'innommable et à l'inconnaissable. Elle expose la temporalité à l'accueil de l'inattendu et de la surprise. Cette épreuve de l'autre ne réduit pas l'autre moi-même à l'anonymat, elle lie le chercheur, l'artiste et tout homme à un autre dont il est impossible d'être quitte.

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Affiche du document Photographie & extériorité — Photographie & extériorité
Gilles Picarel
1h58min30
Photographie
Youscribe plus
158 pages. Temps de lecture estimé 1h58min.
Qu'est-ce que l'extériorité ? En quoi convoque-t-elle notre rapport au monde et notre obligation de penser ? Qu'en est-il des relations qu'entretiennent avec l'extériorité la photographie sans-art et les photographies faites dans un horizon de l'art ? Cette problématique nous oblige à repenser les liens que la photographie peut nouer avec l'invisible et le visible, avec l'étrangeté et l'altérité, avec la distance et la proximité, la transparence et l'obstacle.

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Affiche du document Art et extériorité — Art et extériorité
Gilles Picarel
2h13min30
Littérature & Beaux Arts
Youscribe plus
178 pages. Temps de lecture estimé 2h13min.
Peut-on dissocier philosophie et art dans la confrontation à l'extériorité ? L'art, face à celle-ci, ne donne pas de réponses, mais pose des questions. Doit-il être sans extériorité, donc alors art pour l'art, jeu de formes ou de matières qui ne renvoie qu'à lui-même ? Les enjeux ne concernent pas tant les oeuvres mêmes que notre rapport possible à ces oeuvres, et à partir de là, à notre existence et à notre rapport à l'infini. Peut-être qu'ainsi l'art crée un monde, un cosmos, un univers ?

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Affiche du document Photographie & altérité — Photographie & altérité
Gilles Picarel
1h31min30
Photographie
Youscribe plus
122 pages. Temps de lecture estimé 1h31min.
La relation entre photographie et altérité pourrait se caractériser par un empêchement : l'impossibilité faite au médium d'atteindre son objet. C'est à partir des travaux de Marc Pataut, principal acteur depuis les années 1990 d'une photographie reposant sur des processus dialogiques, que la réflexion va être menée. Confrontée à une altérité qui à la fois se donne et se retire, apparaît et se voile, reste la même tout en étant toujours autre, la photographie n'est-elle pas condamnée à manquer irrémédiablement son objet ?

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Affiche du document Affleurement — Affleurement
Gilles Picarel
1h16min30
Photographie
Youscribe plus
102 pages. Temps de lecture estimé 1h16min.
L'auteur questionne ici la relation entre image, intériorité et extériorité. Un autoportrait réalisé à Valparaiso en 2015 est à la source de ce travail. Il en constitue le point fixe à partir duquel l'auteur va revenir sur des photographies déjà réalisées et créer un nouveau réseau de sens entre elles. L'ouvrage questionne la notion de passage et de bifurcation. Il envisage la photographie comme un processus d'affleurement et d'actualisation entre le familier et l'étranger, le visible et l'invisible, la surface et la profondeur. (De nombreuses illustrations en couleur et en noir et blanc).

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