Pierre Zaccone

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Affiche du document Le courrier de Lyon

Le courrier de Lyon

Pierre Zaccone

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  • Témoignages et autobiographies
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400 pages. Temps de lecture estimé 5h00min.
Pierre Zaccone (1818-1895) "Le 27 avril 1796 (8 floréal an IV), vers dix heures du matin, un homme se présentait à l’hôtel des Postes, rue Jean-Jacques-Rousseau, bureau des voyageurs, et demandait à retenir une place dans la malle qui devait partir, le soir même, de Paris pour Lyon. Cet homme avait cinquante ans environ. En réponse aux questions d’usage qui lui furent adressées à, l’effet d’établir son identité, il déclara se nommer Laborde, et produisit un passe-port et une carte de sûreté en bonne forme. On l’enregistra donc sur la feuille des voyageurs, et il paya le prix de sa place, – soit : deux mille sept cent trente-sept livres. Hâtons-nous d’ajouter, pour édifier le lecteur, qu’un pareil chiffre pourrait effrayer, que ces 2,737 livres avaient été payées en assignats et non en numéraire. Le prix de sa place acquitté, le sieur Laborde s’enquit du courrier avec lequel il devait voyager, et sur l’indication qui lui fut donnée, il s’empressa de se rendre auprès de lui. Cette précaution n’avait rien alors que de très naturel. La route était longue, de Paris à Lyon. La voiture dans laquelle s’effectuait le trajet était une sorte de chaise ouverte comme un cabriolet où le voyageur se trouvait seul avec le courrier, et il était de la plus élémentaire prudence de s’assurer les bonnes grâces de ce dernier, qui pouvait, à son gré, rendre le voyage agréable ou insupportable à son compagnon." Affaire criminelle. Avril 1796. La malle-poste de Paris à Lyon est attaquée. Les deux convoyeurs sont assassinés et l'argent volé. Un certain Lesurques est reconnu par des témoins... Etait-il coupable ou innocent ?
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Affiche du document Eric le mendiant

Eric le mendiant

Pierre Zaccone

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223 pages. Temps de lecture estimé 2h47min.
Pierre Zaccone (1818-1895) "Le 15 juin 1848, un paysan et une jeune fille sortirent de bon matin du bourg de Lanmeur, et s’acheminèrent vers le petit village de Saint-Jean-du-Doigt, situé à quelques lieues de là, sur le bord de la mer. Il pouvait être sept heures. La journée promettait d’être superbe ; le ciel étendait au-dessus de leurs têtes son éclatante tenture bleue, frangée de nuages blancs ; le soleil sortait étincelant des montagnes lointaines ; le souffle frais du matin courbait les arbres en fleur, et semait sur la route les gouttes odorantes que la rosée venait d’y verser. Il régnait de toutes parts un calme, une paix, une sorte de recueillement pieux, mêlé de doux et ineffables tressaillements ; on eût dit que la terre encore à demi assoupie luttait en soupirant contre les dernières étreintes de la nuit, et qu’elle murmurait doucement sa prière au dieu du jour. Le paysan portait le costume breton dans toute son austère simplicité – le chapeau rond à larges bords, la veste de drap noir, le long gilet brun, la ceinture de couleurs diverses, la culotte large et flottante, les guêtres de toile, et les souliers ferrés. – Il était grand et fort, robuste et nerveux, fumait une pipe grossière, et s’appuyait, en marchant, sur un énorme pen-bas, ce rude instrument des vendette bretonnes. Recueil de 3 romans courts : "Eric le mendiant" - "Un clan breton" - "Une vengeance anglaise"
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Affiche du document La recluse

La recluse

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5h02min15

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403 pages. Temps de lecture estimé 5h02min.
Pierre Zaccone (1818-1895) "Le 25 mars 1851, un charmant aviso gréé en goélette quittait New-York, vers cinq heures de l’après-midi, et, poussé par une brise favorable, prenait la mer, toutes voiles dehors. C’était l’Atalante, un des plus fins voiliers de la marine. La petite goélette faisait partie d’une escadre d’exploration qui évoluait sur les côtes d’Amérique ; elle avait reçu pour mission d’aller prendre à New-York les dépêches de France, et, après avoir mouillé quelques jours en vue du port, elle repartait, alerte et vive, pour rallier l’escadre et lui apporter les correspondances attendues. Le temps était superbe, l’horizon très pur, quoique la brise fût un peu forte, l’Atalante n’avait pas diminué de toile. Aussi filait-elle, coquettement inclinée sur tribord, et laissant derrière elle un long sillage d’écume auquel les rayons du soleil couchant imprimaient comme un reflet de pourpre. Presque tous les matelots étaient montés sur le pont et le commandant lui-même venait de s’accouder aux bastingages pour embrasser d’un dernier regard le vaste panorama de New-York, qui allait tout à l’heure sombrer et disparaître dans les flots d’or de l’horizon. Cela dura une heure à peu près, au bout de laquelle les premières brumes du soir commencèrent à flotter dans l’air, pendant que la brise se mettait à mollir." 1851. Gaston de Pradelle, commandant la goélette "l'Atalante", après avoir essuyé un ouragan, reçoit un étrange appel à l'aide provenant d'un phare...
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Affiche du document Une haine au bagne

Une haine au bagne

Pierre Zaccone

13h37min30

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1090 pages. Temps de lecture estimé 13h37min.
Pierre Zaccone (1818-1895) "À l’heure où la nuit tombe dans les rues de Paris, où les fenêtres s’allument et brillent de toutes parts, depuis le rez-de-chaussée jusqu’à la mansarde, où les passants glissent comme des ombres dans les demi-ténèbres qui estompent les maisons de tons grisâtres ; à cette heure, cent mille drames se jouent à la fois sur ces cent mille théâtres qui étincellent, drames sombres et terribles qui se passent derrière la toile, où nul spectateur n’assiste, qui se nouent dans l’orgie, se déroulent dans le vice et ont tous pour péripéties la faim, la douleur, le suicide ou le crime ?... Et ces drames, que nul ne voit, sont autrement émouvants que tous ceux où se démènent à froid des hommes payés pour peindre la fureur ou le désespoir, car, dans ceux-là, c’est une fureur vraie qui tord les muscles de l’acteur, c’est le désespoir seul qui imprime la pâleur sur son visage, et, lorsqu’il tombe mort, ce n’est plus pour aller se reposer dans la coulisse ; car la coulisse, pour lui, c’est la tombe !... Par une soirée du mois de février 1845, dans un petit salon simplement meublé, situé au fond d’un des plus élégants hôtels de la rue d’Aumale, un de ces terribles dénouements se préparait. Un jeune homme était là, écrivant à la lueur de deux bougies, et la rapidité fiévreuse avec laquelle la plume courait sur le papier accusait la violence de l’émotion à laquelle il était en proie." Quelques forçats s'évadent du bagne de Toulon et arrivent à Paris. Leur chef, Blondlel, a bien l'intention de solder ses comptes avec le comte de Précigny, le frère de la femme qu'il a toujours aimée...
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Affiche du document La dame d'Auteuil

La dame d'Auteuil

Pierre Zaccone

2h06min45

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169 pages. Temps de lecture estimé 2h7min.
Pierre Zaccone (1818-1895) "Dans les premiers mois de 1836, un homme, dont l’accent décelait l’origine gasconne, vint louer un petit appartement de trois pièces, au cinquième étage, dans un hôtel de la rue de l’Ouest, située derrière le Luxembourg. Son bagage était des plus minces ; son costume, des plus modestes ; mais il y avait un tel cachet de bonne foi sur sa physionomie, tout en lui respirait tellement l’honnêteté et la distinction, qu’on lui loua de confiance. Cet homme, qui pouvait avoir une quarantaine d’années, amenait avec lui sa fille, une jeune personne de quinze ans au plus, charmante et gracieuse, portant sa petite robe d’indienne trop courte, comme il portait lui-même son habit noir suranné, c’est-à-dire de manière à donner à croire qu’une telle mise n’était pas faite pour elle. L’arrivée de ces deux locataires mystérieux causa une sorte de sensation dans l’hôtel, et pendant deux ans que M. Danglade habita rue de l’Ouest, la curiosité qu’il avait excitée tout d’abord subsista et ne fut jamais satisfaite ; mais, singulier effet de ses manières, ce qui, de la part de tout autre, aurait produit une impression défavorable, augmenta au contraire la considération qu’il s’était conciliée sans l’avoir cherchée. M. Danglade sortait le matin de très bonne heure, il ne rentrait que le soir, vers six heures, montait chercher sa fille qui l’attendait, et tous les deux prenaient silencieusement le chemin de Viot, le restaurateur providentiel du quartier latin." M. Danglade et sa fille Berthe habitent rue de l'Ouest depuis deux ans. Ils sont appréciés même si on aimerait connaître leurs moyens de subsistance. Lucien, sculpteur et voisin des Danglade, est secrètement amoureux de Berthe. Mais un jour, les Danglade quittent soudainement leur logis...
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