Documents pour «La Gibecière à Mots»

Documents pour "La Gibecière à Mots"
Affiche du document Nouveaux mystères et aventures

Nouveaux mystères et aventures

Arthur Conan Doyle

3h06min45

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249 pages. Temps de lecture estimé 3h7min.
Arthur Conan Doyle (1859-1930) "Mon existence a été accidentée et la destinée y a fait entrer maintes aventures peu ordinaires. Mais parmi ces incidents, il en est un d’une étrangeté telle que, quand je passe en revue ma vie, tous les autres deviennent insignifiants. Celui-là surgit au-dessus des brouillards d’autrefois avec un aspect sonore et fantastique, en jetant son ombre sur les années dépourvues d’événements qui le précédèrent et le suivirent. Cette histoire-là, je ne l’ai pas souvent racontée. Bien petit est le nombre de ceux qui l’ont entendue de ma propre bouche et c’étaient des gens qui me connaissaient bien. De temps à autre ils m’ont demandé de faire ce récit devant une réunion d’amis, mais je m’y suis constamment refusé, car je n’ambitionne pas le moins du monde la réputation d’un Munchhausen amateur. Pourtant, j’ai déféré jusqu’à un certain point à leur désir en mettant par écrit cet exposé des faits qui se rattachent à ma visite à Dunkelthwaite. Voici la première lettre que m’écrivit John Thurston. Elle est datée d’avril 1862. Je la prends dans mon bureau et la copie textuellement : « Mon cher Lawrence. « Si vous saviez à quel point je suis dans la solitude et l’ennui, je suis certain que vous auriez pitié de moi et que vous viendrez partager mon isolement..." Recueil de 5 histoires : "Notre-Dame de la Mort" - "Les Os" - "Le mystère de la vallée de Sasassa" - "Notre cagnotte du Derby" - "Le récit de l'Américain".
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Le Robinson des Alpes

Gustave Aimard

4h12min00

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336 pages. Temps de lecture estimé 4h12min.
Gustave Aimard (1818-1883) "Les touristes et les voyageurs admirent avec un enthousiasme que nous partageons, et qui n’est que juste, les sites pittoresques de la belle vallée du Graisivaudan et les splendeurs peut-être un peu théâtrales de la Grande-Chartreuse et de son Désert. Mais le département de l’Isère est riche en surprises et en merveilles naturelles de toute sorte, peu appréciées par les rudes montagnards de ces contrées, depuis longtemps blasés sur les paysages grandioses de leur pays. À une assez courte distance de Grenoble, et blottie pour ainsi dire entre la vallée du Graisivaudan et le massif de la Grande-Chartreuse, se trouve la vallée d’Entremont, dominée et enserrée de tous les côtés par de majestueuses montagnes boisées de la base au faîte, et dont les plus imposantes sont : l’Alpette, le Haut-du-Seuil et l’Anse-du-Guiers, où le torrent du Guiers-Vif prend sa source. Rien ne saurait rendre le saisissement admiratif que l’on éprouve en pénétrant dans cette vallée, au merveilleux spectacle qui se présente subitement aux regards : jamais la puissante nature n’a prodigué avec plus de profusion ses sublimes beautés. Qu’on en juge. Un entassement de rochers abrupts, produit par quelque cataclysme antédiluvien qui l’a fait subitement jaillir des entrailles de la terre, s’élève en amphithéâtre à une hauteur prodigieuse, se creuse en demi-cercle, et, coupé du haut en bas par une énorme fissure, se sépare en deux parties s’avançant à droite et à gauche, comme le pourtour d’un cirque romain. Au fond de ce sublime décor, d’une étrangeté et d’une sauvagerie grandioses, indicibles, apparaissent blanchissantes d’écume quatre cascades superposées, se précipitant perpendiculairement avec une furie échevelée et un fracas effrayant d’une hauteur de plus de trois cents mètres." Aventure. Michel Sauvage, ne pouvant surmonter la mort de son épouse, décide de tout plaquer et partir en Amérique. Il confie son fils Marcel à son meilleur ami Jacques, un paysan. Ce dernier promet de faire de Marcel un homme travailleur et honnête...
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Les derniers hommes rouges

Pierre Maël

3h00min00

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240 pages. Temps de lecture estimé 3h00min.
Pierre Maël Charles Causse (1862-1904) Charles Vincent (1851-1920) "La plaine immense s’étendait, bordée au nord, au sud et à l’ouest par un rideau de verdure. Nulle route n’y pouvait guider les pas des voyageurs, car on ne pouvait donner le nom de route à l’espèce de sentier tracé à travers la prairie par les pieds des hommes et les sabots des chevaux. Au-dessus des têtes, le ciel d’un bleu intense gardait le rayonnement des derniers beaux jours de l’été. Sur la parure encore intacte des arbres de l’année vieillissante mettait des taches d’ocre et de safran. Les approches de l’automne se laissaient deviner. Deux cavaliers suivaient au pas le sentier. Leurs montures auraient, en tout pays, attiré l’attention des connaisseurs. C’étaient d’admirables bêtes au poil fin, l’un gris pommelé, l’autre alezan, aux têtes d’une pureté de lignes rappelant le cheval arabe, auquel les deux superbes animaux ne le cédaient ni en vigueur, ni en élégance. Les deux cavaliers étaient plus remarquables encore que leurs montures. L’un d’eux était un jeune homme de vingt-quatre à vingt-cinq ans, aux traits d’une distinction souveraine, aux cheveux et à la moustache blonds, aux yeux bleus largement fendus. Son corps avait les proportions harmonieuses et puissantes que la légende se plaît à accorder aux paladins. – L’autre, d’une stature égale, était presque un vieillard." Aventure au Canada.
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Terre de Chanaan

Louis Chadourne

2h55min30

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234 pages. Temps de lecture estimé 2h55min.
Louis Chadourne (1890-1925) "Des philosophes ont résolu de supprimer le Hasard. Un mathématicien célèbre, ayant fait sa lecture quotidienne de la Gazette de Monte-Carlo et pointé pendant des années les statistiques de la roulette, a fort bien démontré que ce dieu fantasque n’était qu’un faux dieu et que certains esprits d’élite étaient enfin sur une voie propre à démasquer l’imposteur. Il n’y a pas de place en ce monde où tout obéit au plus rigoureux déterminisme pour les caprices d’un fantôme surgi de l’imagination vulgaire, médiocre supercherie de l’ignorance ; non, de place nulle part, sur la vaste étendue des continents et des mers, sous la calotte céleste, pour ce prestidigitateur qui vient à tout bout de champ culbuter nos châteaux de cartes et tirer de nos chapeaux, de nos poches et de nos vies quotidiennes une effarante kyrielle de contingences hétéroclites. Toutefois, malgré de si louables efforts et des raisonnements si persuasifs, je continuerai dans le secret de mon cœur à sacrifier à ce Dieu masqué, tragique ou rieur, que je nomme très humblement, et à voix basse « le Seigneur Hasard ». J’attendrai, sans doute, pour renoncer à ma superstition qu’une science plus exacte des probabilités ait fait de la roulette et du trente-et-quarante une opération de père de famille. Il sera temps alors de rendre honneur aux mathématiciens et aux philosophes et de tourner au mur notre divinité moquée, ainsi que font à leurs saints quelques bonnes gens de nos campagnes, selon qu’il vente ou qu’il pleut contre leur gré." Jean Loubeyrac retrouve son ami d'enfance, Jérôme Carvès. Les deux hommes sont très différents : Jean est sans ambition et Jérôme un aventurier. Jean va suivre, par amitié, Jérôme, en Amérique du sud, à la recherche d'un Eldorado...
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Le faiseur de folles

H. J. Magog

3h24min00

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272 pages. Temps de lecture estimé 3h24min.
Paul Féval fils (1860- 1933) H. J. Magog (1877-1947) "Dans le laboratoire du savant Oronius, un haut-parleur vibra et retentit. Une voix de stentor jeta ces mots : – Nous sommes sur la piste... Mais en quel étrange pays !... Et brusquement la voix s’interrompit ; un bruit de friture suivit, décevant Oronius qui haletait. Le savant ne venait-il pas de reconnaître la voix de son fidèle serviteur Laridon, parti depuis des semaines, en compagnie de son noir acolyte, Julep, le nègre pommelé, à la recherche de Jean et de Cyprienne Chapuis, le gendre et la fille du savant, disparus au cours d’un voyage aérien. Le son de cette voix familière avait donné un instant de joie et d’espoir au père angoissé. Enfin ! il allait savoir !... Et voici que la communication s’interrompait, manifestement coupée ou « brouillée » sur cette exclamation énigmatique et bien faite pour aiguillonner l’angoisse du père : – En quel pays étrange !... De là à conclure que Jean Chapuis et Cyprienne se trouvaient engagés dans une aventure terrifiante et qu’ils couraient des dangers, il n’y avait qu’un pas, déjà franchi par l’imagination du savant. Ce qui l’affolait et l’inquiétait surtout, depuis qu’il était sans nouvelles de ses enfants, c’était l’impuissance inexplicable de ses ordinaires moyens d’investigation psychique. Aidé de ses merveilleuses découvertes, son puissant esprit rayonnait ordinairement dans l’espace, s’y promenant au gré de sa volonté et suffisant à toutes les investigations. Mais, cette fois, il ne découvrait rien... il ne voyait rien..." Cinquième et dernier mystère de demain. Laridon et Julep partent à la recherche de Jean et Cyprienne qui ont disparu...
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Le dessous

Rachilde

2h46min30

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222 pages. Temps de lecture estimé 2h46min.
Rachilde (1860-1953) "... Marguerite posa le livre sur le guéridon, se gratta la racine des cheveux, examina ses pieds – dans le doute elle regardait ses pieds, qui lui donnaient toujours des conseils mesquins parce qu’elle les avait fort petits – puis elle essaya de penser. La lecture d’un roman est, pour une femme, une aventure défendue qu’elle se permet d’ajouter à sa vie quotidienne. Marguerite, point femme encore, lisait souvent, car elle s’ennuyait. De la grande bibliothèque d’en bas, elle montait chez elle des aventures anciennes et modernes, tâchant de peupler d’agréables fantômes sa chambre de jeune fille, une chambre pâle où tout était virginal, transitoire : les rideaux couleur d’aube, le papier à semis de pâquerettes, les meubles laqués blanc, le tapis de toisons floconneuses, les vases d’albâtre sur la cheminée, les ouvrages au crochet, trop nombreux, sortes de toiles d’araignées couvertes de neige dentelant les coins du tissu même de l’ennui. Son père lui recommandait de lire « avec fruit » (recommandation de jardinier en chef). Marguerite s’y efforçait, lisant n’importe quoi de n’importe qui, de préférence les pages où il y a des dialogues, et s’appliquait à réfléchir mûrement ; mais elle ne s’intéressait guère qu’au jeune homme, le mauvais sujet de l’histoire, tressaillant au seul mot mondain de flirt comme si on lui eût pincé la peau. Plus cela lui paraissait impossible, plus elle se sentait capable d’y penser, sans, d’ailleurs, en récolter d’autres « fruits » que beaucoup de bâillements nerveux. Elle abandonnait tous les jours quelques heures aux désordres de son imagination pour, le reste du temps, épousseter avec soin la poussière soulevée en son cerveau par le rapide passage du grand amoureux ou du séducteur fieffé, lequel passait orageusement soit à cheval, soit à bicyclette."
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Agnès Grey

Anne Brontë

3h33min00

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284 pages. Temps de lecture estimé 3h33min.
Anne Brontë (1820-1849) "Toutes les histoires vraies portent avec elles une instruction, bien que dans quelques-unes le trésor soit difficile à trouver, et si mince en quantité, que le noyau sec et ridé ne vaut souvent pas la peine que l’on a eue de casser la noix. Qu’il en soit ainsi ou non de mon histoire, c’est ce dont je ne puis juger avec compétence. Je pense pourtant qu’elle peut être utile à quelques-uns, et intéressante pour d’autres ; mais le public jugera par lui-même. Protégée par ma propre obscurité, par le laps des ans et par des noms supposés, je ne crains point d’entreprendre ce récit, et de livrer au public ce que je ne découvrirais pas au plus intime ami. Mon père, membre du clergé dans le nord de l’Angleterre, était justement respecté par tous ceux qui le connaissaient. Dans sa jeunesse, il vivait assez confortablement avec les revenus d’un petit bénéfice et d’une propriété à lui. Ma mère, qui l’épousa contre la volonté de ses amis, était la fille d’un squire et une femme de cœur. En vain on lui représenta que, si elle devenait la femme d’un pauvre ministre, il lui faudrait renoncer à sa voiture, à sa femme de chambre, au luxe et à l’élégance de la richesse, toutes choses qui pour elle n’étaient guère moins que les nécessités de la vie. Elle répondit qu’une voiture et une femme de chambre étaient, à la vérité, fort commodes ; mais que, grâce au ciel, elle avait des pieds pour la porter et des mains pour se servir. Une élégante maison et un spacieux domaine n’étaient point, selon elle, à mépriser ; mais elle eût mieux aimé vivre dans une chaumière avec Richard Grey, que dans un palais avec tout autre." Agnès Grey, afin d'aider financièrement ses parents, décide de devenir préceptrice. Elle trouve une place chez une famille bourgeoise aisée...
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Affiche du document Une belle-mère

Une belle-mère

Hector Malot

5h04min30

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406 pages. Temps de lecture estimé 5h04min.
Hector Malot (1830-1907) "La mode exige qu’on parte en voyage le jour où l’on se marie. Ceux qui les premiers ont adopté cet usage avaient probablement pour but d’échapper aux plaisanteries gauloises de quelques parents peu discrets ; mais, la bégueulerie du siècle aidant, ce qui était tout d’abord l’exception est devenu la règle : aujourd’hui il n’y a que les gens du commun qui osent être heureux chez eux. En mariant leurs enfants, madame Daliphare et madame Nélis s’étaient donc rencontrées sur ce point que Juliette et Adolphe devaient partir en voyage. Il n’y avait point eu discussion à ce sujet, tant la chose paraissait naturelle aux deux mères ; les plaisanteries des amis ou des parents n’étaient pas à craindre, mais les convenances étaient à respecter. De leur côté, Adolphe et Juliette n’avaient mis aucune opposition à cet arrangement. Adolphe, parce qu’il était impatient d’avoir tout à lui celle qu’il aimait et que le voyage devait lui assurer un long tête-à-tête. Juliette, parce qu’elle ne résistait à rien depuis qu’elle avait consenti à se marier. Elle considérait, en effet, qu’en donnant son consentement elle s’était engagée d’avance à accepter tout ce qu’on exigeait d’elle, et, bien que ce voyage ne fût pas pour lui plaire par toutes sortes de raisons, elle n’avait pas voulu le repousser. Il convenait à sa mère, à sa belle-mère, à son mari : il devait lui convenir aussi. Les explications qu’elle aurait pu apporter à l’appui de son refus étaient si vagues et même si bizarres, qu’elle n’eût pas voulu les formuler devant tout le monde : on l’aurait accusée d’originalité, on ne l’aurait sans doute pas comprise. Elle avait donc accueilli sans aucune résistance l’idée d’un voyage en Suisse. Après tout, pourquoi pas ? elle ne connaissait point la Suisse. Autant voyager que rester à Paris ; autant aller en Suisse qu’ailleurs." Suite de "Le mariage de Juliette". Si Madame Daliphare a accepté que son fils Adolphe épouse Juliette, il n'est pas question, pour elle, d'abandonner la mainmise qu'elle exerce sur lui. Elle a même l'intention de l'étendre sur le couple...
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Affiche du document Le mariage de Juliette

Le mariage de Juliette

Hector Malot

3h51min45

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309 pages. Temps de lecture estimé 3h52min.
Hector Malot (1830-1907) "Le quartier du Temple se présente sous un double aspect. Dans la partie qui confine au Marais, on trouve des rues larges, bordées de belles maisons qui ont été autrefois bâties pour la noblesse ou la magistrature. Dans la partie qui touche au quartier Saint-Martin, on ne rencontre au contraire que des rues étroites, dont les maisons laides et sales sont occupées par le commerce et la petite industrie parisienne. La rue des Vieilles-Haudriettes, qui va de la rue du Chaume à la rue du Grand-Chantier, participe de ces deux caractères : par quelques-unes de ses constructions, qui sont vastes et architecturales, elle appartient au Marais ; par sa population ouvrière, au quartier du Temple. Elle est frontière, et comme telle elle tient de ses deux voisins, sans avoir une physionomie propre. Nulle part on ne trouvera plus d’enseignes aux façades et d’écriteaux aux grandes portes : larges tableaux noirs s’étalant d’étages en étages, petites plaques de cuivre, écussons en tôle vernie, panonceaux, armoiries. Si le curieux qui passe pour la première fois dans cette rue lève les yeux sur les enseignes qui ont pour but de provoquer son attention ou de le guider, il verra qu’il est en plein dans le quartier de l’industrie des bijoux ; pour un écusson qui lui indiquera les magasins d’un marchand de peaux de lapin ou les bureaux du journal hébraïque le Libanon, il trouvera vingt plaques de bijoutiers en or, en argent, en plaqué, de lapidaires, d’orfèvres, de fabricants de bagues, de boutons, d’épingles, de broches, de pendants, de colliers, de médaillons, de chaînes, de pendeloques, de breloques, de croix, de reliquaires, de cassolettes, de tabatières, d’étuis, de briquets. Seule au milieu de ces enseignes, qui dans leur confusion peuvent troubler l’acheteur indécis, se montre au-dessus d’une porte cochère une longue plaque en marbre noir sur laquelle on lit en lettres d’or gravées en creux, un simple nom : DALIPHARE." Mme Daliphare est une femme d'affaires qui s'est faite toute seule. Son époux n'est qu'un faire-valoir. Le décès de celui-ci ne change rien. Elle commande tout jusqu'à la vie de son fils unique Adolphe. Mais ce dernier, au grand dam de sa mère, tombe amoureux de Juliette, une amie peintre et indépendante qui n'a pas de fortune... A suivre : "Une belle-mère".
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Affiche du document L'humanité enchaînée

L'humanité enchaînée

Paul Féval Fils

4h09min00

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332 pages. Temps de lecture estimé 4h09min.
Paul Féval fils (1860- 1933) H. J. Magog (1877-1947) "L’Histoire ne pourra perdre le souvenir des terrifiants cataclysmes qui se succédèrent durant les premières années du vingt-et-unième siècle. Assailli par des fléaux imprévus, le monde faillit périr. Tout au moins, si ce ne fut pas la fin de la terre, on put croire que c’était celle de l’humanité. On sait maintenant quelle avait été l’origine de ces forces destructrices qui menacèrent d’anéantir la Vie. Nul n’ignore à qui il convient de les attribuer. La science a deux visages – comme le Janus Bifrons des Romains – et la plupart des armes qu’elle manie peuvent indifféremment tuer ou guérir. La même science inspirera le génie du mal et le génie du bien. Et c’était bien ces deux génies qu’incarnaient, au début de l’an 2000, ces savants ennemis, le professeur Hantzen et l’illustre maître Oronius. Les maux déchaînés sur le monde vinrent du premier, de même que le second seul y trouva les remèdes et les palliatifs. Mais, parmi ces divers et gigantesques bouleversements, comment ne pas accorder une mention particulière au formidable mascaret de chaleur qui assécha l’Océan en moins de quelques heures ; puis ou raz-de-marée atmosphérique qui faillit asphyxier l’humanité, en refoulant sur un seul point du globe la presque totalité de l’air respirable ?" Les mystères de demain IV. Sains et saufs après leur dernière aventure, le savant Oronius et ses compagnons se retrouvent au Pôle. Mais que s'y passe-t-il ?
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Affiche du document Julia de Trécoeur

Julia de Trécoeur

Octave Feuillet

1h21min00

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108 pages. Temps de lecture estimé 1h21min.
Octave Feuillet (1821-1890) "Tous ceux qui, comme nous, ont connu Raoul de Trécœur dans sa première jeunesse le croyaient destiné à une grande renommée. Il avait reçu des dons très remarquables ; il reste de lui deux ou trois esquisses et quelques centaines de vers qui promettaient un maître ; mais il était fort riche et avait été fort mal élevé : il tourna vite au dilettantisme. Parfaitement étranger, comme la plupart des hommes de sa génération, au sentiment du devoir, il se laissa emporter à toutes guides par ses instincts, qui étaient, heureusement pour les autres, plus vifs que malfaisants. Aussi le plaignit-on généralement quand il mourut en pleine jeunesse, pour avoir aimé sans discrétion tout ce qui lui était agréable. Le pauvre garçon, disait-on, n’avait fait de mal qu’à lui ; – ce qui, d’ailleurs, n’était pas exact. Trécœur avait épousé à vingt-cinq ans sa cousine Clodilde-Andrée de Pers, honnête et gracieuse personne qui n’avait d’une mondaine que les élégances. Madame de Trécœur avait vécu avec son mari dans une région de tempêtes malsaines où elle se sentait dépaysée et comme dégradée. Il la tourmentait de ses remords presque autant que de ses fautes. Il la regardait avec raison comme un ange et pleurait à ses pieds quand il l’avait trahie, se désespérant d’être indigne d’elle, d’être victime de son tempérament et d’avoir vu le jour dans un siècle sans croyances. Il menaça un jour de se tuer dans le boudoir de sa femme, si elle ne lui pardonnait ; elle lui pardonna, naturellement. Toute cette partie dramatique troublait Clodilde dans sa vie résignée. Elle eût préféré un malheur plus tranquille et sans phrases." Roman court. Après deux années de veuvage, Clothilde de Trécœur, va se remarier avec un ami de la famille : M. de Lucan. Mais sa fille Julia, agée de 16 ans, n'accepte pas qu'un autre homme prenne la place de son père...
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Affiche du document L'héritage

L'héritage

Henri Bachelin

2h52min30

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230 pages. Temps de lecture estimé 2h52min.
Henri Bachelin (1879-1941) « Il apprend tout ce qu’il veut ! » disait-on, sans se rendre compte que pour lui c’était peut-être un malheur. C’est bien d’être toujours le premier à l’école, d’avoir beaucoup de prix à la fin de l’année et de descendre de l’estrade avec une couronne verte ; mais plus tard sera-t-il le premier dans la vie ? Aura-t-il le front ceint de lauriers ? Les vieux certificats d’études, couverts de signatures, jaunissent sous verre. Personne ne peut les emporter avec soi, collés sur sa poitrine, comme font les aveugles, les victimes d’accidents. Personne ne peut dire : « Et puis j’ai eu mon certificat d’études à onze ans, l’année d’avant ma première communion ». Il doit exister des gens que cela ferait éclater de rire. Dans la cour il jouait avec les autres, sans se souvenir qu’il était le seul à n’avoir pas fait une faute dans la dictée de tout à l’heure. Mais il n’était pas le plus habile aux barres ; il lui arrivait de se laisser prendre, vexé lorsque ceux de son camp ne se pressaient pas de le délivrer, comme s’il leur eût été inutile. Il n’était pas le plus fort aux billes, où il perdait plus souvent qu’à son tour, ni au jeu de saute-mouton où plus d’une fois il lui fallait tendre l’échine. Il aurait préféré se tenir à l’écart, mais il était obligé de jouer. Ce n'est pas parce qu'on est premier partout à l'école, qu'on décroche son diplôme, que le chemin de la réussite nous est ouvert... Vaneau va en faire la triste expérience...
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Affiche du document Les instincts

Les instincts

J.-H. Rosny aîné

2h24min00

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192 pages. Temps de lecture estimé 2h24min.
J.-H. Rosny Aîné (1856-1940) "Cette terre est redevenue sauvage. Ayant perdu le goût de se reproduire, une race d’hommes, qui remontait à la Gaule Celtibère, s’éteignait ou fuyait vers les villes. En un demi-siècle, ce fut le désert, où les herbes dévorantes et les arbres patients combattaient pour l’étendue. Vainqueurs, les arbres se massent en bois ou en forêts ; vaincus, ils meurent lentement dans les savanes ; souvent, une lutte indécise mélange les combattants. On rencontre aussi des marécages, des landes, des collines et des rocs ; les bêtes ont repris possession de leur domaine antique. Au milieu du désert, dans une ferme vermoulue, une femme s’était réfugiée avec une enfant – presque femme aussi. Des misères sinistres les avaient ramenées dans le domaine où leur père, homme opiniâtre, sauvage et téméraire, avait persisté seul, jusqu’à la mort. On voyait des traces de culture ; des porcs pareils à des sangliers dormaient la nuit, dans une étable en ruines ; les vignes s’obstinaient à produire des raisins et, au delà d’emblaves abandonnées, croissait, à l’aventure, un bois de châtaigniers. Créature fauve, agile, d’une grâce ténébreuse et menaçante, la femme parvenait à vivre là – approximativement." Trois femmes aiment Roland... et Roland les aime... Nicole la sauvage... sa soeur Magali, la pureté de la jeunesse... Maya l'ensorceleuse...
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L'ingénue libertine

Colette

3h08min15

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251 pages. Temps de lecture estimé 3h08min.
Colette (1873-1954) "– Minne ?... Minne chérie, c’est fini, cette rédaction ! Minne, tu vas abîmer tes yeux ! Minne murmure d’impatience. Elle a déjà répondu trois fois : « Oui, maman » à Maman qui brode derrière le dossier de la grande bergère... Minne mordille son porte-plume d’ivoire, si penchée sur son cahier qu’on voit seulement l’argent de ses cheveux blonds, et un bout de nez fin entre deux boucles pendantes. Le feu parle tout bas, la lampe à huile compte goutte à goutte les secondes, Maman soupire. Sur la toile cirée de sa broderie – un grand col pour Minne – l’aiguille, à chaque point, toque du bec. Dehors, les platanes du boulevard Berthier ruissellent de pluie, et les tramways du boulevard extérieur grincent musicalement sur leurs rails. Maman coupe le fil de sa broderie... Au tintement des petits ciseaux, le nez fin de Minne se lève, les cheveux d’argent s’écartent, deux beaux yeux foncés apparaissent, guetteurs... Ce n’est qu’une fausse alerte ; Maman enfile paisiblement une autre aiguillée, et Minne peut se pencher de nouveau sur le journal ouvert, à demi dissimulé sous son cahier de devoirs d’Histoire... Elle lit lentement, soigneusement, la rubrique Paris la nuit : « Nos édiles se doutent-ils seulement que certains quartiers de Paris, notamment les boulevards extérieurs, sont aussi dangereux, pour le promeneur qui s’y aventure, que la Prairie l’est pour le voyageur blanc ? Nos modernes apaches y donnent carrière à leur naturelle sauvagerie, il ne se passe pas de nuit sans qu’on ramasse un ou plusieurs cadavres..." Au début du XXe siècle, à Paris, Minne est une adolescente de la bourgeoisie. Elle s'ennuie à mourir et ne vibre que pour les méfaits des bandits parisiens dont elle lit les aventures en secret. Seul son cousin Antoine arrive à l'amuser...
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Affiche du document Baccara

Baccara

Hector Malot

5h15min45

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421 pages. Temps de lecture estimé 5h16min.
Hector Malot (1830-1907) "Ouvrez les livres de géographie les plus complets, étudiez les cartes, même celle de l’état-major, et vous y chercherez en vain un petit affluent de la Seine, qui cependant a été pour la ville qu’il traverse ce que le Furens a été pour Saint-Étienne et l’eau de Robec pour Rouen. – Cette rivière est le Puchot. Il est vrai que de sa source à son embouchure elle n’a que quelques centaines de mètres, mais si peu long que soit son cours, si peu considérable que soit le débit de ses eaux, ils n’en ont pas moins fait la fortune industrielle d’Elbeuf. Pendant des centaines d’années, c’est sur ses rives que se sont entassées les diverses industries de la fabrication du drap qui exigent l’emploi de l’eau, le lavage des laines en suint, celui des laines teintes, le dégraissage en pièces, et il a fallu l’invention de la vapeur et des puits artésiens pour que les nouvelles manufactures l’abandonnent ; encore n’est-il pas rare d’entendre dire par les Puchotiers que la petite rivière n’a pas été remplacée, et que si Elbeuf n’est plus ce qu’il a été si longtemps, c’est parce qu’on a renoncé à se servir des eaux froides et limpides du Puchot, douées de toutes sortes de vertus spéciales qui lui appartenaient en propre. Mauvaises, les eaux des puits artésiens et de la Seine, aussi mauvaises que le sont les drogues chimiques qui ont remplacé dans la teinture le noir qu’on obtenait avec le brou des noix d’Orival. Le Puchot a donc été le berceau d’Elbeuf ; c’est aux abords de ses rives basses et tortueuses, au pied du mont Duve d’où il sort, à quelques pas du château des ducs, rue Saint-Étienne, rue Saint-Auct qui descend de la forêt de la Londe, rue Meleuse, rue Royale, que peu à peu se sont groupés les fabricants de drap ; et c’est encore dans ce quartier aux maisons sombres, aux cours profondes, aux ruelles étroites où les ruisseaux charrient des eaux rouges, bleues, jaunes, quelquefois épaisses comme une bouillie laiteuse quand elles sont chargées de terre à foulon, que se trouvent les vieilles fabriques qui ont vécu jusqu’à nos jours." Constant Adeline est député et chef d'une entreprise familiale. Il est connu pour son probité; Mais à l'ère de la révolution industrielle, les affaires ne sont plus aussi bonnes qu'autrefois et Constant doit emprunter une grosse somme à un certain Frédéric de Mussidan...
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Affiche du document Le réveil d'Atlantide

Le réveil d'Atlantide

Paul Féval Fils

4h26min15

  • SF et fantasy
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355 pages. Temps de lecture estimé 4h26min.
Paul Féval fils (1860- 1933) H. J. Magog (1877-1947) "Au commencement du vingt-et-unième siècle, personne ne l’ignore mais nous nous permettons de le répéter pour le cas où certains l’auraient oublié, l’agglomération Yokohama-Tokio était devenue l’une des capitales les plus modernes du monde. Son importance et le développement qu’elle avait pris ne venaient pas seulement du rang occupé par le Japon dans le monde asiatique. – Et c’était le premier rang puisque l’ancien Mikado portait présentement le titre de Président des États-Unis d’Asie. – Mais ils découlaient encore du fait que la puissante république, après avoir ressuscité et galvanisé l’indolence des jaunes, marchait en tête de la Civilisation. Autant que Paris ou Londres, plus que Rio-de-Janeiro ou New-York, Yokohama était donc une ville cosmopolite. C’est dire que le moindre événement y attirait une foule bigarrée, comptant autant d’Européens que d’Asiatiques, sans parler des Américains, des Australiens et des Africains de toutes couleurs. Telle était celle qui se pressait certain après-midi dans la plus spacieuse des salles de l’Hôtel des Ventes. Les vastes proportions de cette salle avaient déterminé ce choix, et il s’expliquait encore non seulement par l’énorme affluence de public, mais aussi à cause des dimensions de l’objet qui allait affronter le feu des enchères. Long d’une douzaine de mètres, large de deux, avec une hauteur égale, une sorte de monstre fossilisé s’allongeait, dans un box surélevé de trois marches, au milieu de la foule des curieux." "Les mystères de demain" III Le "Snaky", vaisseau de Hantzen et Yogha, les ennemis du savant Oronius, va être vendu aux enchères... Celui-ci désire l'acquérir mais un vieux fakir le convoite également... De nouvelles aventures en perspective...
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Affiche du document Le danseur mondain

Le danseur mondain

Paul Bourget

2h15min00

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180 pages. Temps de lecture estimé 2h15min.
Paul Bourget (1852-1935) "– Voulez-vous nous rejouer ce Fox-blues, mademoiselle Morange ? dit le maître de danse à la jeune femme assise au piano dans le petit salon d’hôtel qui servait à cette leçon. Et vous, mademoiselle Favy, – il s’adressait à son élève, – nous reprenons ?... Plus vivement, cette fois. Rappelez-vous : Ne pas briser l’élan. La marche moins raide que dans le One Step. Des pas de côté, un en avant, légèrement fléchis, un peu élancés. Donner l’impression d’un oiseau qui va s’envoler. Ça, c’est bien, très bien. Ne pliez pas le genou... Et les deux jeunes gens glissaient, étroitement enlacés, au rythme de la musique, – cette musique précipitée et monotone, mélancolique et saccadée, qui caractérise les danses d’aujourd’hui. Depuis la guerre de 1914 et sa longue tragédie, il y a de la frénésie et de la tristesse, à la fois, dans les moindres gestes d’une société trop profondément ébranlée. Même ceux qui ne devraient, comme une sauterie dans un bal, n’être qu’un plaisir et qu’une détente, sont touchés de névropathie. Un ruban, noué à la boutonnière du veston ajusté du maître de danse, attestait que, peu d’années auparavant, – on était en 1925, – il prenait part en effet à cette terrible guerre et s’y distinguait. Ce martial épisode semblait bien absent de son visage, très viril certes dans sa joliesse, mais comment concilier de sanglants et sinistres souvenirs avec l’espèce de frivole ferveur qu’il mettait à conduire les pas de son élève : une jeune fille de vingt ans, souple, mince, et dont les traits délicats étaient comme éclairés par des prunelles bleues d’une intensité singulière ? Ce couple élégant, agile, uni dans un accord balancé de tous les mouvements, allait et venait ainsi, dans le décor banal et faussement stylisé de ce salon d’un hôtel de la Riviera, ouvert largement sur un lumineux et grandiose paysage." 1925. Neyrial est maître de danse au palace "Mèdes-Palace", dans les environs de Hyères. Il s'entend très bien avec Renée Favy et son frère Gilbert, deux jeunes clients. Mais son passé va le rattraper...
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Affiche du document André Cornélis

André Cornélis

Paul Bourget

3h18min45

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265 pages. Temps de lecture estimé 3h19min.
Paul Bourget (1852-1935) "Quand j’étais enfant, je me confessais. Combien j’ai souhaité de fois être encore celui qui entrait dans la chapelle vers les cinq heures du soir, cette vide et froide chapelle du collège avec ses murs crépis à la chaux, avec ses bancs numérotés, son maigre harmonium, sa criarde Sainte Famille, sa voûte peinte en bleu et semée d’étoiles. Un maître nous amenait, dix par dix. Quand arrivait mon tour de m’agenouiller dans l’une des deux cases réservées aux pénitents sur chaque côté de l’étroite guérite en bois, mon cœur battait à se rompre. J’entendais, sans bien distinguer les paroles, la voix de l’aumônier en train de questionner le camarade à la confession duquel succèderait la mienne. Ce chuchotement me poignait, comme aussi le demi-jour et le silence de la chapelle. Ces sensations, jointes à la honte de mes péchés à dire, me rendaient presque insupportable le bruit de la planchette que tirait le prêtre. À travers la grille, je voyais son regard aigu, son profil si arrêté, quoique le visage fût gras et congestionné. Quelle minute d’angoisse à en mourir, mais aussi quelle douceur ensuite ! Quelle impression de suprême liberté, d’intime allégeance, de faute effacée, et comme d’une belle page blanche offerte à ma ferveur pour la bien remplir ! Je suis trop étranger aujourd’hui à cette foi religieuse de mes premières années pour m’imaginer qu’il y eût là un phénomène d’ordre surnaturel. Où gisait donc le principe de délivrance qui me rajeunissait toute l’âme ? Uniquement dans le fait d’avoir dit mes fautes, jeté au dehors ce poids de la conscience qui nous étouffe. C’était le coup de bistouri qui vide l’abcès. Hélas ! Je n’ai pas de confessionnal où m’agenouiller, plus de prière à murmurer, plus de Dieu en qui espérer ! Il faut que je me débarrasse pourtant de ces intolérables souvenirs." André Cornélis a perdu son père quand il n'avait que 9 ans. Ce dernier a été mystérieusement assassiné et le crime n'a jamais été élucidé. Sa mère se remarie au grand dam d'André. Mais qui a tué son père ? En grandissant, André soupçonne son beau-père et décide d'enquêter...
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