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Affiche du document Dictionnaire 2024 du langage des ados - Plus de 1500 expressions décryptées...

Dictionnaire 2024 du langage des ados - Plus de 1500 expressions décryptées...

Martine Prat

1h45min00

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140 pages. Temps de lecture estimé 1h45min.
Pour se démarquer de la cellule scolaire et familiale, les jeunes ont inventé leur propre jargon. Un savant mélange d’argot des cités, de verlan, d’abréviations, de termes imagés, de formules codées, d’expressions en anglais, en arabe, de sms, de sexting, etc. Ce vocabulaire, déroutant pour les non-initiés, est le reflet d’une langue en constante évolution, portée par nos jeunes. Elle témoigne de leur créativité et surtout de leur désir de se démarquer. Ainsi, la jeunesse innove, raccourci, et se constitue un véritable lexique de nouvelles expressions (parfois très vulgaire), fortement influencé ces dernières années par la mixité sociale, et notamment utilisé dans les échanges verbaux, ainsi qu’au travers des réseaux sociaux et des smartphones. Une langue qu’eux seuls comprennent ! Pour nous parents, décrypter quelques mots de ce dialecte est un réel défi, pourtant il peut faciliter la communication avec nos ados, mais aussi les aider à éviter certains pièges. Alors, la prochaine fois qu’un jeune vous dira : « Zoner dans le tieq », c’est qu’il va traîner dans le quartier « C'est la hess », c’est la galère « C’est le zbeul », (argot) C’est le bordel « Il se nachave », il va partir, pour stopper la discussion Vous comprendrez et pourrez enfin lui répondre ! Certains de leurs mots et expressions sont si populaires qu’ils sont maintenant utilisés partout, à tous les âges et dans toutes les couches de notre société.
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Affiche du document Quand les plantes se parlent

Quand les plantes se parlent

Jean-Pierre Jost

13min30

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18 pages. Temps de lecture estimé 13min.
Les plantes communiquent entre elles de multiples façons. Elles signalent leur présence à leurs voisines par l’émission de lumière infrarouge. Cela permet à ces dernières d’éviter leur ombre. Elles ne sont pas sourdes, elles perçoivent et émettent des ondes sonores. En réponse à certaines fréquences, elles activent sélectivement plusieurs gènes (résistance aux insectes, aux maladies, photosynthèse, production d’hormones de croissance). Elles communiquent aussi par signaux électriques auxquels elles répondent en synthétisant des hormones de stress et autres molécules. Ces réactions dépendent de la présence de neurorécepteurs de glutamate (les mutants de ces derniers abolissent cet effet). Les plantes réagissent aux contacts physiques avec des obstacles physiques, cela active (via signaux électriques) de nombreux gènes impliqués dans la croissance, signaux d’alarme et résistance aux maladies. La communication chimique entre plantes est très versatile. Elle leur permet d’avertir leurs voisines de dangers imminents (abiotiques ou biotiques) et elles répondent à ces signaux par une synthèse de substances appropriées. La communication entre plantes peut se faire par un transfert (asexuel) de gènes de l’une à l’autre (transgenèse naturelle). Elles sont aussi interconnectées et communiquent entre elles par un réseau internet souterrain très complexe (champignons mycorhizes qui relient leurs racines), cela leur assure un échange efficace de différents messages (chimiques et physiques). L’usage de ces champignons mycorhizes est devenu une nouvelle pratique écologique en agriculture pour augmenter les rendements. La rivalité entre plantes se manifeste par de nombreux messages chimiques toxiques (allélopathie). Selon les espèces ce sont les graines, le pollen, les racines ou la plante entière qui émettent des substances allélochimiques qui font obstacle à la croissance de leurs voisines concurrentes, une façon de s’assurer leur propre espace vital. Il y a des plantes compatibles et celles qui ne le sont pas d’où la nécessité d’en tenir compte lors de la rotation des cultures ou du jardinage. Afin d’échapper aux substances allélopathiques, il y a également celles qui se spécialisent (résistance à la sécheresse, à la salinité ou aux métaux lourds).
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Affiche du document La lutte biologique contre les ravageurs des plantes cultivées

La lutte biologique contre les ravageurs des plantes cultivées

Jean-Pierre Jost

34min30

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46 pages. Temps de lecture estimé 34min.
Cet ouvrage présente plusieurs procédés écologiques capables de limiter l’usage des insecticides qui polluent le sol et l’eau. Parmi les différentes stratégies il y a : les méthodes culturales comme la rotation des cultures, cultures dérobées et intercalaires et la date des semis qui contribuent à la lutte contre les insectes et nématodes nuisibles. La sélection classique de nouveaux cultivars est indispensable. L’usage de phéromones sexuelles, d’agrégation et les kairomones permettent de lutter contre de nombreuses espèces d’insectes. Elles sont utilisées de différentes façons : piégeage en masse, attracticide, autoconfusion, confusion sexuelle. Des diffuseurs (nano fibres, sphères ou nano gels) permettent une diffusion constante de ces substances durant la période de végétation. De nombreuses plantes transgéniques expriment des gènes de résistance aux insectes. Maïs, coton, soja, colza, pomme de terre, betterave sucrière expriment une ou plusieurs toxines de Bacillus thuringiensis. D’autres plantes transgéniques (la plupart expérimentales) expriment des inhibiteurs de protéases, des lectines, des ARNi interférant, l’avidine ou des phéromones. La lutte biologique est aussi possible grâce aux micro-organismes : virus (principalement Baculovirus), bactéries (Bacillus thuringiensis représente 95 % de tous les bioinsecticides vendus), plusieurs espèces de champignons sont de même utilisées comme biopesticides. Dans la lutte avec les organismes auxiliaires on fait appel aux coccinelles, chrysopes et trichogrammes (tous disponibles sur le marché). Les éliciteurs sont capables d’induire une résistance chez les plantes. Des plantes insecticides ou nématicides sont aussi cultivées et sont à même d’être utilisées sous forme de bioinsecticides.
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Affiche du document La communication chez les insectes sociaux et autres

La communication chez les insectes sociaux et autres

Jean-Pierre Jost

39min00

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52 pages. Temps de lecture estimé 39min.
La communication chez les insectes sociaux ou non se fait par le biais de quatre types de signaux fondamentaux : sonores, tactiles, visuels et chimique (phéromones). En raison de la complexité des interactions chez les insectes sociaux ils font appel à plusieurs canaux de communication différents. C’est le cas chez les abeilles, les fourmis, les termites et les blattes par exemple. Cela permet un enchainement d’une multitude d’interactions élémentaires. En fonction des besoins de la colonie, la communication par phéromones permet, par exemple, une dynamique dans la distribution des différentes tâches à accomplir et assure la cohésion de la colonie. La communication acoustique est surtout mise en pratique chez les cigales, grillons criquets et sauterelles tandis que la communication par la lumière est utilisée chez les lucioles. Les femelles et mâles de papillons de jour communiquent par signes visuels et par phéromones tandis que pour ceux de nuit c’est essentiellement par phéromones. Les insectes perçoivent également les messages chimiques et visuels émis par les plantes. Le plan Ecophyto 2 a fixé une échéance à 2025 pour diminuer au moins de moitié l’usage de pesticides traditionnels qui pourraient être, entre autre, avantageusement remplacés par l’usage de phéromones spécifiques pour contrôler efficacement les populations d’insectes nuisibles aux cultures. A cet effet plusieurs stratégies sont envisageables: le piégeage en masse, le système attracticide, l’autostérilisation, la confusion sexuelle et l’autoconfusion ou les plantes transgéniques produisant des phéromones. La bioluminescence des lucioles est aussi appliquée dans la chimie analytique et certains tests médicaux. Ce que nous savons sur la communication chez les insectes sociaux est mis en pratique dans la robotique.
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Affiche du document Faire corps

Faire corps

Christophe Jaccoud

4h14min15

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339 pages. Temps de lecture estimé 4h14min.
Quels rapports entre des hommes et des femmes qui chantent dans une chorale, les tableaux de Ferdinand Hodler et d'Auguste Baud-Bovy, des personnes qui font l’expérience d’une grave maladie ou encore des ouvriers confrontés à la discipline du travail ? C’est le corps et la manière dont il est utilisé, fabriqué, entretenu, montré, réparé et mobilisé. Cet ouvrage collectif propose une série d’éclairages propres à tracer les contours d’un faire corps – soit la manière dont les individus et la société tentent d’intervenir sur le corps – dans des situations et des contextes variés. Sont mis en lumière le rôle joué par les pensionnats dans l’adoption des pratiques sportives, des femmes migrantes engagées dans des activités de soin auprès de personnes âgées, des personnages de romans d’Alice Rivaz, des footballeurs de la Nati, des pratiquantes de pole dance, l’intérêt porté par les médecins aux XVIIe et XVIIIe siècles à la notion de Heimweh, le témoignage d’une himalayiste ou encore des stratégies de conservation corporelle développées par un homme ordinaire au cours d’une vie sportive.Des correspondances entre des temps, des lieux et des gens sont proposées à travers quatorze contributions issues de l’histoire de l’éducation, de l’art et du sport, de l’anthropologie médicale, de la sociologie, de la littérature, de la géographie ou encore à partir de la restitution autobiographique. Tous les articles qui constituent ce volume ont pour ancrage la Suisse sur une période qui court de la fin du XVIIe siècle à aujourd’hui.
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Temps couvert... pas de vent

Odile Gapillout

1h05min15

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87 pages. Temps de lecture estimé 1h05min.
Robert perd Lucienne, son épouse, après quarante années de mariage. C’était une femme singulière : intelligente, cultivée, folle parfois, mais aimante et aimée de son mari. Neuf mois plus tard, lors d’un voyage en Andorre, Robert rencontre une seconde Lucienne, veuve depuis dix ans, même âge, même origine que la première. Il est séduit par cette autre Lucienne... Par petites touches, Odile Gapillout (la fille de Robert) recompose des scènes de vies familiales. Les évocations sont courtes, directes, vivantes. Elles nous plongent immédiatement dans les instants décrits. Appuyé sur des souvenirs denses, Temps couvert... pas de vent est un roman autobiographique émouvant qui nous montre combien tous ces personnages ont aimé vivre malgré la tourmente et ont été capables de faire leur route. Longtemps enseignante puis documentaliste Odile Gapillout vit près de Paris. Temps couvert... pas de vent est son deuxième ouvrage édité, après Le taureau par les cornes (Kirographaires, 2012). Avis blogs, presse et lecteurs : De clichés en brefs instantanés, rebondissant par petits textes concis dont la mosaïque finit par dessiner une cartographie familiale complète, l'auteur rappelle le souvenir des siens à la manière de photos passées. Pétri d'indulgence et de sagesse, son roman se lit comme une succession de petits bonheurs. 15/04/2015 - O COMME COLOMB Cet ouvrage original ancré dans les racines familiales et l’amour inconditionnel pour le père — le premier homme — m’a captivée. D’une écriture délicate, drôle et rugueuse, l’auteur offre le portrait d’une mère qui s’en va pas à pas, d’un père qui résiste et d’une belle-mère sereine qui reçoit la lettre bienveillante de l’auteur. O.L. (lectrice) Très bon récit intimiste : de l’émotion, de l’humour. Nombreux passages touchants ou cocasses, retraçant une enfance tourmentée. Se lit d’une traite. C.M. (lecteur) Quand j’ai reçu le livre d’Odile, J’ai immédiatement commencé à le livre. Je l’ai dévoré en 2 soirées. Ma mère avait également des périodes de dépression parfois assez graves. Mais elle s’en est toujours plus ou moins sortie. J’ai été très impressionnée par la scène du chat. Il faut certainement être très malheureux pour en arriver là. Je connais bien Odile et je me réjouis lire ses livres à chaque fois.J’ai souvent l’impression lors des lectures qu’elle me confie ses secrets intimes surtout avec « Temps couvert ... pas de vent ». C.S. (lectrice) Nous avons lu avec beaucoup de plaisir le dernier livre d’Odile Gapillout, d’une seule traite ! Nous avons aimé le déroulé de ces instants du passé comme tirés d’un album de photos avec ses bonheurs, ses peines et ses drames. A. et CL. B. (lecteurs)
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