Catalogue - page 167

Affiche du document Au service du roi

Au service du roi

Nicole Descours

3h54min45

  • Roman historique
  • Youscribe plus
313 pages. Temps de lecture estimé 3h55min.
Quelques lettres aux feuillets jaunis retrouvées dans un grenier poussiéreux sont à l'origine de ce roman retraçant une aventure hors du commun. Celle de Joachim, jeune officier au temps de Louis XV qui, à l'occasion d'une échauffourée, a malencontreusement tué un de ses voisins. Bien que gracié par le Roi, Joachim choisit l'exil. Sur les pressants conseils d'un familier de la Cour de Versailles, il accepte de se mettre au service du Roi de Pologne. Louis XV vient, en effet, d'épouser une jeune Polonaise de bonne souche et cette union explique non seulement les sympathies françaises pour la Pologne mais aussi l'attention portée aux soubresauts de la politique à Varsovie. Après maintes aventures, Joachim arrive à Varsovie où, affecté à un régiment de la garde royale, il devient un brillant officier, apprend le polonais et découvre sa patrie d'adoption. Marié, en 1740, à Klara, devenu colonel, il eut une nombreuse descendance. Des centaines parmi eux vivent aujourd'hui en Pologne, aux États Unis, en Suisse et même au Vatican où ils ont donné réputation et lustre au nom de Deskur, forme polonisée de leur patronyme d'origine.Pour relater l'étonnante aventure de Joachim, la romancière Nicole Descours s'est faite historienne. Ses recherches dans les archives, ses lectures dans les bibliothèques, l'aide amicale aussi des cousins Deskur lui ont permis de nous raconter l'histoire authentique de ce jeune français victime d'une stupide querelle avant de devenir au bord de la Vistule fondateur d'une dynastie de grande réputation.
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Affiche du document Le Soldat oublié

Le Soldat oublié

Guy SAJER

6h33min00

  • Roman historique
  • Livre epub
  • Livre lcp
524 pages. Temps de lecture estimé 6h33min.
Guy Sajer n'a pas dix-sept ans quand, en juillet 1942, il endosse l'uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l'Alsace. A cause de son jeune âge, il n'est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l'hiver s'abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l'unité de Sajer n'atteindra Stalingrad qu'elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n'est pas une partie de plaisir, que survivre dans l'hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n'a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lors-qu'il est versé dans la division "Gross Deutschland", division d'élite, avec laquelle, à partir de l'été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d'Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l'offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque -40°, sous le martèlement terrifiant de l'artillerie russe, face aux vagues d'assaut d'un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la "Gross Deutschland", portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l'enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l'échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d'Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s'est désagrégé, quand l'immense armée reflue, aux-combats réguliers s'ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c'est la retraite des derniers survivants de la division d'élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu'en Pologne. Dans l'hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l'entrée du Vaterland aux Russes. C'est encore Memel, où l'horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l'exode des populations allemandes de l'Est. Enfin, malade, épuisé. Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre... Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s'il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n'est pas seulement parce que l'auteur a réellement vécu tout ce qu'il rapporte, ce n'est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l'accent et la force terrible de la réalité, c'est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu'il n'y a pas là de "littérature", pas de morceaux de bravoure - mais que c'était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l'horreur.
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Affiche du document Fille de la colère

Fille de la colère

Michel Peyramaure

2h42min00

  • Roman historique
  • Livre epub
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216 pages. Temps de lecture estimé 2h42min.
Suzanne Valadon, Sarah Bernhardt, aujourd'hui Louise Michel... à travers trois femmes d'exception, Michel Peyramaure aura écrit l'histoire de la femme au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Elle naît vers 1830 en Haute-Marne, bâtarde dans un modeste château dont le maître (peut-être son père) lui donne une excellente éducation. Elle se voulait poète et n'hésitait pas à envoyer ses vers (très mauvais) à Hugo, alors en exil. Foncièrement, c'était une institutrice. Venue à Paris, elle fonde plusieurs écoles à Montmartre, où elle s'efforce de nourrir et d'éduquer tous les enfants miséreux du quartier. Car Louise Michel était républicaine et elle n'eut jamais qu'une passion: le peuple. Elle s'agite dans les milieux d'opposition à l'Empire, s'attache des hommes qui ne l'abandonneront jamais: Clemenceau, Jules Vallès, Rochefort, Théophile Ferré (son seul amour, jamais réalisé). Tout ça, bien sûr, mènera à la Commune. La barricade qu'elle tient, place Blanche, est l'une des dernières à tomber. Elle manque être fusillée au camp de Satory, et c'est la déportation en Nouvelle-Calédonie. Toujours institutrice, toujours révoltée, de plus en plus anarchiste. Quand vient l'amnistie, en 1880, revenue à Paris, elle continue, toujours prêchant, inlassablement, partout en France et à Londres, devant des foules ou seulement quelques indifférents – car la révolution a vieilli, et elle aussi. Elle mourra à la tâche en 1905.Michel Peyramaure s'est épris de cette femme exceptionnelle. Par courtes scènes ou grands tableaux, il fait revivre ce destin furieux.
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Affiche du document Histoire de Foulques-Nerra, Comte d'Anjou

Histoire de Foulques-Nerra, Comte d'Anjou

Alexandre de Salies

3h00min45

  • Roman historique
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  • Livre epub
  • Livre lcp
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241 pages. Temps de lecture estimé 3h1min.
Qui était Foulques Nerra ? Le savez-vous ? Au coeur de cette France du XIe siècle, comment ce grand seigneur féodal a-t-il vécu et combattu ? Quelles furent ses ambitions politiques et personnelles ? Quels sont les nombreux monuments que l’on peut lui attribuer ? Et pourquoi son ombre a-t-elle traversé les siècles ? Ecoutez ce que pense de lui Alexandre de Salies lorsqu’il préface sa grande biographie en 1874 : ... Il occupe cinquante-trois ans, sans faiblir, la scène de l'histoire féodale. Hugues-Capet vient à peine de ceindre la couronne, que ce personnage prend possession de son comté. Il voit mourir Hugues-Capet ; il voit mourir Robert le Pieux ; et près de dix ans encore, il bataille sous Henri Ier. La longueur de son règne, du reste, serait peu de chose, sans l'incontestable supériorité morale qui le caractérise. Il est le géant de son siècle, et, quoiqu'il soit inférieur à ses rivaux par la puissance matérielle et l'étendue des terres, son prestige est si grand, que Robert Aboland, dans sa chronique, n'hésite pas à le désigner comme « le premier après le Roi » post Regem primus. C'est ce personnage, dont nous avons entrepris d'écrire l'histoire. Foulques le Noir était son nom. L'Anjou fut son domaine ; la Touraine son champ de bataille d'un demi-siècle ; l'Orient le témoin de ses expiations exemplaires. Dans le centre de la France, il n'est personne qui ne parle encore de sa terrible épée, personne qui ne le connaisse comme le Grand-Bâtisseur... Cette nouvelle édition, version epub, pour ordinateurs, smartphones, tablettes et liseuses, tire profit des nouvelles technologies pour vous livrer un ouvrage majeur, de plus de 400 pages, avec de nombreuses notes, et qui reste à ce jour une des rares références disponibles sur la vie de ce personnage médiéval extraordinaire, ignoré parfois de l’Histoire de France et pourtant à l’origine de la dynastie des Plantagenêt...
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