Catalogue - page 363

Affiche du document Le Crime de l'Opéra - Tome II - La Pelisse du pendu

Le Crime de l'Opéra - Tome II - La Pelisse du pendu

Fortuné du Boisgobey

3h02min15

  • Romans policiers, polars, thrillers
  • Livre epub
  • Livre lcp
243 pages. Temps de lecture estimé 3h02min.
Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassin?e dans sa loge lors du bal de l'Op?ra. Trois personnage se mettent ? la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Une occasion de red?couvrir le Paris d'autrefois avec des personnages hauts en couleur et un art de vivre aujourd'hui disparu.Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassin?e dans sa loge lors du bal de l'Op?ra. Trois personnage se mettent ? la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Une occasion de red?couvrir le Paris d'autrefois avec des personnages hauts en couleur et un art de vivre aujourd'hui disparu.Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassin?e dans sa loge lors du bal de l'Op?ra. Trois personnage se mettent ? la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Une occasion de red?couvrir le Paris d'autrefois avec des personnages hauts en couleur et un art de vivre aujourd'hui disparu.Julia d'Orcival, femme du monde comme l'on disait alors, est assassin?e dans sa loge lors du bal de l'Op?ra. Trois personnage se mettent ? la recherche du coupable : un juge d'instruction, son neveu et un ancien capitaine de hussards. Une occasion de red?couvrir le Paris d'autrefois avec des personnages hauts en couleur et un art de vivre aujourd'hui disparu.
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Affiche du document Le Coeur cambriolé

Le Coeur cambriolé

Gaston Leroux

54min45

  • Romans policiers, polars, thrillers
  • Livre epub
  • Livre lcp
73 pages. Temps de lecture estimé 55min.
LE COEUR CAMBRIOLÉGaston LerouxCollection« Les classiques YouScribe »Faites comme Gaston Leroux,publiez vos textes sur YouScribeYouScribe vous permet de publier vos écrits pour les partager et les vendre.C’est simple et gratuit.Suivez-nous sur : ISBN 978-2-8206-0655-6I. Mes fiançailles avec Cordélia Nos parents nous avaient fiancés dès notre plus jeune âge. Quand j’avais douze ans et qu’elle en avait huit, ondisait déjà, autour de nous, que nous formions un couple charmant, et nos mères nous admiraient. Nous aurionsvoulu nous marier tout de suite, tant nous nous aimions. Nous étions cousins germains et nos familles nousréunissaient pendant les vacances. À cette époque, Cordélia m’avait déjà donné son cœur, son petit cœur de huitans.Moi, j’étais un très grand garçon pour mon âge, d’un blond presque roux, très fort, enragé de sport, paresseuxà l’étude. La vie au grand air était la seule qui me convînt. J’en avais donné le goût à Cordélia, qui avait plutôt unpenchant pour la lecture et les arts. Sa mère était italienne. Mon oncle l’avait épousée au cours d’un voyaged’affaires qu’il avait fait à Turin. À huit ans, Cordélia était déjà bonne musicienne, mais elle nous étonnait surtoutpar sa facilité à dessiner ou à peindre ce qui la frappait ou l’intéressait. Pour moi tout ce qui sortait des mains deCordélia me paraissait un miracle.Je ne l’en aimais que davantage et je ne lui marchandais pas mon admiration. C’est moi qui lui appris à monterà ...
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Affiche du document Les proies de l'officier

Les proies de l'officier

Armand Cabasson

3h32min15

  • Romans policiers, polars, thrillers
  • Livre epub
  • Livre lcp
283 pages. Temps de lecture estimé 3h32min.
Un jeune capitaine, humaniste et idéaliste, mène une enquête policière au cœur de la terrible campagne de Russie. Juin 1812, Napoléon lance une armée de quatre cent mille hommes à la conquête de la Russie. Mais sur la route de Moscou, entre les batailles d'Ostrowno et la Moskowa, un officier de la Grande Armée tue sauvagement des femmes. C'est au capitaine Quentin Margont que Son Altesse le prince Eugène, vice-roi d'Italie et beau-fils de Napoléon, demande de suivre ? discrètement ? cette piste sanglante...À trente et un ans, Armand Cabasson fait éclater son talent dans ce thriller historique, digne des "Foulards rouges" de Frédéric Fajardie pour le suspense et de William Boyd pour la qualité des reconstitutions historiques. Il a su ressusciter une époque, confronter le lecteur avec la vie quotidienne des hommes qui participèrent à cette épopée ? toujours avec le plus grand souci d'authenticité. Il a déjà publié en 1998 un premier polar et de nombreuses nouvelles. Et il a été remarqué, notamment au festival de Cognac. Dans "Les Proies de l'officier", il a voulu allier son goût naturel pour le thriller ? fortement nourri par sa connaissance de la psychologie des criminels psychopathes ? à sa passion pour l'époque napoléonienne. Depuis la Grande Redoute, on vit accourir une multitude de Russes, les épaules pressées les unes contre les autres. Le courage gorgé de vodka, ils formaient un mur compact et criaient : "Hourra! Hourra!" pour remercier les Français de leur faire le plaisir extrême de les affronter. Dans le retranchement, principalement occupé par le 30e de ligne car les autres régiments étaient placés de part et d'autre de la position, on était sidéré. Alors quoi? On n'avait pas gagné? Ce n'était donc pas fini? Les Français faisaient feu de toutes parts mais les Russes ne ralentissaient même pas leur course. Leur masse grouillante verte et blanche où scintillaient les reflets des baïonnettes recouvrait aussitôt ceux des leurs qui tombaient, donnant l'illusion que la fusillade n'avait eu aucun effet. - Nom de Dieu, on tire sur des fantômes ou quoi? jura quelqu'un.Margont aperçut Saber qui, avec quelques hommes, abattait les restes de la double palissade qui fermait la gorge de la Redoute. Ils faisaient pression sur les troncs épargnés par les boulets, poussant à deux mains ou s'adossant contre le bois. On avait du mal à comprendre pourquoi ils agissaient ainsi. N'avaient-ils donc pas remarqué que les Russes allaient rentrer par là? - Arrêtez-moi ces crétins ou je les fais fusiller sur-le-champ contre leurs poteaux! cria un colonel en désignant Saber et ses hommes de la pointe de son sabre.Margont se fraya un chemin dans la foule des fusiliers pour rejoindre son ami. - Tu es fou? Qu'est-ce que tu fais?Saber avait agrippé un tronc qu'il faisait pencher peu à peu. Il était si têtu que, si trois hommes l'avaient empoigné pour l'enlever de force, ils l'auraient emporté avec son bout de palissade.- La Redoute est perdue! On va être balayé comme des feuilles mortes et les habits verts vont s'accrocher à cette batterie comme des moules à leur rocher. La seule façon de revenir ici, ce sera une attaque combinée en étau, infanterie de face et cavalerie à revers. Donc il faut dégager la voiepour nos cavaliers!- Une attaque combinée? hurla Margont sans comprendre.Durant la nuit, Saber n'avait jamais tenu compte du facteur humain en traçant ses plans de bataille sur le sol. Ça, c'était une chose. Mais même à présent, alors qu'une marée humaine allait les engloutir, il continuait à raisonner de façon froide et mathématique. Désincarnée, même. Saber s'écroula avec son poteau. Un cavalier surgit devant eux. Son cheval piaffait et agitait la tête pour chasser l'écume de ses lèvres. L'homme et sa monture se tenaient en contre-jour et leurs silhouettes, sombres, fières, magnifiques, étaient effrayantes. On aurait dit l'un des quatre cavaliers de l'Apocalypse. Les yeux des soldats s'acclimatèrent et reconnurent le colonel Delarse. Il tournait le dos à l'ennemi. Les Russes, de plus en plus proches, tentaient tous d'abattre cet officier que certains prenaient pour Napoléon en personne. Delarse désigna le cœur de la Redoute. - Messieurs, ceci est la porte de Moscou. Ne les laissez pas la refermer !Une clameur accueillit ces paroles et les "Vive l'Empereur!" retentirent. Delarse repartit au galop, suivi par un cheval noir sans cavalier. Darval, son officier adjoint, venait en effet de rouler mort au pied du remblai. La nuée russe s'abattit sur le retranchement. Des ombres noires apparurent de tous les côtés dans la fumée suffocante de la fusillade. De vives lueurs crépitaient sans cesse dans un vacarme assourdissant. Les Russes tentaient de pénétrer par la gorge mais les Français leur barraient le passage. Les corps s'agglutinaient de part et d'autre. Les Russes qui suivaient se jetaient de tout leur élan contre leurs camarades pour faire sauter le bouchon de ce goulot. Les soldats du 30e et du 13e léger se massaient pour contrebalancer la poussée russe. Ceux qui se trouvaient au centre de cette mêlée étaient écrasés dans cet étau. Plaqués les uns contre les autres, certains avaient été tués mais ne pouvaient même pas tomber, donnant l'illusion que les morts eux-mêmes s'étaient relevés pour participer au combat. Margont leva la tête. Des Russes faisaient feu depuis les hauteurs du remblai. Leurs corps se détachaient si distinctement qu'ils se faisaient abattre presque aussitôt. D'autres les relayaient pour connaître le même sort. Les défenseurs de la gorge furent finalement submergés. Des hommes furent piétinés tandis que les Russes, hurlant de joie, déferlaient en embrochant tout ce qui bougeait. Margont, tétanisé, pensa aux arènes de Nîmes. Il avait l'impression d'être au cœur de cet édifice antique, misérable gladiateur perdu dans une foule d'autres gladiateurs. Mais il n'y avait aucun public, aucun César prêt à lever le pouce pour faire cesser le carnage. Il vit des mousquetiers verts se ruer dans sa direction. Un fusilier français, juste à côté de lui, se mit à hurler de rire. Il se tenait immobile, l'arme au pied, et riait, riait, riait. Quelqu'un se plia en deux devant Margont. Un bout de métal sanglant dépassait de son dos. Margont tira un coup de pistolet dans la poitrine d'un assaillant. Une forme vociférante le chargea en brandissant une baïonnette. Il se précipita vers elle, esquiva la lame et lui plongea son épée dans le ventre. A sa droite, quelqu'un tira un coup de feu dans le visage de quelqu'un d'autre. Une main lui attrapa la cheville. Il bondit en arrière sans chercher à savoir s'il s'agissait d'un Russe renversé ou d'un blessé qui réclamait de l'aide. Un coup de crosse porté par derrière lui percuta l'épaule gauche et lui fit perdre l'équilibre. Il se retourna vivement et découvrit un fantassin qui levait sa baïonnette pour l'épingler au sol. Margont avait lâché son épée. Il bondit comme un ressort, ceintura le Russe et tous les deux chutèrent. Margont se releva. Les Français se repliaient. Il aperçut le général Bonnamy, qui commandait le 30e de ligne et le 2e de ligne de Bade. Bonnamy était en sang. Une masse de Russes l'enveloppa pour le cribler de coups de baïonnettes. Le fusilier riait toujours. Il n'avait pas bougé d'un centimètre. Un Russe lui plongea sa baïonnette dans le ventre. Le Français n'avait même pas esquissé un geste pour se défendre. Il s'effondra. Il avait cessé de rire. Il ne retrouva la raison que pour mourir. Margont récupéra son épée. Le soldat qui avait tenté de l'empaler avait ramassé son fusil. Margont pointa son pistolet déchargé sur lui. Le Russe hésita. Allait-il tenter l'affrontement ou renoncer? Une balle perdue prit la décision à sa place en lui traversant la poitrine. Partout, des fusils étaient jetés à terre et des bras se levaient. Les Russes avaient gagné. Margont rejoignit ceux qui se repliaient. Ayant été encerclés, ils durent se faire jour à travers l'ennemi. Les deux tiers du 30e avaient péri dans la Redoute et ses alentours. Mais les rescapés, ajoutés à ceux du 13e léger et des autres régiments, constituaient encore une force puissante. Ils avaient commencé à se replier en bon ordre lorsque, soudainement, le groupe déterminé se changea en une foule en ébullition. C'était comme si les esprits avaient subi une mystérieuse réaction chimique les amenant à un état d'équilibre instable. La peur augmenta dans des proportions considérables alors que, paradoxalement, le danger diminuait puisque l'on était en train de regagner ses lignes. Un tambour pressa le pas pour dépasser un grenadier. Ce fut le petit élément anecdotique qui déclencha l'explosion. Le grenadier accéléra pour repasser devant le tambour et tout le monde se retrouva en train de courir. La peur devint panique, or la panique est la plus contagieuse de toutes les maladies. Margont tourna la tête. Les Russes les poursuivaient.- Reformez les rangs ou ils vont nous massacrer! hurla-t-il.
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