Catalogue - page 774

Affiche du document La Mélodie des jours

La Mélodie des jours

Lorraine Fouchet

2h30min00

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
200 pages. Temps de lecture estimé 2h30min.
Se croire seule pour traverser une épreuve, et découvrir qu'on ne l' est pas... Aujourd'hui, on guérit du cancer du sein s'il est pris à temps. C'est ce qu'on dit à Lucie, et c'est vrai. Sauf que, si on est maman célibataire d'une petite Léa de onze ans qu'on tient à protéger, et si on se retrouve seule dans une nouvelle ville où on ne connaît personne... où trouve-t-on le soutien pour traverser vaillante l'espace incertain qui sépare le diagnostic de la fin du traitement ? Pour dépasser la peur, pour supporter la radiothérapie, pour remonter en piste ? Parce qu'elle n'a personne à qui se confier, Lucie demande de l'aide sur le Site des Voisins. Tout de suite, des internautes lui répondent et Lucie découvre à travers ce réseau de proximité une solidarité insoupçonnée. Au fil des jours, ces amitiés virtuelles deviennent réelles, prennent de plus en plus de place dans sa vie. Et puis il y a Charlie, son préféré, le seul qu'elle n'a jamais vu. Charlie et ses messages provocants et drôles, Charlie et ces musiques qu'il lui envoie chaque jour via son iPhone. Autant de messages d'amour, autant de petits cailloux blancs sur le chemin de la guérison... Généreuse et optimiste, une histoire qui fait du bien. RÉSUMÉ À vingt-neuf ans, Lucie emménage en Provence avec sa fille Léa, laquelle ignore qui est son père. Elles ne sont là que depuis quelques mois, elles ne connaissent encore vraiment personne. Le jour des onze ans de Léa, à l'heure du déjeuner, Lucie ferme sa fromagerie et se rend chez la gynécologue pour un contrôle de routine. Et le ciel lui tombe sur la tête : elle a un cancer du sein. Dans son désarroi, elle ne pense qu'à une chose : il ne faut pas que Léa sache - il ne faut pas que Léa se retrouve impuissante face à la maladie comme Lucie le fut elle-même, au même âge, face à l'anorexie de sa sœur aînée. Car celle-ci a fait se déliter complètement la famille de Lucie : sa sœur n'a jamais complètement guéri, leur mère a plongé, leur père les a quittées... Alors Lucie se fait une promesse : continuer coûte que coûte à offrir à Léa l'enfance insouciante et heureuse dont elle-même a été brutalement privée. Parce qu'elle n'a personne à qui se confier et que c'est trop lourd, Lucie demande de l'aide sur le Site des Voisins, en se cachant derrière le pseudo de Mouette. Tout de suite, des internautes du site se mettent à correspondre avec elle et Lucie découvre à travers ce réseau de proximité une solidarité insoupçonnée. Très vite, certains quittent même l'univers virtuel pour devenir ses amis dans la vie réelle. Il y a Alberte, une formidable institutrice à la retraite qui a guéri du même cancer vingt ans auparavant. Erwan, un mateloteur breton qui a vendu sa maison pour payer les dettes de son fils, lequel ne veut plus entendre parler de lui. Darius, un chirurgien iranien exilé politique qui travaille comme infirmier de nuit. Il y a aussi Sébastien, l'ami de Léa, adopté par des parents scientifiques qui le délaissent. Et il y a Charlie, son préféré, le seul qu'elle n'a jamais vu... Charlie, qui écrit des messages provocants et drôles, qui la fait rire dans les moments de panique, et qui, pendant les sept semaines que dure sa radiothérapie, lui envoie chaque jour le titre d'une chanson, d'un morceau ou d'un air qu'elle découvre grâce à son iIPhone et écoute juste avant d'entrer dans ce qu'elle appelle " le grille-pain ". Autant de messages d'amour, autant de petits cailloux blancs sur le chemin de la guérison... Dans cette petite communauté qui se crée autour d'elle, l'entraide et la solidarité ne sont pas des vains mots : c'est la seule vraie famille, celle du cœur, que vont peu à peu former ces êtres qui, au départ, n'auraient jamais dû se rencontrer et qui, tous, portent dans leur propre histoire une blessure douloureuse. Le seul que Lucie ne supporte pas, c'est Malo, son voisin chocolatier avec lequel elle est en perpétuel conflit. Amoureuse de Charlie, elle rêve de le rencontrer, le presse de dévoiler son vrai nom quand lui ne cesse d'esquiver. Dans le même temps, Malo prend de plus en plus de place dans sa vie... Le jour de la fin de son traitement, Lucie découvrira que Charlie et Malo ne font qu'un...
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Affiche du document Walther et moi

Walther et moi

Frédéric Lasaygues

38min15

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
51 pages. Temps de lecture estimé 38min.
Quelle tête feriez-vous si vous trouviez dans les affaires de votre vieille et adorable mère un revolver datant de la Deuxième Guerre mondiale, en parfait état de marche ? Paul Behant, lui, ne sait que faire de cette troublante découverte. Sa mère, qui lui reproche déjà vertement de l'avoir placée dans une maison de retraite, refuse absolument d'expliquer la présence d'un magnifique Walther PPK dans une de ses vieilles malles. Né dans les années 1950, Paul s'aperçoit qu'il ne sait rien de la vie de cette femme pendant la guerre. Il la croyait jeune épouse et mère d'une première petite fille, tentant, comme tous les Français, de survivre dans cette période difficile. Propriétaire désormais de ce magnifique revolver pour lequel il se prend d'un véritable attachement, Paul veut absolument découvrir la provenance de cette arme. À la mort de sa mère qui, jusqu'à son dernier souffle, refuse de s'expliquer, il décide d'en avoir le cœur net. Sa seule autre piste se trouve dans les cartes postales sibyllines qu'un célèbre alpiniste envoyait à la défunte chaque fois qu'il gravissait un sommet prestigieux. Paul part à la recherche de cet homme. Plus il en apprend sur la jeunesse de sa génitrice, plus il se persuade que cette femme ? si gentille, si tendre, si drôle ? a probablement vécu une terrifiante histoire d'amour qui a fait d'elle une meurtrière. A moins que d'autres pièces du puzzle ne lui manquent encore... Entre humour, tendresse et vertige existentiel, Walther et moi est un bel exemple de comédie à tiroirs qui n'évite pas les sujets graves.
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Affiche du document Mariages

Mariages

Jacques André BERTRAND

42min45

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
57 pages. Temps de lecture estimé 43min.
Jacques A. Bertrand est un de ces rares écrivains dont le style et l'élégance d'esprit forcent le respect. Auteur-culte et inclassable, il nous enchante une fois encore avec un recueil de textes humoristiques sur les affres du mariage. Pour les esprits curieux et méditatifs, le mariage est un sujet de réflexion inépuisable. Si beaucoup - et de plus en plus nombreux - évitent la forte réalité de la chose, nul n'échappe à la fascination du mot. Fin chroniqueur des mœurs de son temps, Jacques A. Bertrand ne pouvait manquer de s'emparer de ce thème et de l'explorer avec la sagacité, le talent et la fantaisie qui font sa notoriété. Rêve, fête, bonheur durable ou erreur de jeunesse, le mariage est un sujet de préoccupation aux quatre coins de la planète. À travers les dix-sept récits qui composent ce recueil, Jacques A. Bertrand nous entraîne de sa plume légère de New Dheli à Munich, de Rotterdam au mont Himalaya. De mariages d'appoint en mariages mixtes ou blancs, il nous plonge dans la forêt des sentiments et des émotions qui poussent les êtres humains à se rassembler (en général un samedi) autour de deux individus de sexe opposé qui ont pris la décision de vivre l'un contre l'autre jusqu'à ce que mort s'ensuive. Au cœur des histoires drôles, émouvantes ou tragiques qu'il nous conte à sa manière grave et légère se tient, comme dans l'œil du cyclone, l'éternel besoin d'aimer et d'être aimé.
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Affiche du document Le soleil m'a oublié

Le soleil m'a oublié

Christian Laborde

42min45

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
57 pages. Temps de lecture estimé 43min.
Un roman d'amour, une romance d'aujourd'hui entre un jeune garçon et une jeune femme. Ce que préfère Marcus, c'est la boxe ; parce qu'il est parfois violent, il a arrêté le lycée et il pense que dans le monde où il vit, il n'a que son poing levé pour s'exprimer et ses poings serrés pour se défendre. Il court chaque jour en survêtement noir ou il est devant son ordi ou bien il roule à moto. Pour l'argent, il est veilleur de nuit dans un hôtel de passe : le Khamsin. L'hôtel appartient à Vico, comme le club de boxe où Marcus tape sur des sacs de frappe pour s'entraîner. Souvent il va au Zingobar pour retrouver ses potes. Après les bières, ils partent cambrioler des maisons vides dans le quartier bourgeois. Tout roule pour Marcus. Un soir, à la boxe, pendant une pause, il aperçoit la femme de Vico. Roxane est belle, elle a l'air douce, son regard a croisé le sien pendant quelques secondes et il ne l'oubliera plus. Jusqu'au jour où Vico lui demande de passer chez lui pour réparer l'ordinateur de Roxane, jusqu'au jour où elle lui donne rendez-vous et où il connaît le ciel, jusqu'au jour où Vico apprend leur aventure et cherche à l'assommer avec un nerf de bœuf et que Marcus, pour se défendre, le frappe et le tue. Un peu plus tard, Marcus, écrit à son avocat. Il refuse que Roxane témoigne à son procès, il refuse aussi de s'y rendre. Les conséquences de ses refus lui sont indifférentes.
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Affiche du document Madame Tabard n'est pas une femme

Madame Tabard n'est pas une femme

Elsa FLAGEUL

30min45

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
41 pages. Temps de lecture estimé 31min.
Clin d'œil au film Baisers volés de François Truffaut, ce roman cinéphile confronte trois points de vue sur une même rencontre amoureuse. Émouvant, délicat et sensible, Madame Tabard n'est pas une femme se lit comme on regarde un film... de la Nouvelle Vague, évidemment. Tandis que résonnent dans la salle du Royal Palace les premières répliques du film Baisers volés, Hannah, la jeune projectionniste, se souvient. Enfant, lorsqu'elle vivait seule avec sa mère, un homme s'était présenté chez elles, un soir, sous le nom farfelu de " Fabienne Tabard ", un des personnages féminins du film de Truffaut. En vérité, ce n'était autre qu'Antoine, l'homme dont sa mère venait de tomber amoureuse et qu'Hannah rencontrait pour la première fois. Drôle, léger, séduisant, mais papillonnant d'un cœur à l'autre, Antoine se révéla hélas incapable d'aimer, et finit par disparaître de leurs existences. Certaines rencontres ont pourtant un effet à retardement, et certaines coïncidences nous inciteraient presque à croire au destin. À moins que ce ne soit la " magie du cinéma " ? Dans la pénombre du Royal Palace, un dénouement inattendu se prépare... Peut-être un happy end ?Hommage à la passion du cinéma qui pénètre nos inconscients au point d'influencer nos vies, ce roman à trois voix est construit comme un flash-back qui remonte les époques jusqu'à nos jours. Récit triangulaire entre une fille, sa mère et son amant, l'intrigue nous livre trois facettes d'une histoire commune. Comment une jeune fille se construit-elle avec comme modèle celui d'une mère qui ne parvient pas à retenir l'homme qu'elle adore ? Qu'attend encore de l'amour une femme célibataire de quarante ans ? Que peut bien se raconter à lui-même un homme sans attaches - et fier de l'être - pour justifier son incapacité à s'engager ? Grâce au charme de son écriture toute en finesse, Elsa Flageul épouse avec la même véracité les réflexions de chacun de ses trois personnages et dévoile, par touches subtiles, l'intimité de leurs pensées. Un conte de fées moderne, mais sans mièvrerie.
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Affiche du document Je ne veux pas être là

Je ne veux pas être là

Laurent Benegui

1h57min45

  • Romans et nouvelles
  • Livre epub
  • Livre lcp
157 pages. Temps de lecture estimé 1h58min.
Un roman ludique et interactif où Laurent Bénégui pousse le lecteur à entrer dans un jeu fascinant et déconcertant où s'affrontent le hasard et le destin. Alicia et Fred quittèrent le self de Venoy-Grosse-Pierre et sa caissière sans remords. Ils détalaient vers la voiture, lorsque les premières gouttes de pluie s'écrasèrent à gros flocs sur le pare-brise, comme des insectes transparents.Alicia appuya sur la radiocommande de la clef et se précipita vers sa portière. Ils pénétrèrent simultanément dans l'habitacle. Alicia introduisit la clef dans le contacteur. Fred la tourna. Le moteur vrombit sous leurs pieds.Et maman, tu l'as rencontrée comment ? Elle t'a laissé son téléphone sur un ticket de caisse ?Tu veux vraiment que je te raconte ? Yes !Je te préviens, ça va être très long...Fred actionna la commande des essuie-glaces.On a plusieurs heures devant nous, fit la gamine en se tassant dans son siège, reproduisant instinctivement le geste qu'elle effectuait à l'âge de deux ans, lorsqu'au moment du coucher, son père commençait à lui raconter une histoire.Fred mit le clignotant, il enclencha la première et la Volvo s'ébranla en direction du Sud noirci par les nuages.Cette histoire trouve son origine, il y a près d'un siècle à Cuba... juste avant la Première Guerre mondiale.La voix de Fred transporta alors doucement la gamine au pays basque, un matin de septembre 1913, alors que l'Europe se boursouflait de puissance et que le travail se raréfiait dans les régions où ne s'assemblaient pas des canons. Plusieurs guerres avaient éclaté dans les montagnes des Balkans et menaçaient de propager aux autres nations leur modèle belliqueux.Plus à l'ouest, en d'autres monts, là où les Pyrénées plongeaient dans l'océan Atlantique, la contrebande avec l'Espagne était devenue dangereuse et d'un mauvais rapport. Le roi Alphonse XIII, soucieux d'affirmer sa neutralité dans le conflit annoncé, avait choisi de marquer sa différence en déployant le long de ses frontières de nombreux carabiniers. Aberri eta Askatasuna, le premier parti nationaliste basque, avait vu le jour depuis trois ans et nombre de jeunes se déclaraient nés en province de Guipúzcoa, pour ne pas faire leur service au régiment. Ils étaient fiers de leur langue unique, vifs joueurs de pelote et légers danseurs de fandango, par essence réfractaires aux idées expansionnistes, épris de leur pays mais encore plus épris de la liberté que de leur pays. Imanol Iparrateguy, le grand-père de Fred, était l'un d'eux.À l'âge de dix-huit ans, il s'embarqua clandestinement à bord d'un navire en partance pour la Floride, avec pour tout bagage une grappe de raisin et un colt chargé de trois balles dans le barillet...Alicia, les oreilles grandes ouvertes, déglutit, et se pelotonna d'avantage dans son siège.
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