Catalogue - page 1

Affiche du document Tourisme et littérature: l'étape du Cameroun dans le roman d'escale français

Tourisme et littérature: l'étape du Cameroun dans le roman d'escale français

Vincent Manuel Afana Nga

1h57min00

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156 pages. Temps de lecture estimé 1h57min.
L'explosion de la littérature touristique est visible dès le XIXe siècle. Elle est le fruit de la facilité de la diffusion des écrits et de l'exploration de l'Ailleurs par les Européens. De ce fait, beaucoup d'écrivains rendent compte à partir de leurs voyages ou sur la base des récits d'explorateurs des représentations touristiques guidés par l'exotisme. Dans cette activité, le genre privilégié est le roman, plus particulièrement le roman d'escale. Le roman d'escale décrit l'arrêt marqué par un voyageur qui n'a pas de destination fixe au cours de son périple. Aussi, l'étude du thème Tourisme et littérature : l'étape du Cameroun dans le roman d'escale français renvoie-t-elle à l'imaginaire touristique du Cameroun. Le tourisme est certes une activité subsidiaire dans le voyage des écrivains. Mais, il prend une telle importance dans le récit qu'il semble en constituer la motivation principale. Ce qui fait de l'écriture touristique, la pierre angulaire qui rapproche l'écriture des cinq écrivains. Cet essai met en valeur les représentations touristiques de quelques écrivains français durant leur voyage au Cameroun, sous le prisme du roman d'escale. De ce fait, la trame narrative de leurs récits catalyse le tourisme. Elle fait ressortir le Cameroun aux yeux des écrivains comme un espace d'aventures, de plaisir et d'évasion qui dévoilent une multitude de clichés et stéréotypes. Le comparatisme multiculturel de ses trajectoires critiques ouvre le débat de l'escale touristique sur l'interconnexion des industries culturelles au gré de l'esthétique de la relation. L'intérêt de cet ouvrage pionnier se double d'une représentation riche de symboles des marqueurs de mémoire africaine à valence touristique circulaire à partir du Cameroun.
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Affiche du document Qui a peur de Dionysos : visages, paysages et présages de l'art dramatique

Qui a peur de Dionysos : visages, paysages et présages de l'art dramatique

Robert Fotsing Mangoua

4h21min00

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348 pages. Temps de lecture estimé 4h21min.
Ce livre est un hommage incandescent rendu à Marthe Isabelle Edande Abolo, professeure titulaire des universités, spécialiste du théâtre, esthète au sens grec d'aisthêtês, qui aime l'art et le considère comme la valeur essentielle. Plus d'une vingtaine de contributeurs de divers continents campent autour des structures esthético-thématiques dramatiques, pour montrer comment, à chaque fois, elles sont exprimées, remaniées, retravaillées dans les différentes séquences traditionnelle, moderne et contemporaine du théâtre. Des exégètes interdiscipliné(e)s y convoquent des approches qui actualisent les formes de l'art dramatique et exploitent les dissimilitudes entre son actualité et son contexte historique dans le but d'apporter un éclairage nouveau. Cette entaille, épistémo-sociocritique, présente le théâtre en tant que lieu où toutes les figures de l'humanité sont dépeintes et dévoilées dans le jeu, au double sens du mot : ce qui est joué au théâtre est déjà un jeu dans la vie sociale avec ses masques. Enfin, la marque éditoriale de cet ouvrage fait de la théâtralité, un espace de fécondité des identités et des réalités séculaires, mieux un paysage de mémoire, avec un rapport d'innovations thématique et mythologique actualisant des ambroisies littéraires de l'Olympe.
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Journal d'un écrivain

Fédor Dostoïevski

5h40min30

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454 pages. Temps de lecture estimé 5h40min.
*** Cette édition est optimisée pour la lecture numérique *** Dostoïevski commence à publier le Journal d’un écrivain en 1876, C’était une sorte de gazette mensuelle, dans le genre du Bloc de Clémenceau : Chaque numéro était exclusivement composé d’articles de Dostoïevski. Ces articles avaient traits à des questions politiques ou littéraires, l’auteur y donnait aussi des récits et des nouvelles, parfois des notes de caractères autobiographiques. Le Journal d’un écrivain obtint, pour son temps, un succès inouï. En 1876, il avait 1.982 abonnés, et la vente au numéro atteignait 2.500 exemplaires ; plusieurs numéros furent tirés en deux et trois éditions. En 1877, les abonnements s’élevaient à 3.000, avec le même chiffre pour la vente au numéro. Le numéro d’août 1880, qui contenait une étude sur Pouchkine, fut tiré à 4.000 exemplaires vendus en quatre jours. Une seconde édition de 2.000 exemplaires se trouva également épuisée en quelques jours. En 1881, on tira 8.000 exemplaire du Journal d’un écrivain, tous furent vendus le jour de la mort de Dostoïevski ; une nouvelle éditions de 8.000 exemplaires fut aussi très vite épuisée. Cette édition premium en version intégrale contient notamment des écrits sur la Russie, la guerre, la question juive, et des nouvelles restées célèbres telles que Bobok et la Centenaire.
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Réflexions sur l’histoire et sur les différentes manières de l’écrire

Jean d'Alembert

22min30

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30 pages. Temps de lecture estimé 22min.
L’histoire, dit un ancien, plaît toujours de quelque manière qu’elle soit écrite. Cette proposition, quoique avancée par un ancien, et répétée, suivant l’usage, par trente échos modernes, pourrait bien n’être pas plus vraie. Il est sans doute des lecteurs qui ne sont difficiles ni sur le fond ni sur le style de l’histoire ; ce sont ceux dont l’âme froide et sans ressorts, plus sujette au désœuvrement qu’à l’ennui, n’a besoin ni d’être remuée, ni d’être instruite, mais seulement d’être assez occupée pour jouir en paix de son existence, ou plutôt, si on peut parler ainsi, pour la dépenser sans s’en apercevoir. Ils se repaissent de ce qui s’est passé avant eux, à peu près comme la partie oisive du peuple se repaît de ce qui arrive autour d’elle. Le commun des lecteurs met à l’histoire la même espèce de curiosité avec aussi peu d’intérêt ; cette occupation les fait vivre sans dégoût et sans fatigue tout à la fois, parce qu’elle les délivre de l’embarras d’être, sans leur donner celui de penser. L’histoire vraie ou fausse, bien ou mal écrite, est donc l’aliment naturel de cette multitude, trop nulle pour entreprendre de méditer, trop vaine pour se réduire à végéter, mais qui par bonheur pour elle n’est pas ennemie de la lecture. C’est à elle seule que l’histoire plaît toujours, sous quelque forme qu’on la lui présente ; les lecteurs qui pensent ne sont ni si avides ni si indulgents. Contenu de cette édition : - Réflexions sur l’histoire et sur les différentes manières de l’écrire - Réflexions sur l’usage et sur l’abus de la philosophie dans les matières de goût - Réflexions sur l’élocution oratoire, et sur le style en général
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Dévoiler l'ailleurs

Patrick Vincent

1h30min45

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121 pages. Temps de lecture estimé 1h31min.
L'existence ne peut-elle pas être vue comme un voyage, dont le carnet se remplit peu à peu d'histoires vécues ? Les initiateurs de ce livre ont voulu, à travers des approches monographiques très variées, susciter une réflexion sur la manière dont on voyage, du XVIIIe siècle à nos jours, et dont on rend compte de cette expérience dans des écrits personnels qui ne sont pas destinés à la publication.Quels liens se tissent entre les personnes qui partent et leur pays natal ? En quoi l'âge, le genre, l'origine sociale, le métier, les conventions influent-ils sur le récit ? Quelle est la part des lacunes, des blancs et des silences dans ces correspondances et ces carnets de route ? De quelle perception de l'espace et des autres témoignent ces savants, ces artistes, ces explorateurs et ces touristes "ordinaires" ? Le journal de voyage est-il un miroir de soi autant qu'une documentation sur les contrées visitées ?Chaque voyageur, chaque voyageuse agit comme un révélateur des interrogations et des changements que vit son époque. Du tourisme d'élite au tourisme industriel, d'une mission scientifique dans l'Afrique coloniale aux pérégrinations de jeunes bourgeois en quête de plaisirs balnéaires sur la Côte d'Azur, à pied ou en voiture, en mer ou en haute montagne, de la Suisse aux confins du monde, le voyage a sa part d'aventures et de jouissances, de méditations sur la destinée parfois. Tous les témoignages étudiés ici démontrent, par le texte comme par l'image, que le voyage participe d'une expérience à la fois personnelle et collective.
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Parole et geste dans la tragédie grecque

Matteo Capponi

2h42min00

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216 pages. Temps de lecture estimé 2h42min.
Imaginez-vous à Athènes, vers 414 avant J.-C. Dans le théâtre de Dionysos sous l’Acropole. Gradins en bois, sol de terre battue, et pour seul décor un bâtiment rudimentaire, doté d’une grande porte. Au programme, Électre de Sophocle. La porte s’ouvre, Électre apparaît. C’est la fille de Clytemnestre et d’Agamemnon. Clytemnestre a assassiné Agamemnon à son retour de Troie, après dix ans de guerre. Elle règne aux côtés de son amant, Égisthe. Électre vient hurler sa peine devant le palais de Mycènes, face aux 12 000 spectateurs athéniens. Elle prend à témoin le jour qui se lève, rappelle le meurtre affreux de son père, invoque les déesses de la vengeance. Sophocle la représente ainsi, accablée par le deuil. Grâce à une tradition longue de 2 400 ans, nous connaissons les mots d’Électre prononcés ce jour-là : ceux de l’héroïne, ceux du poète, ceux de l’acteur derrière le masque. Nous avons le texte qui nous permet d’imaginer les gestes. Et de là les effets de scène, l’émotion des spectateurs, le spectacle vivant. Le présent ouvrage part à la recherche de ces gestes perdus. Entre les lignes des trois « Électre » d’Eschyle, Sophocle et Euripide, il décèle des gestes de différentes natures : jeu et danse du comédien ; actes de parole d’Électre qui prie, se lamente, jure, maudit ; figures stylistiques par lesquelles le poète donne corps au texte. Or ces différents « gestes » semblent se compléter, se répondre... Pour s’en assurer, il faut adopter une autre lecture : mobiliser, comme le public grec, l’ouïe et le regard.
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Romain Rolland - Oeuvres

Romain Rolland

1h15min54

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3050 pages. Temps de lecture estimé 1h16min.
Le Classcompilé n° 87 contient les oeuvres de Romain Rolland. Romain Rolland, né à Clamecy (Nièvre) le 29 janvier 1866 et mort à Vézelay le 30 décembre 1944, est un écrivain français, lauréat du prix Nobel de littérature de 1915. (Wikip.) CONTENU DE CE VOLUME : ROMANSJean-Christophe (1904-1912) : I L’aube (1904)• II Le matin (1904)• III L’adolescent (1905)• IV La révolte (1905)• V La foire sur la place (1908)• VI Antoinette (1908)• VII Dans la maison (1908)• VIII Les amies (1910)• IX Le buisson ardent (1911)• X La nouvelle journée (1912)Colas Breugnon (1919)L’Âme enchantée (1922-1933) : I : Annette et Sylvie (1922)• II : L’été (1924)• III : Mère et fils (1927)• IV : L’annonciatrice (1933)• Tome I La mort d’un monde• Tome II L’enfantementTHÉÂTRELe Théâtre de la Révolution : Le Quatorze Juillet (1902)• Les Loups (1898)• Danton (1899)• le temps viendra (1903)La Montespan (1904)ETUDES SUR LA MUSIQUE ET LE THEATREHistoire de l’opéra en Europe avant Lully et Scarlatti (1895)Le théatre du peuple (1903)Musiciens d’aujourd’hui (1908)Musiciens d’autrefois (1908)Voyage musical au pays du passé (1919)ECRITS SUR LA GUERREAu-dessus de la mêlée (1915)Les précurseurs (1919)Clérambault (1920)BIOGRAPHIESVie de Beethoven (1903)Vie de Michel-Ange (1907)Hændel (1910)Vie de Tolstoï (1911)
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Affiche du document La Mythologie comparée avec l’Histoire

La Mythologie comparée avec l’Histoire

Maurice-Elisabeth Lavergne de Tressan

3h40min30

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294 pages. Temps de lecture estimé 3h40min.
♦ Cet ebook bénéficie d’une mise en page esthétique optimisée pour la lecture numérique. ♦ VERSION INTÉGRALE TOME I ET II Cet ouvrage de référence est essentiel à la bonne compréhension de la mythologie grecque et romaine dans son ensemble. Une introduction très instructive sur l’idolâtrie à travers l’histoire des peuples débute le tome I. Il est ensuite constitué d’une description des différentes divinités classées par typologie : Ciel (Jupiter, Apollon, Venus,...), Eaux (Océan, Neptune, Protée, ...), Terre (Démogorgon, Pan, Midas, ...), Enfers (Pluton, Cérès, Proserpine, ...), divinités particulières (Comus, Esculape, ...). Le tome II est consacré aux Héros ou Demi-Dieux ainsi qu’à leurs fables et leurs aventures historiques. En conclusion, l’auteur aborde les religions des peuples du Nord (Odin, les Valkyries, Le Loup de Fenris, ...) en s’intéressant notamment aux pratiques druidiques. Ce livre, très complet tout en étant facile à lire, vous permettra de mieux aborder la mythologie ou l’histoire des Dieux, Demi-Dieux et Héros de l’antiquité païenne. EXTRAIT : « La vanité fut une des premières sources des fables. On ne trouva point la vérité assez surprenante, assez belle ; on la para d’ornements étrangers ; et l’on crut agrandir les héros en leur supposant des actions qu’ils n’avaient jamais faites. Peut-être même crut-on porter plus puissamment vers la vertu, en proposant de grands exemples imaginaires ; mais on se laissa tellement entraîner par le goût du merveilleux, que l’on finit par ôter aux hommes célèbres tout le mérite qu’ils pouvaient avoir. Par exemple, lorsque Persée tue Méduse, il la surprend pendant son sommeil ; s’il délivre Andromède, il a les ailes de Mercure. Achille est couvert d’armes invulnérables forgées par Vulcain. On alla jusqu’à prodiguer aux héros tous les attributs des dieux. C’est ainsi que la vanité et les autres passions humaines nous aveuglent, et par leurs excès dépassent le but qu’elles veulent atteindre. Avant que l’usage des lettres fut introduit, les grands événements et les belles actions n’avaient d’autres monuments que la mémoire des hommes, ou tout au plus quelques hiéroglyphes obscurs. La tradition conservait donc le souvenir des grandes actions ; mais l’expérience nous prouve combien il est rare de ne point mêler aux récits les plus simples des circonstances qui les embellissent. Lorsque, par la suite des temps, on a voulu écrire ces actions, on n’a plus trouvé que des traditions confuses ; et, en les consacrant dans les histoires, on a, en quelque sorte, éternisé les fables. La fausse éloquence et l’envie de louer les morts ont aussi produit des fables. Si l’on composait aujourd’hui l’histoire de la plupart des grands hommes d’après les seuls éloges de leurs panégyristes, on verrait souvent la fable l’emporter sur la vérité. Ces fables cependant étaient d’autant plus dangereuses dans les premiers temps, qu’elles s’unissaient presque toujours à des devoirs religieux ; de sorte qu’une fois admises elles devenaient sacrées, et l’on n’osait plus les combattre. »
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