Catalogue - page 1

Affiche du document Les Fiches du Cinéma

Les Fiches du Cinéma N°The Things you kill, paru le 10/07/2025

  • Cinema
Bimensuel
LES FICHES DU CINEMA est la plus ancienne revue de cinéma en France ! Elle traite sous forme de fiches tous les films à l'affiche. Chaque fiche présente le résumé intégral du scénario et un commentaire critique débattu au sein du comité de rédaction. Ce comité est volontairement hétérogène (les rédacteurs ont entre 20 et 80 ans !), afin de défendre tous les cinémas.
En marge des chapelles critiques, Les Fiches du Cinéma est édité par une association autonome et indépendante.Sommaire• L’Accident de piano de Quentin Dupieux Une star des réseaux sociaux subit le chantage d’une journaliste qui souhaite obtenir d’elle une interview exclusive. Le nouveau long métrage de Quentin Dupieux est sans conteste son plus lisible, hélas au détriment de la complexité de son cinéma.
• Les Amants astronautes (Los Amantes astronautas) de Marco Berger Deux amis, l’un homosexuel, l’autre hétérosexuel, testent leur désir réciproque durant un été. Les Amants astronautes ne décolle pas de discussions creuses tournant inlassablement autour de la taille de l’orbite, sans jamais lever les yeux vers les étoiles.
• Le Bonheur est une bête sauvage de Bertrand Guerry Inconsolable depuis la mort de son mari et de sa fille, Jeanne vit à l’écart du village. Son passe-temps : errer la nuit le long du littoral, déguisée en ours. Seul son neveu a gardé contact avec elle... Une comédie tendre et originale si on entre dans son univers.
• Jan-Ole Gerster Six ans après son précédent film, Lara Jenkins, Jan-Ole Gerster revient au cinéma avec un film à la croisée des genres. Quelque part entre le film néo-noir et le récit d’apprentissage, Islands raconte la fuite en avant de trois personnages. Sous le soleil ardent de Fuerteventura, ils vont tisser d’étranges liens qui vont bouleverser leurs trajectoires de vie... Rencontre avec le réalisateur et scénariste allemand.
• Jurassic World : Renaissance (Jurassic World : Rebirth) de Gareth Edwards Ce nouvel opus recycle paresseusement nombre de figures stylistiques de la saga Jurassic Park . Les rebondissements se succèdent méticuleusement et sans la magie du premier film. Les mouvements des dinosaures manquent même parfois de souplesse.
• Buffalo Kids (Buffalo Kids) de Pedro Solís García et Juan Jesús García Galocha Présenté à Annecy l’an passé, et joli succès en Espagne où il est sorti l’été dernier, Buffalo Kids revisite sans panache le mythe de l’Ouest américain à travers les aventures de trois enfants orphelins. Mignon mais sans intérêt.
• Valensole 1965 de Dominique Filhol Si la réalisation et l’interprétation des acteurs principaux aident à l’apprécier, le film, trop concentré sur sa greffe entre Marcel Pagnol et Rencontres du troisième type , peine à trouver sa propre voix malgré un sujet qui ne manquait pas de potentiel.
• Les Filles désir de Prïncia Car À Marseille, écrasée de soleil, une bande de garçons voit ses certitudes vaciller face au retour d’une figure féminine libre et troublante. Chronique d’un été, Les Filles désir capte l’énergie d’un groupe, sans parvenir à en canaliser le récit.
• Super Happy Forever (Super Happy Forever) de Kohei Igarashi C’est à travers de toutes petites choses, comme une casquette rouge, que Super Happy Forever , minimal et maximal à la fois, tente de traiter de grands sujets, existentiels et sociaux. Si le résultat n’est pas sans charme, il sonne parfois un peu faux.
• Dangerous Animals (Dangerous Animals) de Sean Byrne Avec Dangerous Animals , Sean Byrne se positionne comme l’héritier subversif de Steven Spielberg et William Friedkin. Le cinéaste australien livre un thriller d’horreur aquatique à la fois brutal, ironique et profondément sensoriel.
Accès libre
Affiche du document La Revue Dessinée

La Revue Dessinée N°Aide sociale à l’enfance, paru le 04/06/2025

  • Cinema
Trimestriel
LA REVUE DESSINEE est un magazine de reportages, enquêtes, documentaires et chroniques en bande dessinée.Sommaire• Sève qui peut Planter pour ne rien changer : telle pourrait être la devise des pétroliers, compagnies aériennes et autres gros pollueurs qui financent des projets de reforestation en espérant compenser leurs affolantes émissions de CO2. Même le climatosceptique Donald Trump avait signé en 2020 le plan « Mille milliards d’arbres » du Forum économique mondial. De quoi ulcérer Greenpeace qui, dans un rapport, s’indignait de ce « treewashing ». Car si l’arbre est bel et bien un acteur clé des écosystèmes, recréer des forêts vertueuses ne peut s’inscrire que dans le temps long. Et peut-être faut-il pour cela laisser faire la nature…
• Lost Highway de David Lynch Le titre est emprunté à l’écrivain Barry Gifford, le scénario n’est arrivé qu’après. Une œuvre jugée tantôt incohérente, tantôt envoûtante, comme souvent avec ce réalisateur hors normes, disparu début 2025.
• Le jet de Bernard Accro aux avions privés, l’homme le plus riche de France est pisté depuis 2022 par deux curieux qui enquêtent à partir de données publiques, suivis par des milliers d’internautes. Si on ne peut plus polluer tranquille...
• Le poignard d’Algérie Jean-Marie Le Pen
• Pigeons Depuis 2024, une statue du volatile, haute de cinq mètres, toise les passants et les véhicules d’une rue de New York. Un hommage de l’artiste Iván Argote en forme de revanche pour ce mal-aimé des villes.
• Aide sociale à l’enfance À bout de souffle
• Hockey subaquatique En 1954, des plongeurs en mer anglais inventaient l’octopush pour passer le temps au fond de la piscine durant l’hiver. Un sport sous-marin collectif était né, revisité à Chicago quelques années plus tard.
• Armée Absents à l'appel
• Précarité alimentaire En 1985, Coluche lançait sur Europe 1 l’idée d’une cantine alimentée par des dons pour servir gratuitement 2 000 repas par jour aux plus démunis : les Restos du cœur étaient nés. Pensée comme une initiative provisoire, l’association a ouvert fin 2024 sa quarantième campagne. La précarité alimentaire explose et les distributions de nourriture, tout en palliant l’urgence, contribuent paradoxalement au statu quo. Partout en France, des collectifs d’habitants cherchent des alternatives pour rendre effectif le droit à l’alimentation.
Accès libre
Affiche du document Apaches

Apaches N°Apaches n°7, paru le 20/05/2025

  • Cinema
Semestriel
APACHES aborde le travail de nombreux cinéastes.
L’actualité cinématographique est également traitée et chaque numéro accueille un long entretien.Sommaire• Un devoir de lyrisme À propos de Chaises manquantes de Léo Richard
• Godard chez Monet
• Tango de poussière Au cours de l’hiver 2024-2025, le milieu de la critique a été agité par une polémique au sujet de la programmation puis de l’annulation du Dernier Tango à Paris (1972) de Bernardo Bertolucci à la Cinémathèque française.
• Nawadi Quand les ciné-clubs font leur critique
• Un dieu noir un diable blond Fantôme de la guerre d’Algérie
• Ulus Baker Ou la question de la blessure avec laquelle nous sommes nés
• Les oracles en redemandent Notes sur Adolpho Arrietta et l’inspiration
• Les chiens pensent que les hommes sont des chiens Comme on observe un manège de loin, avec ses chevaux qui montent et descendent, sa lente rotation et sa musique recouverte par les cris d’enfants, Le Moineau dans la cheminée débute sa ronde devant nos yeux. À une certaine distance donc, caméra à hauteur de berge et un îlot dans le fond du plan. La lumière est éclatante et l’eau scintille, c’est un paysage laissé au calme de sa vie propre. Toutefois, et comme souvent dans les films des Zürcher, cette distance inaugurale instille un certain malaise, une étrangeté au sein du plan que viennent appuyer – à mesure que l’on distingue un peu mieux ce qui vit sur l’îlot – les quelques grands oiseaux noirs perchés et criants à la cime de deux arbres morts. Image lugubre, d’un mauvais présage qui, dès lors, suivra le film et ses personnages jusqu’à la fin. Une coupe et l’on se retrouve aux abords d’une maison de campagne, le même jour ensoleillé, un grand repas en préparation.
Accès libre
Affiche du document Bref

Bref N°Jouer le jeu, paru le 28/01/2025

  • Cinema
Annuel
BREF ne cesse d’arpenter depuis 30 ans les sentiers foisonnants du court métrage, proposant un ample défrichage de ce format si créatif et à la constante vitalité.
Sa prolifique production, en marge du circuit commercial, est pleinement liée à l’avenir du cinéma dans son ensemble ; des cinéastes tels que François Ozon, les frères Larrieu, Stéphane Brizé, Houda Benyamina, Guillaume Brac, Justine Triet, Hubert Charuel ou Clément Cogitore, parmi tant d’autres, sont passés par le court et Bref en a parlé avant tout le monde !

Bref est une revue éditée depuis 1989 par l'Agence du court métrageSommaire• Sara Ganem Rouler pour renaître
• Elena López Riera Identités complexes
• Aude Thuries Faire feu de tout bois
• Laura Tuillier La captive aux yeux clairs
• Wes Anderson Le cinéma français n’a pas le monopole des pages de Bref ! Et lorsque le plus francophile des cinéastes américains contemporains – qui est du reste désormais installé à Paris – s’apprête à être fêté par la Cinémathèque française – au printemps 2025 –, le désir de revenir sur son œuvre courte était évidemment tentant. Ses derniers longs se travestissent, de manière plus ou moins explicite, en films à sketches et des formats plus « ramassés » permettent au cinéaste de recentrer ses récits, qui en deviennent irrésistibles. Wes Anderson n’a peut-être jamais été un conteur aussi précis, moderne et percutant que sur une durée réduite.
• Les chants de Sarah Maldoror Après Yannick Bellon l’année dernière, nous nous réjouissons de mettre à nouveau en lumière l’œuvre d’une réalisatrice largement et injustement demeurée dans l’ombre. Disparue en 2020, Sarah Maldoror sera à l’honneur au Centre Pompidou, notamment, au printemps 2025. Un juste retour des choses pour cette «précurseuse» engagée et humaniste, obstinée et irrévérencieuse, qui constitue une référence majeure pour nombre de jeunes femmes cinéastes issues de la diversité.
• Lucie Borleteau Après trois longs métrages se démarquant par leur éclectisme (Fidelio, l’odyssée d’Alice, Chanson douce et À mon seul désir), et deux incursions dans la série télévisée (Cannabis, Nudes), Lucie Borleteau est revenue au format court avec une proposition synonyme d’épanouissement. 1996 ou les malheurs de Solveig apparaît en effet comme une étape rafraîchissante dans son parcours bigarré et riche. C’était le moment rêvé pour l’écouter parler de ses deux décennies de cinéma. Entre franchise, drôlerie et amour du travail collectif.
• La Grèce en forme olympique Cinéma du monde
• Alice Douard En une poignée de courts métrages, Alice Douard a dessiné les contours harmonieux d’une filmographie sensible et discrètement transgressive. Chez elle, le politique est dans l’intime et ses images épurées déplacent les stéréotypes avec une émouvante finesse. Dans ses films, on croise des femmes et des filles en lutte contre l’autorité d’un fantasme, contre un ballon ou contre les injonctions faites au genre féminin. Avec Des preuves d’amour, son premier long métrage (sortie prévue en 2025) la réalisatrice reprend la thématique de son film court L’attente, dans lequel un couple de femmes est sur le point de voir naître son enfant, pour ausculter,cette fois-ci, les prémisses et les effets de la co-maternité.
• Les 10 ans de la CinéFabrique Fondée à Lyon en 2015, la CinéFabrique – École nationale supérieure de cinéma a, depuis, su trouver sa place, gagner en importance et déjà révéler des personnalités de cinéastes aussi remarqué(e)s que remarquables. Petit tour d’horizon, au fil d’entretiens, de portraits et de la critique d’un récent film phare.
• Des deux côtés de la caméra Depuis plusieurs années, une tendance s’observe dans les festivals de courts métrages, montrant à l’œuvre des cinéastes jouant dans leurs propres films. Après avoir évoqué longuement, dans Bref 128 (2023), le cinéma de Martin Jauvat, passé depuis au long métrage, nous avons désiré en réunir quatre au Ciné 104 de Pantin, ce lieu emblématique où ils et elles ont présenté leurs films au Festival Côté court, pour une conversation évoquant les raisons, les problématiques et les enjeux de cette double activité dans des œuvres naissantes.
Accès libre
Affiche du document Blink Blank

Blink Blank N°Ailleurs, paru le 07/01/2025

  • Cinema
Semestriel
BLINK BLANK est une revue dédiée à l'art de l'animation dans toute sa diversité et créativité.
Une revue semestrielle de référence écrite par des spécialistes et par les artistes eux-mêmes faisant la part belle aux entretiens, aux articles de fond, aux critiques et aux illustrations. Chaque numéro propose un dossier thématique, des entretiens inédits, des points de vue critiques sur l’actualité, une incursion dans les coulisses de la création, un éclairage historique sur un artiste ou un studio.Sommaire• Regina Pessoa En une poignée de courts métrages gravés à même le noir comme autant d’immersions dans un imagi- naire tourmenté de réminiscences, Regina Pessoa s’est imposée comme une figure majeure du cinéma d’animation. Elle était à Annecy alors que son pays, le Portugal, était mis à l’honneur. Belle occasion pour une rencontre.
• Ailleurs Suggéré en partie par l’actualité présente et à venir (Sauvages, Slocum et moi, Flow, Angelo dans la forêt mysté- rieuse...) le motif de l’ailleurs offre l’occasion de ques- tionner les aspirations à d’autres rivages, au désir de voyage dans une dimension géographique mais aussi initiatique. Comment rêver d’ailleurs à l’heure de la mondialisation? Que reste-t-il de «l’exotisme», de l’inconnu?
• Films et séries L’actualité de l’animation s’affiche en primeur dans des festivals comme Cannes et surtout Annecy. Nous y avons puisé l’essentiel de la sélection proposée ici de courts, de longs métrages et d’une série américaine dont on pressent qu’elle recueillera un grand succès. 65
• Passé présent Figure de proue d’un genre du cinéma japonais, le kai-ju eiga, Godzilla fête en 2024 ses soixante-dix ans. Les menaces que ces monstres géants font peser sur notre monde, font écho à nos peurs du moment, de la terreur atomique au dérèglement climatique. Leurs apparences reflètent aussi les avancées des techniques d’animation dans lesquelles se brouillent chaque jour un peu plus les frontières entre « prise de vues réelles » et animation.
• Voix off Des personnalités livrent ici témoignages et réflexions à propos du cinéma d’animation ou de certains films.
Accès libre

...

x Cacher la playlist

Commandes > x
     

Aucune piste en cours de lecture

 

 

--|--
--|--
Activer/Désactiver le son