Documents pour «Siggi»

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Siggi N°La sociabilité, paru le 15/04/2025

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Trimestriel
SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• En quête d’amusement : le Spaß Dans ce petit exercice théorique, ­ Rainer met de l’avant sa version du ­ feuilleton socio­ logique : théorique, apho­ ristique, compact. Son thème ? Le Spaß, mot allemand qui peut être traduit par amusement, ­ divertissement ou plaisir. « Qu’est- ce que le Spaß ou ­ comment ­ fonctionne-t-il ? » Voilà la question à ­ laquelle le sociologue tente de répondre.
• Superstars de la sociabilité La sociologue devenue coiffeuse et autrice de la « Chronique d’une apprentie coiffeuse » signe l’essai du présent ­ numéro et, par le fait même, la conclusion de sa rubrique. Après avoir ­ travaillé comme coiffeuse dans des salons de coiffure et salons de ­ barbier d’une ville est-allemande, elle a publié Die ­ Abenteuer einer ­ linkshändigen ­ Friseurin [Les aventures d’une coiffeuse ­ gauchère, überland, ­ Leipzig, 2024]. Dans cet essai, elle décerne de petites mentions de la sociabilité et des distinctions ­ socio l­ ogiques aux coiffeuses et barbiers qu’elle a côtoyés, mais aussi à ses clientes et clients. Ce ­ faisant, elle révèle les secrets de ces lieux de ­ s­ ociabilité.
• Sociabilité réussie, deux exemples Notre auteur aime pratiquer la sociologie, mais peut-être encore plus la cuisine. La lecture de Simmel l’a amené à réinterpréter deux moments qu’il a récemment vécus. Dans les deux cas, des participant∙e∙s ont cuisiné et mangé, mais la question la plus intéressante était de savoir ce qu’ils et elles voulaient ou devaient savoir des autres.
• Parler de missiles comme d Daniel est journaliste, basé à Berlin. Il s’est maintes fois rendu à Mykolaïvka, une petite ville du Donbass, dans l’est de l’Ukraine, où la guerre fait rage. Lors de ses visites, une question le taraudait : de quoi les habitant∙e∙s s’entretiennent-ils à 20 kilomètres du front ? Il a prêté attention à leurs conversations et à l’atmosphère sonore générale.
• Le prix de la cordialité Jean est historien à l’Université Johns- Hopkins et à l’École des hautes études en sciences ­ sociales. Il a ­ passé la ­ dernière année ­ universitaire en ­ Allemagne. Cette expérience lui a constamment rappelé son âge, sa ­ nationalité française et les
• Damien Boquet
• Le café Sociologue, Sara Teinturier développe en parallèle de son métier une pratique photographique documentaire centrée sur le quo- tidien et l’ordinaire. De Montréal à Paris, du Nord canadien à Barcelone et à Gaza où ses activités professionnelles l’ont menée, le café comme lieu transcende sa fonction première de débit de boisson.
• Le bavardage des fonctionnaires Linguiste et avocat, Ben est à la fois fonctionnaire et observateur critique de la fonction publique. Dans la pré- sente chronique, il aborde un aspect du ­ retour partiel au bureau des fonctionnaires ­ fédéraux après la pandémie, et compare leur sociabilité à celle des universitaires.
• Arlie Russell Hochschild Trump, président de la honte
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Siggi N°L’attente, paru le 01/03/2021

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Les pionnières perpétuelles Fin novembre, je parcours mon fil de nouvelles en buvant un café. Un billet intitulé « Mesdames, à vos outils! » attire mon attention. Je sais bien que les articles sur les travailleuses de l’industrie sont, à l’image des femmes sur les chantiers, plutôt rares.
• Chaises en plastique Je regarde pour la énième fois l’écran de mon cellulaire, ques- tion de voir si j’ai reçu un message, une notification, un courriel, n’importe quoi qui puisse me faire sortir de cet ennui. J’ai déjà effacé les fichiers qui prenaient de la place, relu trois fois mon horoscope du jour et même ouvert les messages qualifiés de « spam ».
• Attendre une idée Courageuse Italienne, Chiara endure les hivers canadiens depuis plus d’une décennie. Graphomane, lectrice omni- vore, musicienne, enseignante universitaire et entraîneuse personnelle certifiée, elle est présentement à la recherche de sa prochaine passion.
• Ralentir la mode Chronique d'une apprentie coiffeuse
• Ouvrir des portes : les photographies comme moments épisodiques Essai photographique
• Olivier Riopel Les métiers de la sociologie
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Siggi N°Les gens, paru le 01/09/2021

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Des gens et des paysages intéressants Eric Pawlitzky est photographe. Il habite Berlin. En 1981, il a parcouru 312 km à pied, traversant ce qui était alors la République démocratique allemande. En 2020, il a refait le même trajet, cette fois accompagné pendant une partie du trajet de la sociologue Teresa Wasser.
• Le passager dans le train Les médias le racontent ainsi : le 5 août, autour de 19 heures, Lautaro, 22 ans, portait un vêtement de sport et se déplaçait dans le train Roca depuis Longchamps, dans la province de Buenos Aires, pour se rendre au travail. À hauteur de la gare d’Adrogué, une femme accompagnée d’une fillette d’environ 10 ans monte dans le train. La fillette occupe le siège vide à côté de Lautaro, sans percevoir l’inconfort de sa mère. Celle-ci, prenant la fillette par la main, la tire vers elle en lui reprochant au même moment : « Comment vas-tu t’asseoir à côté d’un villero ? »
• La fin du sens commun ? Où donc ai-je vu les gens, dernièrement ? Comme toujours, la réponse est : dans les lieux de contestation liés à la pandémie. Là, on pouvait bien les observer, ou autrement dit : on était assurément confronté·e·s à eux. On en a beaucoup parlé.
• Esthétique de la décomposition des “gens ” Essai long
• La concrétude des gens Je repense souvent au bénévolat que j’ai fait à la Maison solidaire1 , un organisme communautaire d’un quartier central de l’île de Montréal, le temps de quelques mois en 2016. J’avais déjà mis les pieds, sans en avoir conscience à l’époque, dans le monde de la précarité et de la pauvreté, de l’insécurité et du dépannage alimentaires. Il s’agit d’un univers où une diversité de trajectoires de vie viennent à converger : personnes retraitées avec un fonds de pension trop maigre; ex-professionnel·le·s malades et autres naufragé·e·s du monde du travail faisant pour la première fois l’expérience de la précarité; personnes nouvellement immigrées soucieuses d’acquérir de l’expérience de travail à travers l’implication bénévole; bénéficiaires de l’aide sociale avec des problèmes de santé divers; sans oublier les responsables des organismes, qui font souvent tant avec si peu de ressources.
• L’histoire a-t-elle uniquement comme objet les gens ? Siggi a la chance de pouvoir compter sur Emilia Jamroziak, professeure d’histoire religieuse du Moyen Âge à l’Université de Leeds en Angleterre, pour nous offrir une petite réflexion à sa- veur historique sur chacune de nos thématiques. Dans ce numéro, elle s’interroge sur la possibilité, à l’ère de l’anthropocène, d’une his- toire décentrée des gens.
• Muriel Darmon La sociologie en terrain inconnu
• La nationalité des animaux de compagnie Anecdote de Sociologue fasciné par le nationalisme vécu, Dave se penche depuis plusieurs années sur les multiples manifestations de ce phénomène au Québec et en Belgique. Il examine notamment les pratiques de marchandisation par l’entremise d’artefacts nationaux et des lieux de mémoire.
• Chanel Boucher L’intellectuelle dans le potager
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Siggi N°Le style, paru le 01/03/2022

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• L’intime marchandise de l’artiste commercial Artiste reconnu tant au Québec qu’à l’international, Julien est un ami de longue date de Siggi. Il a illustré les essais longs des deux premiers numéros, ainsi que la couverture de la parution sur l’attente. Pour ce dossier sur le style, il fait le saut du côté des auteur·rice·s et nous offre un point de vue de l’intérieur sur cette thématique.
• Le style de vie de la restauration L’auteur travaillait auparavant dans les bars et les restaurants. Il n’a jamais vraiment quitté ce milieu, car il a passé les deux dernières années à l’étudier d’un point de vue sociologique. Accompagné de son collègue et ami photographe, il est allé faire un tour dans le bar qui l’employait jadis.
• Meubles d’aujourd’hui (Re)découvrir un classique
• En flânant chez Ikea avec Walter Benjamin À moins d’un mois d’intervalle, l’auteur est devenu père, puis professeur de sociologie. Ni dans l’un ni dans l’autre domaine, il n’avait reçu de formation. Depuis, il tente comme faire se peut de ménager la chèvre et le chou. Quand la vie lui laisse du temps pour la recherche, il essaie de répondre à la trompeusement simple question : qu’est-ce que l’argent ?
• Entretien à pied avec Guillaume Sirois Leçon en 10 minutes
• Le style du passé et la présente quête de sens En tant que médiéviste...
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Siggi N°Les fantômes, paru le 01/09/2022

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Le fantôme des montagnes Katarzyna (Kasia) est artiste visuelle et chercheuse. Née en Pologne, elle vit à présent à Londres. Son art met à profit différents médias : la sculpture, la photographie, la performance, le dessin et l’ins- tallation vidéo. Il porte sur les expériences banales du quotidien et explore les angoisses liées aux attentes sociales, à la féminité ou à la peur de l’échec. La photographie que l’on retrouve en couverture de ce numéro est issue d’un projet qu’elle nous présente ici.
• Nos renards intérieurs Essai
• Lviv, non-lieu Natalia est architecte, chercheuse et photographe. Elle habite Lviv, dans l’ouest de l’Ukraine. Dans le contexte de la guerre, sa ville est devenue un important point de transit pour les réfugié·e·s et l’aide humanitaire dans le pays. Elle combine ici l’expérience des derniers mois avec l’étude de photos prises en 2017, avant la guerre, à partir de fenêtres de bâtiments résiden- tiels en périphérie de la ville et des entretiens qu’elle a menés avec leurs habitant·e·s.
• Sœur Paulette et les variations de gris Une soirée de décembre 2021. J’accompagnais des collègues lors d’un dernier verre pour clore notre party de Noël. Un moment banal de la vie d’un·e employé·e. « On va où ? Aux Sœurs Grises ? » Le nom de la microbrasserie montréalaise a d’un coup fait ressurgir un souvenir : la chercheuse que j’étais autrefois et l’enquête de terrain que j’ai menée au pavillon des sœurs grises de l’Université Concordia à Montréal.
• La pensée simple extrême Georg est sociologue et depuis quelques mois lecteur de Rubikon, un magazine d’adeptes du complot. S’il souligne que personne n’a à le plaindre de cette lecture « amusante », il précise aussi qu’il est ici question de quelque chose de sérieux : du danger inhérent à ce qu’il appelle la pensée simple extrême.
• Lutte pour un appartement Siggi est ancré dans le présent, mais connaît également la période classique de la sociologie, du feuilleton et du re- portage. C’est pourquoi il se permet de traduire des textes, comme celui-ci de Gabriele Tergit originalement publié en 19281. Gabriele Tergit (1894-1982) était romancière et, jusqu’en 1933, journaliste à la Berliner Tageblatt, un grand quotidien allemand aujourd’hui disparu. Elle y a écrit de nombreux comptes rendus de procès, dont « Lutte pour un appartement » qui offre une illustration de ce que Georg Vobruba appelle, dans l’article précédent, la pensée simple extrême. Très vite, on comprend que les théories du complot ne datent pas de la pandémie de COVID-19.
• Julien Voyer Le tigre de Sibérie et l’homo sapiens de ville
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Siggi N°Le dégoût, paru le 01/03/2024

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Pour une sociologie coprographique Montréal
• Sociologie du dégoût Los Angeles
• Confrontation avec moi-même J’aime les animaux. Tous les animaux. Parce que je m’efforce de ne pas être spéciste, c’est-à-dire accorder une préférence aux animaux « mignons » plus qu’à ceux qui nous paraissent dégoûtants, conférer un plus grand droit à l’existence à un bébé raton laveur qu’à un rat ou aux espèces que l’on consi- dère en général comme des enquiquineurs : moustiques, guêpes ou punaises de lit.
• La vie secrète des boiseries
• Les usages politiques de dégoûtant
• La nostalgie, l’histoire et la photographie Le concept de nostalgie me vient souvent à l’esprit lorsque je pense au passé. La nostalgie peut influ­ encer la façon dont l’historien·ne aborde les sources historiques et sa compréhen- sion de ce que celles-ci révèlent. Les documents historiques représentent-ils littéralement le passé ou devons-nous être plus critiques, voire faire preuve d’imagination, dans la manière dont nous manipulons les sources ? Lorsque je pense à la nostalgie et à comment elle peut affecter ma capacité à répondre aux ques- tions historiques, je me rappelle la définition de la nostalgie don- née par la théoricienne culturelle Svetlana Boym, qui la définit ainsi : « le désir ardent de retrouver un foyer qui n’existe plus ou qui n’a jamais existé ».
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Siggi N°Les rêves, paru le 01/09/2023

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SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Les rêves Dossier
• Les rêves de ­ Cédric Dans cette rubrique inspirée des courriers du cœur, le sociologue des relations amoureuses se penche sur des situations délicates de la vie ­ intime des jeunes. Mais attention, nul conseil n’est ici ­ prodigué ; il s’agit plutôt de comprendre les ­ modalités de l’amour contemporain. Dans la présente ­ chronique, Jules tente d’interpréter les rêves d’un de ses ­ enquêtés en s’inspirant de la méthode tracée par Bernard ­ Lahire.
• L’engouement pour les rêves lucides Anna est historienne. Elle étudie la parapsychologie allemande et la culture populaire. Depuis qu’elle s’intéresse aux rêves lucides, elle s’efforce de se rappeler dans ses rêves qu’elle est en train de rêver. C’est épuisant.
• Thomas Kemple Le pari de Marx
• Petits châteaux en Espagne Siggi est ancré dans le présent, mais connaît également la période classique de la sociologie, du feuilleton et du reportage. C’est pourquoi il se permet de rééditer et de traduire des textes. Originalement paru en 1932, cet article de Siegfried Kracauer, le journaliste, sociologue et critique de cinéma ayant inspiré la démarche du magazine, se penche sur les maigres rêves de la population berlinoise en période de crise économique1. Quand on fait référence à un projet caressé, mais peu réaliste, on dit parfois que l’on « bâtit des châteaux en Espagne ». C’est là la traduction de Luftschlößchen, mot à mot : de petits châteaux d’air.
• Céline Lafontaine Le rêve de la maîtrise du vivant
• Alice Boisvert « La réponse se trouve toujours quelque part dans mes cours de sociologie »
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Siggi N°L’amour, paru le 01/10/2024

  • Presse professionnelle
Trimestriel
SIGGI est le seul magazine de sociologie grand public dans toute la francophonie.
On y trouve des textes courts, accrocheurs et ancrés dans la vie quotidienne. Le visuel est soigné et élégant, avec de nombreuses illustrations et photographies.Sommaire• Rencontrer son crush à deux mètres de distance Sociologue du genre et de la ­ sexu­ alité, Lisa Wade est notamment connue pour ­ American Hookup (W. W. ­ Norton, 2017), livre qui est apparu sur la liste des bestsellers du New York Times. Elle y décortiquait la culture du sexe sur les ­ campus états­ uniens, tâche qu’elle n’a ­ j­ amais ­ cessé d’accomplir depuis.
• Le flirt comme forme d’interaction Théoricien interactionniste, Iddo ­ Tavory a réuni ses notes de terrain prises dans des bars, des cafés et d’autres lieux publics dans lesquels de jeunes gens flirtent 1 . Il est ­ ainsi parvenu à ­ tracer les contours du flirt, une forme ­ d’interaction spécifique qui ­ repose sur ­ l’ambiguïté.
• Amoureux, un peu Chronique d'une apprentie coiffeuse
• Ce qu’on se dit lorsqu’on se laisse Linguiste, Julie est autrice du livre Le ­ langage de l’amour : de la rencontre à la ­ rupture, comment les mots révèlent nos sentiments (Grasset, 2022). Elle se penche ici sur le déliement du dialogue amoureux lors de la rupture, mais aussi sur la possibilité de le renouer après la séparation.
• Quand l’amour passe au second plan Christophe est sociologue. Il a mené une grande enquête en France auprès d’une centaine de ­ personnes de 50 ans et plus qui ont ­ retrouvé un·e partenaire intime après une rupture d’union (divorce, séparation, ­ veuvage). Dans le présent texte, il revient plus précisément sur l’expérience des femmes ­ hétérosexuelles.
• William M. Reddy « Le désir sexuel est une invention occidentale »
• Les amours médiévales Siggi a la chance de collaborer avec ­ Emilia Jamroziak, professeure d’histoire religieuse du Moyen Âge à l’Université de Leeds, en Angleterre. Elle nous offre une réflexion à saveur ­ historique sur chacune de nos thématiques. Dans ce numéro, elle nous donne un aperçu de la multiplicité des ­ significations de « l’amour » au ­ Moyen Âge.
• La sociologie tue-t-elle la magie de l’amour ? Chiara est sociologue et dirige la toute nouvelle chaire de recherche pour l’ étude des relations intimes, conjugales et amoureuses (ERICA). Elle tente de donner une place à la sociologie dans un ­ domaine où la psychologie semble ­ ré gner. Après avoir mené une des plus grandes ­ enquêtes statistiques sur l’intimité jamais réalisées au Canada, elle poursuit ­ actuellement une recherche de terrain afin de cartographier les idéaux amoureux ­ contemporains.
• Czesia et les élections Dans une langue simple, ce texte de 2019, rédigé sous un pseudonyme, évoque le cas d’une femme d’une ville de province fictive, Lenowo1. Il illustre comment un ­ parti populiste est parvenu à gagner et conserver un électorat parmi les habitant·e·s de régions dépeuplées de Pologne. En quelques mots, l’autrice parvient à traiter de l’isolement, de la peur et du désir de reconnaissance de la population âgée de ces régions.
• Des leaders jusqu’en bas Chronique d'un fonctionnaire sardonique
• Piroska Nagy L'histoire des émotions ou le goût de l'aventure
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