Catalogue - page 2

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La pédagogie inversée

04min13

  • Éducation
La pédagogie inversée, ça vous tente ?
Iannis
Aliferis est physicien, Maître de Conférences à l'Université Nice
Sophia Antipolis. Il enseigne l'électromagnétisme, les
télécommunications, l'électronique, et les phénomènes stochastiques à
Polytech'Nice Sophia, et mène parallèlement des recherches sur la
diffraction directe et inverse en électromagnétisme, l'imagerie
micro-onde, le retournement temporel, et les méthodes numériques
appliquées à l'électromagnétisme au LEAT (Laboratoire d'Électronique, Antennes et Télécommunications, UMR CNRS 7248).

Mais Iannis Aliferis est surtout l'un des pédagogues les plus
innovants de l'Université de Nice, qui sait utiliser les moyens numériques
et techniques mis à sa disposition pour réinventer son enseignement (PACTIVANS). Il
construit ses séances d'enseignement comme des ateliers, s'appuyant, en
amont sur l'attractivité de vidéos synthétiques qu'il enregistre dans
les studios de l'Université Nice Sophia Antipolis, durant les séances,
sur l'interactivité avec les étudiants qui, seuls ou en groupe, peuvent
répondre à ses questions grâce à des clickers d'utilisation très simple,
et en aval sur une veille électronique qui offre à ses étudiants
l'opportunité d'échanges et de débats supplémentaires. L'amphithéâtre de
Iannis à Polytech redevient alors ce que les amphithéâtres n'auraient
jamais dû cesser d'être : un lieu où se construit le savoir par le
dialogue, le discours, l'émulation.
Le film ci-dessus a été préparé et
monté par Estelle Coll et David Fernandez, membres de l'équipe du
service des pédagogies innovantes.

Lire aussi l'interview de Iannis Aliferis sur le site de l'UNS.
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Affiche du document Apprendre à l’université à l’heure du numérique 1/14 - Ouverture de la journée avec Danielle Tartakowsky, Présidente de l’université

Apprendre à l’université à l’heure du numérique 1/14 - Ouverture de la journée avec Danielle Tartakowsky, Présidente de l’université

07min16

  • Éducation
Enregistrement vidéo des intervenants à la conférence intitulée « Apprendre à l’université à l’heure du numérique », qui a eu lieu le 22 mai 2013 à l'Université Paris 8. 

La journée d’étude fait le point sur l’évolution des pratiques liées aux usages du numérique dans l’Enseignement Supérieur et ouvre des perspectives pour l’avenir. Elle permet de discuter de l’intérêt et des limites du numérique spécifiquement à l’université Paris 8 en termes d’usage, à la fois pour les enseignants et les étudiants. A partir d’exemples concrets d’expériences intégrant le numérique dans les pratiques universitaires, cette journée d’étude se veut un lieu d’échanges et de débats réunissant « technophiles » et « technophobes » de façon à éclairer la compréhension des enjeux de l’université du 21e siècle, des compétences auxquelles elle prépare les étudiants, des publics étudiants en évolution et des rôles de l’enseignant en transformation. 

Centrée sur la question des pratiques pédagogiques pour l’université de demain plutôt que sur celle des outils technologiques à disposition et sur la dimension instrumentale liée au numérique, la journée d’étude cherche à identifier, redéfinir, améliorer ou valoriser les pratiques existantes articulant pédagogie et numérique, sous toutes ces formes, et à mieux comprendre les conditions favorisant l’intégration du numérique dans la pédagogie universitaire : pour quel public ? Pour quels objets d’apprentissage  ? À quelles conditions ? 

Sont ainsi discutés les modèles traditionnels d’enseignement-apprentissage à l’université et la question de la transmission des savoirs à l’heure de l’apprentissage en réseau, voire en communauté. Le numérique permet-il la mise en œuvre de nouveaux modèles éducatifs pour une plus grande égalité des chances, en transformant le modèle d’action de l’étudiant qui se forme de plus en plus en collaborant ? Quelles réponses apporter à l’injonction de se former tout au long de la vie ? Quelle place pour la créativité ? Le rôle de l’enseignant se révélant plus déterminant encore qu’il ne l’était auparavant, quelles solutions pour accompagner voire valoriser le rôle de l’enseignant devant les transformations sociétales liées au numérique ?
Ouverture de la journée avec Danielle Tartakowsky, Présidente de l’université
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Affiche du document Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement

Les modes d'apprentissage : anciens et nouveaux médias de l'enseignement

Pierre CASPAR

1h16min40

  • Éducation
De tout temps les modes et les conditions d'accès au savoir ont constitué un enjeu majeur pour le développement des personnes et des groupes sociaux. Ainsi, les " lieux de savoir " (temples, monastères, universités, musées…) ont-ils joué des fonctions centrales pour la création, la conservation, la protection, et la transmission des savoirs. Ces fonctions se trouvent profondément bouleversées aujourd'hui par l'entrée dans ce que l'on appelle désormais une " société de la connaissance ".
Le développement des réseaux dont, bien sûr, Internet, l'apparition de formes de mondialisation, de mutualisation mais aussi de commercialisation des savoirs, la dématérialisation des économies et le développement quasi-exponentiel des investissements immatériels rendent les processus d'actualisation ou de renouvellement des compétences plus indispensables que jamais. Ils obligent aussi à les intégrer dans des architectures éducatives, plus proches de l'acte de travail et de la vie quotidienne, mais beaucoup plus complexes que dans les années 1980.
L'Union Européenne a dans cet esprit mis en exergue le concept de " formation tout au long de la vie ". C'est dans ce cadre que se dessinent aujourd'hui les nouveaux territoires de la formation des adultes, dont l'évolution dépasse de loin la simple appropriation des médias offerts par les technologies de traitement de l'information et de télécommunication. Les "métiers du savoir" et les activités de celles et ceux qui s'y engagent, ou qui y font appel, s'en trouvent considérablement bouleversés en retour.
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Affiche du document Travailler avec le numérique dans l’enseignement et la recherche - Utiliser Huma-Num en SHS

Travailler avec le numérique dans l’enseignement et la recherche - Utiliser Huma-Num en SHS

1h47min47

  • Éducation
Les technologies et les identifiants ouverts, avec les métadonnées numériques forment aujourd’hui la clé de voute d’un système qui favorise la circulation de la production scientifique contre les plateformes et les formats propriétaires. Les chercheur.e.s, alors qu’ils utilisent une large palette d’outils informatiques en méconnaissent bien souvent les enjeux et les services qu’ils permettent : diffusion, collecte, réutilisation, conservation, dépôts sur des plateformes (HAL, réservoirs de données), recensions… Comment les sensibiliser ? Comment les orienter vers les technologies favorisant l’intéropérabilité ? Comment les amener à comprendre que ces outils leurs rendent des services et permettent d’en développer de nouveaux ?

Le projet d’atelier « Travailler avec le numérique dans l’enseignement et la recherche », propose la mise en place d’un cycle de formations des unités de recherche alternant des présentations d’outils et de services par des intervenants invités et des formations plus opérationnelles. Notre programme part d’activités concrètes : traiter l’information, communiquer et diffuser, publier, collecter et organiser sa documentation, la conserver, la partager.

En deux heures, chaque séance présente un outil ou une plateforme de services.

Dans une première partie, l’intervenant.e explique l’utilité directe de l’outil ou de la plateforme : Quel usage ? Pour qui ? Dans quel contexte ? Dans la deuxième partie de la séance, il ou elle donne des éléments clés de son fonctionnement, son écosystème numérique et économique, les services (les +) obtenus par son utilisation, par exemple : enrichissement des contenus, supports multiple, reprise des données sur d’autres plateforme, économie de moyens pour les chercheur.e.s.

Notre intention est de familiariser les chercheur.e.s et futurs chercheur.e.s à des notions comme intéropérabilité, identifiants (doi, orcid, idref, idhal…), métadonnées (Dublin Core etc.). De cette manière, nous espérons faciliter la compréhension et la mise en pratique d’une large diffusion de la production scientifiques (HAL, partage des données etc.)
Enregistrement vidéo de la conférence "Utiliser Huma-Num en SHS", présentée par Stéphane Pouyllau et Elifsu Sabuncu.

Huma-Num développe et met en œuvre un ensemble de services permettant aux enseignant.e.s/chercheur.e.s d’accéder à des outils de stockage, de traitement et de diffusion des données numériques, dans le cadre de projets collectifs de recherche (images, corpus, vidéos, etc). Ces services couvrent l’ensemble du cycle de vie des données scientifiques en proposant des outils de visualisation, de traitement de l’image et de la vidéo, de mise en place de sites Web, d’encodage, de calcul, de gestion de bases de données relationnelles, d’analyse de données numériques (OCR, outils 2D, 3D) de SIG (cartographie).
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Affiche du document Les coûts de l'éducation, un dilemme équité/efficacité

Les coûts de l'éducation, un dilemme équité/efficacité

François ORIVEL

1h13min11

  • Éducation
L'évolution mondiale des dépenses d'éducation n'a pas suivi, comme c'est souvent le cas, les projections des économistes. Après avoir connu une hausse spectaculaire entre 1950 et 1975, on assiste depuis à une relative stagnation. L'éducation n'est ni un secteur bénéficiant d'une quelconque priorité des agents économiques, qu'ils soient publics ou privés, ni un secteur défavorisé. Il évolue tout simplement comme la moyenne des emplois des ressources dans la majorité des économies nationales.
Or certains économistes avaient anticipé des hausses spectaculaires, liées à la fois au fait qu'il s'agit d'un secteur à faible croissance de la productivité, et d'un service dont la demande relative ne cesserait de croître (allongement de scolarités initiales, formation tout au long de la vie, avènement d'une société postindustrielle fondée sur la connaissance).
Le caractère principalement public du financement de l'éducation s'est un peu partout généralisé, à partir d'arguments divers, dont l'équité fait évidemment partie. Cependant, les premières études empiriques portant sur le phénomène de redistribution engendré par la gratuité des services éducatifs ont plutôt montré que les bénéficiaires effectifs n'étaient pas les individus des groupes sociaux modestes, mais ceux des groupes favorisés. La sélection au mérite, les avantages de fait, et les formations longues et coûteuses, mais financées par les contribuables, bénéficient d'abord aux individus socialement aisés.
Toutefois l'allongement récent des scolarités pour tous, l'idée qu'une discrimination positive (donner plus aux individus de milieux exclus) n'est pas incompatible avec l'égalitarisme républicain et a sensiblement réduit l'impact régressif du financement public de l'éducation dans les sociétés les plus développées. Mais si le problème de l'équité (ou des écarts d'accès entre groupes sociaux) s'atténue au sein des sociétés riches, on ne peut que s'inquiéter devant l'accroissement continu des inégalités en matière d'éducation entre le groupe des pays les plus avancés et celui des pays les plus pauvres.
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Affiche du document L'enseignement des sciences

L'enseignement des sciences

Jean-Jacques DUBY

1h23min13

  • Éducation
Ces progrès technologiques de la fin du XXe siècles ont amené des améliorations considérables, et tout particulièrement dans les sociétés industrialisées, que ce soit pour la longévité, la santé, la qualité de vie, la communication, les transports, les loisirs, etc. Pourtant, c'est au moment où les thèses positivistes du XIXe siècle pourraient trouver une éclatante justification que la confiance dans la science est à son niveau le plus bas, que le progrès scientifique et technique suscite la crainte de nos concitoyens, que les jeunes se détournent des carrières scientifiques et techniques au point que la recherche et l'industrie en viennent à manquer de ressources humaines.
De même que l'école de Jules Ferry avait apporté une contribution essentielle à l'essor scientifique et technique depuis la fin du siècle dernier et sans doute jusqu'aux trente glorieuses, l'enseignement actuel des sciences, que ce soit dans l'enseignement primaire, secondaire ou supérieur, porte une part de responsabilité dans la désaffection et la défiance dont elles souffrent aujourd'hui. Plus précisément, l'enseignement actuel des sciences, particulièrement mais pas uniquement en France, connaît un triple échec : il ne réussit pas à faire acquérir à chaque citoyen la culture scientifique de base indispensable à des choix éclairés ; il réussit mal à apprendre à chaque travailleur à utiliser les méthodes et les résultats scientifiques dans sa vie professionnelle ; il réussit peu - en tout cas insuffisamment - à former des chercheurs audacieux, intuitifs et innovants. On analysera ces trois échecs du présent à la lumière du passé et on discutera des lignes de solution à explorer.
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Affiche du document Les Rencontres de l'UVED 2013 : Apport des UNT et en particulier de l’UVED aux collectivités

Les Rencontres de l'UVED 2013 : Apport des UNT et en particulier de l’UVED aux collectivités

MARIE-CLAUDE BONJOUR

23min48

  • Économie
  • Problèmes et services sociaux
  • Éducation
Dans un contexte de réflexions sur la question de l'apport du
numérique pour l'enseignement et l'éducation, et à l'heure où de
nouveaux dispositifs conduisent à s'interroger sur les modalités de
formation en ligne, l'Université Numérique Thématique UVED
(Université Virtuelle Environnement & Développement durable) a organisé le 10 avril 2013, une journée de conférences et de débats.

Ces Rencontres de l'UVED (Escale à Bordeaux pour la première
édition), destinées aux enseignants du supérieur et du secondaire,
chercheurs, étudiants, responsables politiques universitaires,
responsables de services ou cellules TICE, ingénieurs et conseillers
pédagogiques, acteurs et décideurs publics ou privés du
développement durable, ont eu pour objectif de discuter des facteurs
qui motivent ou qui freinent la production et l'usage de ressources
numériques à haute valeur pédagogique ajoutée dans le domaine de
l'environnement et du développement durable.
Marie-Claude Bonjour, Conseillère formation en charge de l'urbanisme, de
l'environnement et du développement durable au Centre National de la
Fonction Publique Territoriale (CNFPT), évoque l’offre de formation en
lien avec les besoins croissants des territoires après avoir fait une
présentation générale du CNFPT et de la place accrue qu’occupent les
questions d’environnement et de développement durable dans la politique
de l’établissement.
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